La UNE

Sarko décore Charest - février 2009

3 février 2009

Les Québécois restent attachés à la France
SARKO - ingérence grossière dans les affaires québécoises...
Les Québécois sont fiers de leur histoire. Ils ont résisté pendant 400 ans aux pressions ambiantes, puis anglicisantes. Ils estiment aujourd'hui, de plus en plus, que seule l'indépendance peut leur assurer un avenir en Amérique. Ils ne tourneront certainement pas en bourriques parce que le Premier des Français méprise leur ambition et la condamne au nom d'une morale suspecte et simpliste.


----
Sarko vu par Roumanov Sketch d'Anne Roumanov où notre nabot en prend plein la gueule. (vidéo)



----
"La désinvolture de Nicolas Sarkozy n’a rien de l’élégance, bien au contraire, elle a tout de l’insignifiance. " - Louis Lapointe, [L’ingérence et l’insignifiance->17610
], 3 février 2009
----
"M. Sarkozy a manqué «à la fois de classe et de dignité» en plus d'étaler «son ignorance crasse de la situation québécoise» quand il a accusé les souverainistes de faire preuve de sectarisme et d'étroitesse d'esprit." - Sarkozy manque de classe, selon Gilles Duceppe


----
"Du sublime au ridicule il n'y a qu'un pas" (Napoléon)
Nous avions remarqué plusieurs simplismes, des insuffisances intellectuelles chez le président français. Hélas! Il vient de confirmer nos impressions par son désolant discours sur l'indépendance du Québec. Ainsi un peuple conquis manifesterait de l'agressivité, de la fermeture à vouloir retrouver son indépendance. La France aurait dû se soumettre à l'Allemagne et, au lieu de résister, accueillir l'occupant avec reconnaissance. C'est parce que la France avait recouvré son indépendance qu'elle a pu sans déchoir restaurer l'amitié avec l'Allemagne. Sous le régime de Vichy, l'amitié s'appelait collaboration!
M. Sarkozy occupe nettement un poste trop grand pour sa taille. Ce triste épisode nous donne à penser qu'il connaît assez peu l'histoire et ne comprend pas ses responsabilités face à celle-ci. Autrement, il n'aurait pas liquidé à la légère la politique du Général de Gaulle même sous sa forme édulcorée, embarrassée de « non ingérence, non indifférence ». Le grand homme avait compris d'un seul regard que le Québec avait la vocation et la possibilité de réaliser ce que signifiait son premier et son plus authentique nom de Nouvelle-France.
L'indépendance n'est pas pour le Québec une fantaisie revancharde et rétrograde mais le salut de son caractère français.
"Sarkozy remet les pieds dans le plat", Hubert Larocque, Gatineau.
----


Laissez un commentaire



Aucun commentaire trouvé