Laurent Ruquier rêve tout haut de la mort de Trump... et met Twitter en ébullition

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L'humour macabre de Laurent Ruquier


De nombreux internautes ont exprimé leur indignation ou leur consternation à la suite de l'émission «On n'est pas couché» du 25 février. L'animateur y avait fait part – sur le ton de l'humour – de son souhait de voir le président américain... tué.

La séquence humoristique est loin d'avoir fait rire tout le monde : «Une semaine sans aucune connerie de Donald Trump ne serait pas une bonne semaine ; c'est quand même le seul Donald dont on aimerait qu'il soit abattu pour cause de grippe aviaire», a lancé Laurent Ruquier, lors de son émission «On n'est pas couché» du 25 février sur France 2. Sous les applaudissements polis du public, l'animateur a poursuivi : «Notez bien que s'il continue comme ça, la CIA ne devrait pas tarder à lui organiser une petite balade à Dallas» – une référence à la ville où a été assassiné le président Kennedy...

Ne s'arrêtant pas en si bon chemin, la star du PAF a continué : «Dire de but en blanc que Trump est con serait, c'est vrai, réducteur : [...] il est aussi incompétent, raciste, misogyne, vulgaire et menteur».

De même, un utilisateur du réseau social a regretté la «gratuité» des blagues anti-Trump de Laurent Ruquier, et la médiocrité de celles-ci.

Un autre internaute a estimé que le présentateur de France 2 faisait preuve, à travers ces déclarations, d'un véritable militantisme d'extrême gauche, qui n'avait aucunement sa place sur le service public.

Certaines personnes ont même appelé à la saisie du CSA contre l'animateur, à la suite de l'émission du 25 février.

Un conseiller régional Front national (FN) du Grand Est, en outre, a regretté dans un tweet ironique le conformisme des attaques anti-Trump, de la part d'une personnalité médiatique comme Laurent Ruquier.

Plaisanter avec délectation sur l'hypothèse d'un assassinat de Donald Trump n'est pas une nouveauté sur le service public français : le temps d'une chronique sur France Inter le 21 février, Karl Zéro s'était mis dans la peau du directeur de la CIA, et en avait «profité» pour imaginer l'élimination du chef d'Etat américain, qu'il avait qualifié au passage de «gugusse» et de «malade mental».


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