Chers amis, encore une fois, l'empire médiatique Gesca, de Power Corporation, se porte au secours de leurs valets du parti libéral et du gouvernement Charest. Deux pages dans le Soleil de Québec, sous la gouverne de Gilbert Lavoie, pour attaquer indirectement et grossièrement Mme Marois et justifier la demande de démission de Mme Marois, formulée à l'Assemblée nationale, par le ministre de service M. Béchard, dans le rôle de grand inquisiteur. Quelle manoeuvre grotesque!
Ça fait 10 ans que ces choses sont connues, alors que les observations du vérificateur général, sur les scandales au ministère des transports, datent d'hier!
Il y a des coups de pied au cul qui se perdent: je ne parle pas de la pauvre Mme Boulet, simple pion dans cette affaire, mais de tout ce gouvernement de vendus et de pourris qui nous entraînent, de jour en jour, vers la déchéance et l'insignifiance.
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2 commentaires
Archives de Vigile Répondre
19 novembre 2009M. Pierre Champagne
Je contresigne votre article et surtout le passage suivant:
“ce gouvernement de vendus et de pourris qui nous entraînent, de jour en jour, vers la déchéance et l’insignifiance.”
On ne saurait mieux dire. Merci bien.
Robert B.G.
Jean-François-le-Québécois Répondre
19 novembre 2009@ Pierre Champagne:
Vous dites: «je ne parle pas de la pauvre Mme Boulet, simple pion dans cette affaire»...
Attention! Car, ce n'est vraiment pas la première fois que Julie Boulet se retrouve dans l'eau chaude, depuis 2003! Que sait-elle vraiment, et où commencent et finisssent ses propores responsabilités, dans l'imbroglio qu'elle a fait du Ministère des transports, depuis qu'elle y siège? Et que dire de ses menaces plus ou moins voilées de poursuite, à l'égard de Pauline Marois?
Ça ne faisait que quelque semaine ou mois, en 2003, qu'elle était élue et devenue sous-ministre à la santé, qu'elle était sur la sellette, car son association professionelle rendait public le fait qu'elle avait manqué sérieusement, à la déontologie de sa profession...
Et il y a eu depuis. différents incidents, comme celui impliquant son chauffeur privé, notamment.
Je dirais que l'intégrité et le sens des responsabilités, ne sont pas les principales qualités de Julie Boulet. Comme chez plusieurs libéraux de l'équipe Charest, et notre premier ministre lui-même, d'ailleurs.