Les « journalistes » de l’audiovisuel, mais peut-on encore appeler ainsi des propagandistes qui n’essaient même plus de cacher pour qui ils roulent, déforment au lieu d’informer. Inventent au lieu de rapporter. Jugent au lieu d’expliquer. À croire qu’on les paye pour glorifier un camp et discréditer l’autre. Politique intérieure, avec Macronescu. Politique étrangère, avec le Zygomyr. Loufiats de deux bouffons tragiques.
L’institut Reuters d’Oxford évalue les médias
Émanation d’une des plus anciennes agences de presse fondée en 1851, qui a vu passer tous les régimes et toutes les guerres, cet institut se présente comme une école de journalisme. À l’instar des prétendues écoles de journalisme en France, on y enseigne le politiquement correct et l’art de jongler avec les propos tendancieux et les escamotages, pour que la populace ignore ce qu’elle ne doit pas connaître.
La majeure partie du chiffre d’affaires de Reuters, entreprise possédée par une holding internationale cotée en bourse, se fait grâce à l’information financière. Désintéressée et objective cela va sans dire. On est entre gentlemen n’est-ce pas ?
Toutefois, n’étant pas français et n’ayant aucun prébende à espérer des Macronescu, ni aucun renvoi d’ascenseur à attendre de nos chaînes de désinformation continue, l’institut Reuters publie chaque année un rapport sur la confiance que les peuples accordent à leurs médias.
Une soixantaine de pays sont concernés. Jusqu’en 2022, le verdict des enquêteurs aurait du provoquer des insomnies chez les journalistes honnêtes. À supposer qu’il en reste beaucoup… Ainsi en 2021, seulement 26 % des Étasuniens et 24 % des Français faisaient confiance à la parole de leurs télé propagandistes. Les autres affirmaient trouver sur le web une information plus diversifiée, moins corsetée, et surtout des enquêtes fouillées là où les ordres du pouvoir sont « circulez y a rien à voir ».
Après 2021, la tendance s’inverse, les chiffres remontent et dépassent miraculeusement les 40 %. Entre temps, il y a eu la pichenette russe aux corrompus Ukronazis, et l’arnaque mondiale du Covid. Reuters ne peut oublier qu’il fait partie d’un pays en guerre contre la Russie. Et accessoirement, Big Pharma offre des bourses à ses meilleurs étudiants. Sans contrepartie aucune. On est entre gentlemen, n’est-ce pas ?
Décadence et déchéance des médias mainstream
Une constatation incontournable que Reuters doit admettre, sous peine de perdre toute crédibilité : le niveau des rédactions a baissé. Partout. Les dépêches sont décalquées sans être recoupées. D’où cette lassante impression d’uniformité même chez les zappeurs compulsifs.
Les chroniqueurs n’ont pas le niveau pour faire des analyses géopolitiques, stratégiques, diplomatiques ou économiques. Dépourvus de sagacité et de pugnacité, ce sont de ternes récitants de « le chef a dit ». Travail bâclé ? Reuters, indulgent, l’impute au manque de temps et de moyens pour être partout à la fois, et à la nécessité de surfer sur tous les fronts de l’actu en permanence.
En France, outre leur inculture affligeante, la plupart de selzéceux qui se prennent pour des cadors, souffrent d’une atrophie cérébrale. Méninges sclérosées par un prêt-à-penser glauque mêlant islamofolie, russophobie, réchauffisme, covidiotisme et détestation de nos racines. Et ça va empirer puisque la génération perroquets-perruches actuelle ouvre la voie à la génération Greta. Ignare, wokiste, écolomaniaque et genriste.
Les Français mentent plus que les Anglais
« Stratégies » qui se présente comme le média des médias, dans un secteur où la concurrence est rude, annonce comme une divine surprise, que 58 % des Français font confiance aux informations diffusées par les médias audiovisuels. Depuis que la cote de Macronescu aurait remonté !
Là où Reuters interviewe 100 000 personnes, Stratégies sonde un millier de citoyens, sans dire en quoi ils sont représentatifs de la vox populi. Leur chiffre est révélateur : 58 % représentent à peu de choses près les innocents qui ont voté Macron. Et les inconscients qui sont allés se prêter aux thérapies expérimentales des docteurs Mabuse de la télé.
L’Ukraine a ouvert de nouvelles fractures entre les Français
Comparerait-on Lagaf ou Bigard au général de Gaulle ? Le Zygomyr avant d’être un « grand homme d’État » et un « stratège hors pair » était un amuseur de variétés. Pas des plus subtils. Et quand il fait sa coquette pour taire sa grande offensive, c’est Macronescu qui l’annonce pour lui. À sa place dans le rôle de l’aboyeur du guignol.
Tout est bidonné. Les charniers avec de mauvais acteurs. Les victoires à reculons. Le sabotage des gazoducs où, même aux USA, on admet que ce sont des Polaks et des Ukrainiens qui ont fait le coup… Et il y a fort à parier qu’avec le temps, il apparaîtra que l’explosion du barrage est une « idée géniale » du Zygomyr pour priver d’eau la Crimée, tout en faisant porter les chapeau aux Russes. Lesquels, comme à la centrale atomique tireraient sur leurs propres troupes, les maladroits!
De même, quand les Ukronazis réoccupent un hameau abandonné, c’est une très grande victoire du Zygomyr. Interviews de généraux d’opérette à l’appui. Par contre, quand les Russes neutralisent une petite armée, reprennent une grande ville, éliminent des usines d’armement, des stocks de munitions et un bunker d’état-major otanesque, c’est une escarmouche. Si on en parle. Car il est préconisé de ne rien dire.
Une salve de 50 missiles comptés 60, qui ont tous raté leurs cibles mais produisent des dégâts considérables permettant au Zygomyr de pleurnicher et de mendier un peu plus de pognon, cela ne semble troubler aucun journaleux. Ils sont tellement motivés et engagés du côté de l’OTAN que le simple bon sens a déserté leurs cervelles de moutons.
Enfin, tout élément provenant du côté russe est classé en brève et soumis au doute assorti d’ un sournois « on n’a pas vérifié ». Les vérificateurs auto proclamés dits « fact checkers » qui se confortent mutuellement sont la quintessence de l’enfumage et du cynisme.
La guerre fait rage aussi dans les médias
Le déséquilibre du traitement médiatique est flagrant. Officiellement nous ne sommes pas en guerre avec la Russie. Pourtant, non seulement Russia Today et Sputnik ont eu leurs accès fermés par les jocrisses qui tiennent de grands discours sur la liberté d’expression… Mais la plupart des sites et chaînes non russes qui voulaient expliquer les raisons de cette guerre, depuis les viols des accords de Minsk jusqu’aux dix années de pilonnage du Donbass, ont été fermés ou rendus inaccessibles.
Même cenSSure sur les mal nommés réseaux sociaux contre les sites, chaînes et intervenants qui présentaient la réalité de la corruption en Ukraine, et dénonçaient les tueries de tous ces pauvres types qui se battent pour les intérêts des banksters yankees. Et tout particulièrement ceux de BlackRock en train de racheter à l’encan les ruines fumantes.
C’est d’autant plus flagrant que Google, MSN, Youtube, Face de bouc ont ouvertement pris le parti du clown sanglant de Kiev, épurant toute info qui ne glorifie pas ses « hauts faits d’armes ». Et mettant en valeur les fakes news qui fustigent et déprécient systématiquement tout ce qui est russe. On ne doit pas s’en étonner puisque les GAFAM et leurs succursales sont des émanations des services de propagande du Nouvel Ordre Mondial.
Pour mesurer à quel point la duplicité de ces crapules n’a rien à envier aux virtuoses de la takiya, Meta Facebook, Instagram drapés dans leur «éthique» de carnaval, ont encouragé des discours de haine contre Poutine et la Russie, et appuyé des propos malveillants contre l’armée russe au nom de la « légitime défense des Ukrainiens » (sic). Le Kremlin ayant répondu à cette vilenie en suspendant Instagram, les hypocrites du NWO se sont déchaînés contre la prétendue « censure russe ».
L’alternative russe pour la défense de nos libertés
Un grand bien peut résulter de ces méprisables mesquineries. Ainsi le Kremlin a profité de ces turbulences pour renforcer sa stratégie de souveraineté numérique, actée en 2019 avec la loi pour un « internet souverain ». Dans ce cadre, la Russie a lancé des applications proches de leurs équivalents occidentaux, et parfois de meilleure qualité, tels que Rossgram au lieu d’Instagram. Ou rutube à la place de youtube pour diffuser des vidéos interdites par l’Eurocrature et la macronaille.
À l’ordre du jour également, la promotion d’acteurs plus anciens comme VKontakte, concurrent de Facebook. Et l’accueil comme chez TVS24 de nombre de persécutés par les collabos islamolâtres d’Occident, grâce à une multiplication de sites web et de courrier multi langues. Même si la connexion doit fréquemment passer par VPN ou proxy, comme au bon vieux temps d’Usenet. La cenSSure ne ménage pas ses forces en France pour vous empêcher de mal penser.
Quant au vilain canard Twitter qui prétend offrir quelques fenêtres de liberté, il est menacé par l’Eurocrature d’amendes et même de blocages. En raison des fausses informations qu’il diffuserait. Étant entendu que seuls les cenSSeurs de l’Eurocrature et leur führette piquousette détiennent la vraie vérité.
Une majorité de Français n’est pas dupe
Il y a encore de l’espoir puisque même des médias bien pensants reconnaissent que plus de la moitié des Français interrogés, estiment que le traitement par les télés du conflit opposant la Russie à l’Ukraine est déséquilibré, et fait l’objet d’informations systématiquement orientées en faveur de Kiev. Hélas, même ceux qui sont allergiques au Zygomyr sont bien obligés de constater que ce guignol déploie une communication plus efficace dans l’immédiat que celle de Poutine.
On regrette un peu la sobriété et la retenue du président russe, mais c’est la conséquence des effets pervers d’Internet. De même que des savants de classe internationale se font raboter par une mongolienne illettrée et un Congolais électricien pharaonique… N’importe quel histrion à la tchatche débordante, n’importe quel bateleur de foire qui sait occuper la scène, attire davantage l’attention du public qu’un conférencier qui parle géopolitique, avenir de la civilisation et multi-polarité.
Mais au-delà des impressions superficielles, si le Zygomyr amuse les téléspectateurs, le sérieux de Poutine surclasse en crédibilité le chouchou des médias, et la majorité de l’auditoire juge notre ami Vladimir infiniment plus fiable.
Christian Navis
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