On comprend, cette semaine, que M. Gillett voudrait vendre le Club de hockey canadien qui fête ses 100 ans cette année, le fameux CH, probablement avec le centre Bell, qu’il a payé 275 millions de dollars canadiens, une vraie affaire, il y a quelques années, avant que la sacoche lui traîne à terre, à cause de la récession américaine. Est-ce qu’il pourrait en obtenir un milliard de dollars canadiens cette année ? Probablement.
Comme plus de Québécois arborent plus fièrement « sauf quand il perd trop souvent » le fanion du CH que le drapeau du Québec, on peut en déduire que le sort du CH les préoccupe plus pour faire les séries que celui de la langue française qui se perd à Montréal mais pas trop en Abitibi.
Pour réjouir le Québécois moyen, faudrait que notre gouvernement très provincial Libéral Charest ou notre Caisse de dépôts « un peu tapée mais ayant encore, en trop, des milliards de liquidité» achète le CH. On le francise et change ses joueurs européens qui ne comprennent pas cette belle langue, pour des joueurs Québécois francophones comme dans le temps de Richard et de Lafleur.
À place du slogan : Le Québec aux Québécois ! On pourrait scander, en plus grand nombre : La Coupe aux Québécois ! ce qui est beaucoup plus rassurant pour des fédéralistes comme M. Charest et Mme Jérôme-Forget qui veulent sauver le Canada des méchants séparatisssss.
Le Canadien est à vendre
Le Québécois, la politique et le sport
Le CH tatoué sur le cœur
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