L'oeuvre et le chef-d'oeuvre de Giovanni Caretto

Appui à Bernard Frappier

Tribune libre

Seulement le coût actuel des rénovations (ré-no-va-tions !) du Casino de Montréal serait suffisant pour doter la ville de Québec d’un aréna adéquat pour le retour des Nordiques. Mais il n’y a pas de comité de citoyens pour veiller au grain sur les terrains inhabités de l’Ile Notre-Dame, comme ce fut le cas dans le quartier devant accueillir le fameux et fumeux et brumeux et quoi encore se terminant en « eux »,disons donc le fameux déménagement raté du Casino.
Y-a-t-il de l’intérêt, de l’appétit, da qualche parte, pour le Stade Olympique ? Au fait, qu’espèrent-ils en faire, les plus hauts libéraux comme les plus bas, du Stade désert, mais payé par les contribuables, engloutis qu’ils sont par tout ce qui grouille et grenouille de forces Anti-Québec au P.L.Q. ?
Le lamentable spectacle des rouges à Montréal, celui d’un maire élu par ce qu’il y a de plus Anti-Québec, est le chef d’œuvre résultant de la dé-fusion, l’œuvre unique et chef d’oeuvre de l’unique Jean Charest, souvent nommé Giovanni Caretto par dérision.
La vérité, c’est qu’il faut vraiment être Anti-Québec pour s’en prendre à Vigile. La vérité, c’est que le P.L.Q. est devenue l’otage consentant de tout ce qui est Anti-Québec. La vérité, c’est que notre gouvernement provincial est retourné contre Nous. Mais ce n’est pas vrai que ça va durer toujours.
Tenez bon, Bernard Frappier. Ces gens-là se croient invulnérables. Cette gang-là a pourtant fait plus que son temps…


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3 commentaires

  • Marcel Haché Répondre

    16 avril 2011

    À M.Bergeron et "O"
    Il n’y avait pas de « demande » au sein de l’électorat à l’égard des fusions. Montréal était la seule ville problématique en raison du comportement passé du West Island. Plutôt que d’affronter résolument les anglophones, les opposants les plus ardents à l’égard de la « fusion », le gouvernement Bouchard avait farfiné avec ses opposants. Croyant pouvoir isoler le West Island au milieu de villes acceptant les fusions, c’est le gouvernement lui-même qui, par aveuglement ou par lâcheté—je crois qu’il fut lâche-- avait fourni au West Island de se trouver des alliés auprès de certaines villes franco.
    Si, dans un premier temps, le gouvernement Bouchard avait décidé de la « fusion » à Montréal seulement, cela aurait compliqué beaucoup la stratégie de Jean Charest qui aurait eu l’air (et la chanson) de défendre les opposants les plus hargneux et les plus hystériques, ceux du West Island.
    Ce fut une erreur historique de la part d’un gouvernement souverainiste. Erreur plus grande encore que le « beau risque de René Lévesque »

  • Ouhgo (Hugues) St-Pierre Répondre

    15 avril 2011

    Lundi 11 avril dernier, au débat des IPSO de M. Gilbert Paquette à l'UQUÀM, sur le thème de Montréal dans un Qc indépendant, l'ex-ministre péquiste et prof à l'ENAP, M. Rémy Trudel rapportait qu'une idée jadis caressée au Cabinet pourrait servir à promouvoir la Cause:
    Malgré les tribulations des fusions/défusions, il suggère la fusion de Montréal/Laval/Longueuil, pour créer une ville de 4 millions d'habitants, soit la moitié du Québec... Le principal atout d'une telle ville est de rendre possible l'élection d'un maire favorable à l'indépendance du Québec, chose vue comme taboue actuellement à cause des Ti-namis du PLQ qui dominent actuellement la ville. Parce que le français s'est minorisé à Montréal, il n'est plus possible d'en parler comme d'un projet normal. Si d'aucuns croient que cette idée ne peut passer tant que le Québec n'est pas indépendant, c'est la poule ou l'oeuf.
    Bref, si nous laissons les anglophiles nous dire bouf! pour nous faire taire, nous perdrons bientôt la parole.

  • Jacques Bergeron Répondre

    15 avril 2011

    On ne devrait jamais oublier que le maître-d'oeuvre de cette affaire est un dénommé Lucien Bouchard qui avait réussi à convaincre ses troupes du bien-fondé de son choix; soit celui de diminuer l'influence des Canadiens-français Montréalais et Québécois de l'espace montréalais. Je me souviens d'avoir envoyé une lettre à Mme Harel, responsable du dossier de Montréal, lui suggérant de doter l'île de Montréal de trois villes,soit une ville «EST»,très fore majorité de langue française, une ville «centre», faible majorité de notre langue et une ville «Ouest ou WEST» à forte prédominance anglaise.On nous avait répondu que les choix étaient déjà faits,avec les résultats que nous connaissons,une ville qui sera toujours dirigée par des anglophiles et des anglophones avec quelques collabos fédéralistes Canadiens-français,toutes ethnies confondues, ce que nous avons actuellement. Parenthèse: Nos amis ne semblent pas se rendre compte que les scandales,tant montréalais, que québécois ou canadian/canadiens, sont l'oeuvre des fédéralistes,ces grands défenseurs du Canada, genre Harper, Agnatief et autres Coderre et Trudeau fils et complices anti-Québec, et du désir du peuple du Québec de s'émanciper de celles et ceux qui veulent la disparition de notre langue, ce qu'ils ont démontré par leurs lois linguistiques, en débutant avec la déportation des Acadiens qui n'avaient pas accepté de se soumettre à la royauté,puis cette autre loi en 1771 contre le même peuple revenu en Acadie,sans oublier les lois interdisant de parler et/ou d'enseigner le français dans les écoles du Manitoba, de la Saskatchewan, de l'Alberta et de l'Ontario.Dire que des Canadiens-français appuient et protègent le Canada qui souhaite leur disparition?