Le coût d'entretien des nouveaux immigrants du tiers-monde en augmentation constante

Des statistiques récentes accablantes

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Tribune libre

De nouveaux faits révélateurs concernant le coût grandissant des nouveaux immigrants en provenance du tiers-monde et inadaptés à notre marché du travail viennent d'être publiés :

- Environ 50 000 immigrants entrent au Québec chaque année, un nombre que le marché de l'emploi n'arrive manifestement pas à intégrer. Malgré cela, le gouvernement libéral actuel voudrait dans son inconscience en augmenter encore plus le nombre.

- 86 % s’établissent dans la région de Montréal, lui donnant petit à petit l'apparence du tiers-monde et de moins en moins celle du Québec historique de ses fondateurs.

- Le taux de chômage des nouveaux arrivants au Québec oscille entre 18 % et 22 % comparativement à un taux de chômage global de 7,5 %, c'est-à-dire trois fois plus. Et c'est malheureusement une tendance lourde.

- Dans la région de Montréal, le taux de chômage des nouveaux arrivants caracole à 27 %, faisant d'eux un fardeau pour la société en dépendant de la charité publique pour subvenir à tous leurs besoins.

- 42 % des nouvelles demandes à l’aide sociale proviennent des immigrants, pratiquement 1 sur 2. Qui plus est, cela devient rapidement pour un trop grand nombre une situation permanente à long terme.

- Les immigrants comptent pour 24,7 % des prestataires de l’aide sociale, donc 1 sur 4 bien qu'ils ne représentent pas le quart de la population. Ce pourcentage vérifié va en s'accroissant.

- L’Afrique du Nord et le Moyen-Orient sont les principales sources d’immigration au Québec, deux catégories qui présentent le plus de difficultés à l'embauche auprès des employeurs en raison des complications en tout genre qu'ils suscitent. C'est la triste et regrettable réalité.

- Un immigrant coûte en moyenne environ 6000 $ par an aux contribuables canadiens.

Devant des statistiques si accablantes, il devient impérieux que le gouvernement révise sa politique de sélection des immigrants en privilégiant les candidats les plus susceptibles d'une intégration réussie au marché du travail et ayant une mentalité compatible avec la nôtre, en l'occurrence les occidentaux qui sont le plus près de nous sur tous les plans: volonté, capacité et rapidité d'intégration, système de valeurs similaire, mode de vie identique, vision du monde moderne comparable, mœurs semblables.

C'est là la seule et unique façon de préserver l'identité historique de notre peuple de l'effritement et de la dispersion qui menace d'engendrer sa disparition.

Source : http://www.journaldemontreal.com/2015/06/18/limmigration-un-faux-remede?ref=yfp

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Réjean Labrie826 articles

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Réjean Labrie est natif de Québec. Il a fait une partie de sa carrière dans la fonction publique provinciale.

Il tire la plus grande fierté d’être un enraciné de la 11ème génération en sol natal. Son élan nationaliste se porte sur la valorisation de la culture québécoise et sur la préservation de l'identité culturelle québécoise et de sa démographie historique.

Il se considère comme un simple citoyen libre-penseur sans ligne de parti à suivre ni carcan idéologique dont il se méfie comme des beaux parleurs de la bien-pensance officielle.

L'auteur se donne pour mission de pourfendre les tenants de la pensée unique, du politiquement correct, de la bien-pensance vertueuse, toutes ces petites cliques élitistes qui méprisent le bon peuple.

Plus de 825 articles publiés en ligne ont été lus un million 400 000 fois par tous ceux qui ont voulu partager une réflexion s'étendant sur une période de plus de 14 ans. À preuve que l'intérêt pour une identité nationale québécoise affirmée ne se dément pas, quoi qu'on en dise.





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6 commentaires

  • Réjean Labrie Répondre

    18 novembre 2016

    La journaliste Tania Longpré démontre en plusieurs points l'échec de l'immigration:

    Des gens qui quittent biens, familles et carrières à l’étranger et qui réalisent que la vie de rêve québécois qu’on leur vend n’est que du vent, c’est un échec.

    Des gens issus de l’immigration économique qui font la file aux banques d’aide alimentaire, c’est un échec.

    Des médecins, des dentistes et autres spécialistes qui apprennent que leurs diplômes ne sont pas reconnus, c'est un échec.

    Des professionnels sélectionnés pour leurs diplômes qui doivent reprendre la totalité de leurs études, c'est un échec.

    Des femmes qui ne veulent rien savoir du marché du travail, c'est un échec.

    Des gens scolarisés au chômage durant plusieurs mois, voire plusieurs années, c'est un échec.

    Un taux de chômage de plus de 20 % chez les Maghrébins francophones à Montréal, c’est un échec.

    Des quartiers de Montréal qui se transforment lentement mais surement en ghettos, c’est un échec.

    Des gens qui perdent leur statut social en arrivant ici, c'est un échec.

    Les gens qui refusent de suivre des cours de francisation, c'est un échec.

    Le gouvernement qui n’offre même pas 5 $ de l’heure comme subvention de francisation, c’est un échec.

    Le gouvernement qui n’offre pas d’aide financière aux gens qui désirent se franciser à temps plein plus longtemps, surtout aux professionnels qui veulent apprendre à écrire davantage, c’est un échec.

    Le service en français inexistant dans plusieurs restaurants ethniques, c’est un échec.

    Des comptables étrangers qui travaillent à découper des poulets dans une usine, c’est un échec.

    Un fort pourcentage de jeunes immigrants qui terminent leur secondaire en anglais, c'est un échec.

    Les gens qui transitent par le Québec pour aller en Ontario ou en Colombie-Britannique, c'est un échec.

    Des immigrants qui votent en bloc pour le parti libéral, c’est un échec.

  • Archives de Vigile Répondre

    14 août 2015

    il n'y en a pas de message qui peut être dit ....ça parle tout seul non?

  • André Lafrenaie Répondre

    10 août 2015

    Claude Morin n'était certainement pas, déjà dans les années 70, le seul agent d'Ottawa à avoir infiltré le mouvement souverainiste. Pierre Vadeboncoeur, en novembre 1977, a écrit dans le Jour que, lorsqu'il était à la C.S.N., lui et les autres membres de ce syndicat s'étaient rendu compte, depuis la fin des années 60, d'une infiltration très considérable par la G.R.C. non seulement du mouvement souverainiste mais même de toute la société québécoise. Il s'agissait alors de centaines d'agents qui ne faisaient pas partie de la force officielle de la G.R.C. Ça fait donc au moins un demi-siècle que cette infiltration a commencé, et on peut ainsi imaginer la multitude de faux souverainistes qui oeuvrent aujourd'hui dans le mouvement indépendantiste, et ce à tous les échelons. Au plus haut niveau, le cas de Lucien Bouchard est maintenant assez acquis ou connu chez les lecteurs de Vigile. J'ajoute les noms de Pierre-Marc Johnson, Bernard Landry, André Boisclair, Pauline Marois et Gilles Duceppe. Johnson se déclare lui-même aujourd'hui ouvertement fédéraliste; Landry n'a rien fait tout comme Bouchard pour nous rapprocher de l'indépendance quand il était premier ministre; Boisclair était le protégé de Bouchard, ce qui veut déjà tout dire; Marois en avait, selon ses propres déclarations, pour deux ou trois mandats avant de peut-être penser à faire un référendum sur l'indépendance; et Duceppe est le digne successeur de Bouchard, s'inscrit en parfaite continuité avec lui. On peut ainsi comprendre pourquoi le projet d'indépendance a non seulement piétiné mais même régressé depuis le départ de Parizeau en 1995. Ceux qui ne sont pas d'accord avec ces noms doivent nous expliquer pourquoi on a tellement tourné en rond depuis deux décennies.

  • Archives de Vigile Répondre

    9 août 2015

    Monsieur Labrie,
    Je vous remercie pour votre article.
    Ce n'est pas «dans son inconscience» que le Parti libéral du Québec voudrait augmenter le nombre d'immigrants. C'est délibérément dans le but de «canadianniser» irréversiblement le Québec. Votre article l'explique très bien.

  • Marcel Haché Répondre

    9 août 2015

    « Devant des statistiques si accablantes, il devient impérieux que le gouvernement… » R. Labrie.
    Ce qui devient vraiment impérieux, c’est que les indépendantistes cessent de tenir le même discours que la gang à Couillard à l’égard de l’immigration. Nous n’avons pas besoin d’immigration. Disant cela, cela ne signifie pas qu’il faille retourner les nouveaux arrivants à leurs pays d’origine. Cela signifie seulement que les programmes d’immigration sont de mauvais programmes qu’ils faudrait abolir.
    Ne comptons pas sur les libéraux pour abolir semblables programmes (au plan électoral, ils sont les premiers bénéficiaires de l’immigration), et particulièrement si les indépendantistes sont les premiers à applaudir l’arrivée de toutes une clientèle qui ne sera jamais la leur. Pas fin-fins les libéraux, mais pas fous…

  • Archives de Vigile Répondre

    8 août 2015

    Cher M. Labrie, cette étude est passée sous le radar. Merci de nous la rappeler. Grâce au livre de Benoit Dubreuil et Guillaume Marois (LE REMÈDE IMAGINAIRE), nous sommes mieux outillés pour remettre en question cette doctrine de l'immigration à tout prix et l'étude que vous citez est un complément indispensable. Il va sans dire que la politique des libéraux du Québec en matière d'immigration est en droite ligne avec les conclusions du rapport Durham dont on a omis de signaler le 175e anniversaire cette année. La véritable raison pour l'immigration de masse dans les pays occidentaux est que le système monétaire est une vaste chaîne de Ponzi et qu'il faut absolument qu'il y ait une croissance démographique pour que le système survive. Le but n'est donc pas le rajeunissement de la population ni son renouvellement et ce n'est pas non plus pour pallier à une pénurie de main d'oeuvre. Le véritable but c'est d'avoir de nouveaux consommateurs qui vont s'endetter à leur tour. Les nouveaux prêts servant à payer une partie des anciens. Lorsque l'on comprend le fonctionnement de la monnaie, c'est la conclusion qui s'impose.