Il faut des primaires pour désigner les candidats souverainistes-indépendantiste

La mécanique est démontée : rien ne sera plus jamais pareil

Appel à l'unité des forces souverainistes et indépendantistes

Tribune libre

Au cours des dernières semaines, Pierre Cloutier a accompli remarquablement la tâche intellectuelle de démonter le mécanisme du péquisme. Cette tâche était devenue inévitable afin de permettre d’envisager le relèvement de la cause de la souveraineté et de l’indépendance du Québec à la suite d’un long mouvement de déclin commencé le soir du 30 octobre 1995 (d’autres le font même remonter à la création du parti Québécois) et complété dans les jours qui ont suivi l'élection fédérale du 2 mai 2011.
UN DEUIL À VIVRE POUR CERTAINS
Il était prévisible que les militants demeurés sincèrement attachés au parti Québécois allaient souffrir de la mise à nu impitoyable du parti auquel ils ont consacré avec la plus grande sincérité autant d’énergie. Il était pourtant plus que temps de crever l’abcès et de mettre fin à la suite des sauveur à sacrifier auquel s'adonne le parti Québécois. En lisant Pierre Cloutier expliquer le parti Québécois, je me suis rappelé une phrase que Marcel Rioux aimait citer : "le vers est dans la pomme".
ÉVITER LA RUPTURE
Il faut maintenant chercher à éviter la rupture entre péquistes-souverainistes et indépendantiste qui pourrait s’aggraver si on ne se donne pas la peine de part et d’autre de comprendre combien cet exercice de réflexion était essentiel à la survie du mouvement souverainiste-indépendantiste qui se donne ainsi la chance d'arriver prochainement à son objectif. Ce n'est pas le véhicule qui importe mais la destination.
On doit cet exercice de remise en question à l’existence du lieu d'échange de la pensée libre à nul autre pareil au Québec qu’est Vigile.net. Tous les souverainistes et les indépendantistes ont une dette envers Vigile qu'il faut supporter sans jamais lui reprocher la liberté et la diversité de parole essentielle à la recherche de la vérité. Je pense que ceux qui ont lu attentivement les récentes tribunes et commentaires au cours des derniers jours comprendront. L'histoire de la souveraineté et de l'indépendance du Québec fera état du rôle de Vigile.net comme le rôle des nouvelles technologies de l'information a été reconnu lors du Printemps arabe.
UN MOUVEMENT DE LIBERTÉ ET DE DÉMOCRATIE EST EN TRAIN DE NAÎTRE
Le mouvement souverainiste-indépendantiste est en train de se régénérer. Tout mécanisme d’adaptation essentiel à la vie suppose une remise en question audacieuse et intelligente des idées et des comportements acquis. Le statu quo n'est plus viable, tant pour le parti Québécois, le Bloc Québécois et le Québec dans son ensemble.
Il n’est pas question d’exclure qui que ce soit - ceux qui refusent de remettre en question les structures désuètes s'excluront eux-mêmes devant le mur de la réalité, mais bien de s’assurer que chacun prenne part à la nécessaire reconstruction du mouvement souverainiste-indépendantiste.
LE RENONCEMENT VOLONTAIRE
Au fond, il n’y a pas de drame : seulement une triste réalité que nous explique Monsieur Cloutier. Le parti Québécois est dans sa nature un parti politique destiné à mettre le pouvoir entre les mains de souverainistes-indépendantistes, ce qui à une certaine époque a apporté beaucoup au Québec. Cette phase est accomplie il n’y a plus de gains provinciaux à aller chercher de la situation actuelle.
Afin d'arriver à faire élire des souverainistes-indépendantistes dans le contexte politique dans lequel se trouvait le parti Québécois au cours des premières années de son existence, les stratèges du parti de l’époque comme ceux d’aujourd’hui, ont proposé aux électeurs de former un gouvernement qui prendrait en main tous les pouvoirs de la province de Québec à l’exception, paradoxalement du plus important et fondamental qui était celui de déclarer tout simplement l’indépendance de l’État québécois.
Ce dispositif a tellement bien fonctionné qu’à plusieurs reprises, les Québécois ont élu des gouvernements du parti Québécois constitués en grande majorité de souverainistes-indépendantistes, qui avaient cependant renoncé au préalable au pouvoir de faire l’indépendance du Québec. Les fédéralistes et le ROC ne comprennent même pas encore comment des gouvernants majoritaires composés de souverainistes-indépendantistes ont pu censurer leur propres prérogatives et réussir à ne pas faire l’indépendance de l’État québécois.
En résumé on parle de l’indépendance, on se fait élire avec ou malgré cette idée (c’est selon), tout en s’interdisant mieux que personne le pouvoir de la faire. Le refus par les élus du parti Québécois d’exercer le pouvoir de faire l’indépendance du Québec a été confirmé deux fois par des référendums catastrophiques dont les conditions de mise en œuvre (calendrier, question, campagne, stratégie, timidité, absence de ripostes aux attaques etc.) expliquent à elles seules les résultats.
Même les partis fédéralistes n’ont jamais renoncé au pouvoir de faire l’indépendance et ils se sont toujours prononcés en faveur de droit à l’autodétermination du Québec.
L'OBSOLESCENCE DE LA GOUVERNANCE PROVINCIALE
L’élection du parti Québécois tout comme celle du parti jumeau qu’entend former François Legault, entraînerait comme les autres fois la formation d’un gouvernement composé de souverainistes-indépendantistes qui s'interdisent à exercer les pleins pouvoirs d’un gouvernement en renonçant au pouvoir de faire la souveraineté et l’indépendance de l'État québécois.
Cette démission est d'autant plus dramatique quand on songe que notre État québécois est lui-même subordonné aux pouvoirs politiques, constitutionnel et judiciaire d’un État autre sur lequel le Québec par sa représentation démographique ne dispose plus de moyen de contrôle. Héritier historique de l’Empire britannique qui a fait de nous un peuple conquis, le Canada conserve le symbole de la monarchie et le complexe de supériorité à l'égard des gouvernements provinciaux et des minorités non-britanniques. La gouvernance provinciale est un modèle de gouvernement obsolète qui se diminue et s'humilie lui-même dans un état lui-même subordonné. Qu’avons-nous donc fait pour mériter cela ? VA PENSIERO : OH MA PATRIE SI BELLE ET PERDUE ! (Merci encore pour çà à Yvan Parent)

POUR DES PRIMAIRES SOUVERAINISTES-INDÉPENDANTISTES
Ce n’est donc pas d’une chicane entre souverainistes-péquistes et indépendantistes dont il s’agit : jamais ils n’ont été placés devant la réalité comme l’a fait Pierre Cloutier, certains se refusent èa l'accepter, d'autres sont indignés. Mais que les souverainistes et les indépendantistes se rendent compte de leur erreur de stratégie et corrigent la situation en exigeant que leurs élus exercent les pleins pouvoirs du gouvernement d’un état libre et déclarent unilatéralement et protègent à jamais l’indépendance du Québec advenant leur élection majoritaire.
Que ce soit un parti, des partis ou encore une coalition de partis il ne faudra pas avoir plus d’un candidat souverainiste-indépendantiste par comté. Il faudra donc l’appui de Québec Solidaire, il faudra favoriser le retour des candidats démissionnaires.
Nous n'arriverons à rien si nous continuons à diviser dans chaque comté le vote souverainiste-indépendantiste. Je propose l’organisation de primaires organisé par un mouvement (du type de Cap sur l'Indépendance) qui ne serait pas un parti politique mais qui arriverait à y faire participer les candidats indépendants de même que ceux représentants les formations souverainistes-indépendantistes. pour choisir le candidat souverainiste-indépendantiste dans chaque comté afin d’enclencher immédiatement la campagne qui nous mènera à l’indépendance du Québec.
Il est essentiel d'établir un programme souverainiste-indépendantiste auquel tous les candidats pourront se référer en vue d'informer clairement la population sur leurs engagements.
Ce n’est donc pas obligatoirement de la création d’un nouveau parti indépendantiste qu’il s’agit mais de la création d’un programme souverainiste et indépendantiste dont nous avons besoin afin d’envoyer au gouvernement et à l’assemblée nationale des élus s’étant solenellement engagé à épouser ce programme.
QUÉBEC PAYS LIBRE ET DÉMOCRATIQUE

Gérald McNichols Tétreault, Rome, 6 août 2011


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6 commentaires

  • Gérald McNichols Tétreault Répondre

    8 août 2011

    @ Réjean Pelletier
    Monsieur Pelletier, c'est que vous avez mal compris le sens de mon intervention. Je vais donc préciser l'essentiel. Je reconnais que la grande majorité des membres et les élus du parti Québécois tout comme ceux de Québec Solidaire, du PI, ou des organismes regroupés dans Cap sur l'Indépendance sont des souverainistes et/ou des indépendantistes sincères. Je ne pars en guerre contre aucune des organisations existantes. Bien au contraire, il va falloir être unis et rebâtir ensemble un nouveau mouvement qui soit à la fois souverainiste, indépendantiste et démocratique. Une coalition anti-carriériste me conviendrait pour réaliser l'indépendance. D'autres prendront la relève ensuite et l'histoire se poursuivra mais nous serons sortis du cul-de-sac dans lequel nous stagnons alors que le monde avance autour de nous.
    Si je n'ai rien contre les membres du parti Québécois, j'en ai cependant contre la rhétorique et la réalité péquiste telle que les a si brillamment analysées Pierre Cloutier, cette politique absurde qui vise à remettre le pouvoir de diriger l'État provincial du Québec entre les mains de souverainistes et/ou d'indépendantistes tout en leur interdisant le pouvoir le plus important qui est celui de déclarer tout simplement l'indépendance. Comprenez-vous que la population en ait assez qu'on leur chante la liberté de leur état tout en se refusant à prendre les moyens de la faire. Il y a de la cruauté mentale dans le refus d'assouvir le désir qu'on a inculqué. C'est une castration politique qui étonne même nos adversaires. (Je reviens encore sur les terres de VLB qui voudra bien m'excuser).
    C'est de cette doctrine du renoncement et de l'impuissance péquiste et non des militants et des politiciens du parti Québécois qu'il faut se dégager à la condition que ces derniers acceptent de se rendre compte de l'impasse dans laquelle ils se sont enfermés malgré eux. Mon intuition me dit que c'est le cas pour le plus simple des militants jusqu'au plus haut niveau du parti. Pierre Cloutier l'a démontré : le roi est nu.
    C'est donc aux militants, aux membres et aux élus actifs ou démissionnaires qu'il faut en appeler : Venez libérer avec nous notre si beau pays perdu.
    En ce sens, que le meilleur représentant de la cause souverainiste, indépendantiste et démocratique remporte l'investiture dans chaque comté du Québec qu'il proviennent du parti qu'il voudra à la condition cependant qu'il soit brave et sincère et qu'il ait préalablement adhéré à une déclaration commune qui contiendra les engagements d'un gouvernement de coalition.
    QUÉBEC PAYS LIBRE ET DÉMOCRATIQUE
    http://www.facebook.com/pages/Qu%C3%A9bec-pays-libre-et-d%C3%A9mocratique/210346775653356
    Gérald McNichols Tétreault

  • Archives de Vigile Répondre

    8 août 2011

    Je trouve intéressant le concept de préliminaires tel qu'il est l'expliquez. Mais j'y voit un parti-pris évident pour le PQ puisque les indépendantistes sincères du PI n'ont à peu près aucune chance de se voir choisis car il ne sont déjà pas médiatisés.
    Ce fait donne raison à Monsieur Archambault.
    _________________
    Réjean Pelletier

  • Luc Archambault Répondre

    8 août 2011

    M. McNichols Tétreault
    Nous vivons dans un État qui NIE la primauté effective de la souveraineté démocratique de ce peuple...
    Je comprends bien que « les autres partis » peuvent ne pas adhérer à l'UNION des forces indépendantistes. Mais en quoi cela fait-il l'UNION des forces démocratiques du peuple souverain du Québec capables d'INVALIDER tout État illégitime qui s'impose sans obtenir le OUI de la démocratie électorale et référendaire québécoise ?
    Ce qu'il faut faire c'est UNIR sous COALITION NATIONALE - Démocratie et Souveraineté Québec les partis actuels souverainistes : Bloc, PQ, QS, pour forcer les partis de la future fausse Coalition SIROIS/Legault à se commettre quant au respect du principe premier de la démocratie. À défaut, les souverainistes n'ont pas le choix ils doivent voter pour un parti de gouvernance collabo puisqu'aucun ne S'ENGAGE à appeler ce peule à INVALIDER tout État qui n'a pas obtenu le OUI de la démocratie québécoise.
    Quant à faire d'une déclaration unilatérale d'Indépendance sans obtenir l'aval du peuple, qu'est-ce donc qui différenciera en terme de légitimité l'État unilatéral du Québec/Canada actuel qui s'impose au Québec sans obtenir l'aval du peuple du Québec et l'État du Québec qui fait de même ? RIEN.
    Que fera ce peuple quand sera déclaré par le Canada illégale cette déclaration unilatérale comme en a le droit légal la Couronne canado-britannique ? Regarder deux États, deux élites s'affronter en spectateur ?
    Pour trancher, il faudra s'en remettre aux voix du peuple. Autant prévoir d'avance INVALIDER l'illégitime légalité qu'il nous faudra contrer parce qu'elle aura déclaré illégale les déclarations de l'ANQ. Seul le peuple est en mesure de le faire, il faut donc le mettre dans le coup avant et non après.
    La stratégie de la déclaration unilatérale n'a de sens que si nous avons prévu appeler d'abord ce peuple à INVALIDER cette illégitime légalité qui s'est arrogée le pouvoir de rendre illégales des lois de l'ANQ. Si cette légalité est ILLÉGITIME, alors il ne faut pas s'en réclamer. Il faut plutôt se réclamer de la légitimité d'un État qui contrairement à l'État post-impérial actuel qui pense pouvoir s'imposer SANS obtenir l'aval du peuple démocratique et Souverain du Québec, s'ENGAGE à donner la parole au peuple pour qu'il puisse enfin INVALIDER l'État unilatéral illégitime actuel dont il ne veut pas. Le Canada ne passe pas au Québec. La majorité le répudie... mais cette volonté est sans voix. Il faut S'ENGAGER à lui donner voix contrairement à ce que peuvent engager les forces canadianisatrices incapables de l'obtenir ce OUI qui leur manque.
    Cf : Questionnaire statutaire - Démocratie et Souveraineté - Je veux vivre en démocratie ? OUI / NON

  • Gérald McNichols Tétreault Répondre

    8 août 2011

    Une coalition de candidats souverainistes-indépendantistes réunie pour un seul mandat et non pour la constitution d'un lourd parti politique qu'il faut par la suite faire vivre à grand frais. Les participants à ce mouvement en provenance de tous les partis et horizons politiques du Québec partagent un programme commun dont le premier article est de déclarer l'indépendance de l'État Québécois au lendemain d'une victoire majoritaire. Il y a aussi d'autres urgences qui pourraient être incluses dans un programme indépendantiste et que j'ai énumérées dans ma lettre à Robert Barberis publiée sur Vigile en date du 22 juillet 2011. Celles-ci pourront rejoindre les propositions des autres participants lors de l'élaboration du programme commun. Le programme commun est un engagement de tous les participants et candidats à la primaire. Les primaires permettent de choisir les meilleurs candidats dans chaque comté du Québec en ouvrant le vote à tous les inscrits sur la liste électorale et même à des membres de la coalition âgés de plus de 15 ans comme le fait le parti socialiste en France. Ce n'est peut-être pas la perfection mais rien d'aussi démocratique n'existe encore au Québec. Et cela donnerait tout l'espace médiatique pour ramener le projet de l'indépendance sur la place publique.
    @ Monsieur Cloutier: bien sûr que chaque vote pour des candidats indépendantistes, même en dehors de la coalition contribuera à la légitimité de la déclaration d'indépendance.
    @ Monsieur Archambault: Par ailleurs, cela n'empêche en rien l'existence des autres partis qui ne souhaiteront pas adhérer au mouvement.

  • Luc Archambault Répondre

    7 août 2011

    Nous avançons ! Nous sommes ici au coeur des enjeux politiques statutaires concernant l'UNION à faire des forces démocratiques citoyennes et politiques de ce peuple, à commencer par celles qui sont partisanes de la primauté effective de l'Autorité démocratique suprême de ce peuple Souverain du Québec que nous sommes, en commençant par celles des indépendantistes.
    Un Programme COMMUN doit émerger de ces discussions dans les meilleurs délais, et OUI, il y a des deuils à faire de toutes parts et de tous côtés.
    Cela dit, la fausse-bonne-idée des primaires, se heurte d'emblée à irrecevabilité démocratique de cette proposition nouvelle en apparence engageante. En effet, la députation candidate des partis ne peut accepter que la démocratie électorale ne s'applique pas, ou qu'elle s'applique seulement via la mouvance souverainiste. Tout autant qu'est pour les partis irrecevable le fait de ne pas présenter de candidat,e dans un tel compté pour empêcher la division du vote.
    En effet, dans ces deux cas la démocratie électorale ne peut s'exprimer. Les partis sont privés de la chance de faire augmenter à la faveur d'une campagne électorale - les surprise sont maintenant plus que jamais de mise - l'appui du peuple à leurs programmes respectifs et concurrents de gouvernance de l'État. Si cela pouvait être le cas, QS n'aurait qu'à fusionner avec le PQ, etc. L'UNITÉ unidimensionnelle n'est pas souhaitable. Ce qui l'est c'est la pluralité de l'UNION.
    Rappelons-nous, une élection concerne non seulement l'enjeu statutaire de l'État, mais aussi l'enjeu idéologique concernant la gouvernance de l'État ; le charisme, l sourire ou la moustache des Chef,es ; le passif de gouvernance des partis, leurs performances respectives à l'ANQ, etc. Aussi, des primaires ne pourraient que priver le peuple de choisir une députation qui défend la même politique quant à l'État, mais pas la même quant à sa gouvernance.
    Pour échapper à cette irrecevabilité, il faut former une COALITION NATIONALE | Démocratie et Souveraineté qui permet à la démocratie de s'exprimer pleinement grâce à la formule de proportionnelle pragmatique. Elle permet de ce faire dès les prochaines élections à tenir à Québec. Elle est décrite au Chapitre III de la PROPOSITION 101 - Proportionnelle pragmatique}}
    Ce qui compte, hors l'accessoire du dispositif électoral, c'est de statuer sur les termes du Programme COMMUN d'État devant être endossé par les partis membres de la COALITION NATIONALE. On peut le faire en endossant ou discutant la pétition accessible au lien suivant et qui décrit le sens d'un vote pour l'un ou l'autre des partis membres de la COALITION NATIONALE - Démocratie et Souveraineté - Cf : PÉTITION
    Quant au dispositif électoral, la COALITION verra à définir ce qui peut le mieux permettre d'éviter la défaite de la coalition sur division du vote dans les comptés chaudement disputés sans limiter l'exercice de la démocratie électorale indument. Et pour ça il faut plutôt réagir à quelques jours du vote en lançant des mots-d'ordre de report d'intention de vote, grâce au travail des experts-sondeurs indépendants, de la Commission électorale de la Coalition.

  • Archives de Vigile Répondre

    7 août 2011

    Spontanément.Un candidat ou plusieurs candidats souverainistes-indépendantistes réunis par un pacte simple, dont on compte les votes réunis, le reste étant libre?
    Pierre Cloutier