Quand le gars est écœuré, il se fâche. C'est mon cas, je restais posé et discret, mais là ça va faire le niaisage. J'attends toujours à gauche à droite, les maudits gogauches, les maudits droitistes. Critique, critique, critique, critique, critique, critique, critique, critique. Établissons la gauche et la droite voulez-vous au lieu de déformer les idéologies des autres.
Pour la gauche, c'est la plus grande justice sociale, idéaux progressistes de communisme, anarchisme, radicalisme, socialisme et social-démocratie. Pour ma part, je me situe là dedans, je ne suis pas communiste, car je suis interventionniste mixte et que le communisme n'est pas une structure économique viable à long terme. " Le terme de communisme désigne, dans son sens théorique initial, l'idéal d'une société sans classe et d'organisation sociale sans État, où la propriété privée serait abolie. Plus largement, il recouvre au sens contemporain du mot l'ensemble des mouvances politiques ayant pour but proclamé de réaliser cette société égalitaire." Je ne rejette pas le privé, car il compense les lacunes du public. Je ne suis pas socialiste non plus, je suis pour le peuple et ses pleins pouvoirs, mais pas socialiste, le socialisme est inflexible au niveau des grands dossiers comme l'environnement, le travail, la santé, l'éducation, etc. "Le terme de socialisme désigne un ensemble très divers de courants de pensée et de mouvances politiques prônant une organisation sociale et économique allant dans le sens d'une plus grande justice, celle-ci supposant une égalité des conditions, ou du moins une réduction des inégalités."
Je suis contre l'égalité des conditions, car la chance existe en ce monde et une organisation économique de gauche ne me rejoint pas directement. Je ne suis pas un radical de gauche, mais je suis radical pour la justice. Je ne suis pour aucune extrême gauche (marxisme) et extrême droite (fascisme). L'Homme n'est pas au service du système, mais le contraire. Au niveau de l'anarchisme, je ne suis pas contre l'État et je ne tiens pas qu'il grossisse comme qu'il diminue, il se divise en secteur qui sait travailler pour la même idéologie. "L'anarchisme a pour but de développer une société sans domination et sans exploitation, où les individus-producteurs coopèrent librement dans une dynamique d'autogestion."
Je suis social-démocrate donc de centre gauche et je dirais que je suis du profil politique 4. Je vais revenir sur cette théorie et qui en fait le but de l'article.
Pour la droite, c'est le libéralisme et néolibéralisme et le conservatisme. "La droite manifeste un certain attachement à l'ordre, considéré comme juste ou comme un moindre mal, et réprouve les changements brusques, notamment sur les questions de société (toute la droite en général), les questions éthiques et sur les questions économiques". La droite = ordre, la sécurité, la tradition et le mérite. Ses caractéristiques sont des valeurs profondes. Je suis pour la moitié de ses caractéristiques, je rejette la tradition et la sécurité. Le monde est un constant changement, être pour la tradition ne permet aucun avancement et le progrès ne peut jamais avoir lieu. Juste au niveau intergénérationnel, il y a modification dans le mode de pensée, la tradition ne convient plus à la réalité. La sécurité ,avoir peur de se faire attaquer sur son territoire, ayoye. Si on ne menace personne, on n’a pas à se sentir menacé. Je veux dire ont est en paix et on combat pour la préserver, alors la sécurité ne doit pas excessive comme plusieurs droitistes pensent. Pour le conservatisme, il y a quatre points importants : . Je n'adhère à aucune de ses politiques, je ne fais que les exposer afin que le monde comprenne et arrête des critiques et des sophistes à cet égard. Pour le néolibéralisme : "la dénonciation du développement excessif de l'État-providence dans les pays développés. L’accroissement des interventions publiques dans l'économie. La promotion de l'économie de marché au nom de la liberté de l'individu et de l'efficacité économique." Pour le libéralisme : "Le libéralisme repose sur l’idée que chaque être humain possède des droits fondamentaux qu'aucun pouvoir n'a le droit de violer. En conséquence, les libéraux veulent limiter les obligations sociales imposées par le pouvoir et plus généralement le système social au profit du libre choix de chaque individu". Je ne suis pas pour le néolibéralisme, mais pour le libéralisme de la base. Tout homme est libre de ses choix et ses responsabilités. Paradoxe à ce système et cette idéologie, que les inégalités augmentent et qu'il a besoin des autres pour survivre (du moins à long terme). Cela encourage l'individualisme, mais encourage en contrepartie, la réussite financière. La majorité du monde est dans le profil politique 2 et devra adopter le profil 4 pour assister à un vrai changement social et économique.
Mon collègue et ami, Sébastien Croteau a élaboré une thèse suite à des opinions fournies par d'autres de mes collègues onistes (et oui on a peut-être 2 % de votes, mais on n’est pas des deux de pique). " Il est vrai qu'il est laborieux de donner une version « définitive » des termes gauche ou droite lorsqu'il s'agit de positionnement idéologique, mais il reste que, historiquement, nous sommes à même de tracer les fondements théoriques de chacun de ces deux mouvements et que ces termes sont bien ancrés dans la conscience collective. Même si nous pourrions trouver plusieurs « défauts de surface » au fait d'utiliser les termes gauches/droits, il reste qu'on les utilise (et d'autres) pour s'orienter sur l'échiquier politique. Ils sont des points de repère nous permettant d'arriver à notre destination idéologique selon les enjeux. Le seul problème est que beaucoup trop de gens utilisent ces termes sans la rigueur intellectuelle (et la compréhension claire des termes employés) qui devrait accompagner un tel exercice. Les mots perdent de leur sens quand on les utilise n'importe comment." Une citation de notre chef Jean-Martin Aussant va comme suit : Avant d'être à gauche et à droite, il faut être. "C'est vrai que les gens se positionnent sur l'axe gauche/droite afin d'influencer les idéologies adverses et prouver qu'elle est la meilleure, mais est-ce vraiment nécessaire? Même le centre est positionné sur l'axe gauche/droit. À mon sens, Option nationale ne peut plus maintenir le flou quant à son positionnement idéologique général. L'entretenir pourrait s'avérer problématique pour la suite des choses. Soit ON fait preuve d'honnêteté intellectuelle et qu'il assume son côté centre-gauche dans son discours (on a qu'à regarder la plateforme électorale pour s'en convaincre), tout en précisant sa pensée sur la temporalité de son positionnement gauche/droite (le fameux AVANT dans la citation) dans son cheminement vers l'indépendance, ou soit qu’ON prend la citation au pied de la lettre et exclût toutes mesures pouvant se positionner sur l'axe gauche/droite dans sa plateforme." Je vous laisse consulter son article sur politicoglobe pour d'amples informations. Le lien en bas de l'article.
Enfin, ma théorie personnelle de position idéologique. Il y a ce que j'appelle les profils politiques 1, 2, 3 et 4. Pour que les gens comprennent ma légende, je vais justement me servir de cette mouvance idéologique pour faire comprendre le principe. Je divise les gens en quatre groupes, des gens selon une idée de gauche (social-démocratie, anarchisme, radicalisme, etc.) et les gens selon une idée de droite (néolibéralisme, libertarisme, conservatisme, etc.). J'adopte maintenant les moyens d'appliquer ses idées, c'est-à-dire le pragmatisme. Le pragmatisme pour faire court c'est l'action d'un acte sans perdre de logique, mais sans avoir recours à la rationalité cartésienne. Selon le Larousse : Doctrine qui prend pour critère de la vérité la valeur pratique qu'il n'y a de vérité absolue et que n'est vrai que ce qui réussit. Disons on applique une action directement, sans passer par des détours souvent futiles. Allez du point A au point B, sans détour. Plusieurs vont dire que c'est des "pressés". Des gens qui ne prennent pas leur temps pour faire tout croche. Pas nécessairement, on accentue la compétitivité et la droiture. On peut qualifier ce pragmatisme comme celui de droite et aussi voir le type A et le type B en psychologie pour déterminer les personnalités des individus. Pour le pragmatisme de gauche, on peut dire que la patience, l'exactitude, la précision sont de mises. Le contraire finalement de l'autre pragmatisme.
Le profil politique 1 est ce que j'appelle des idées de droite avec un pragmatisme de droite. Ouch, ça ne dort pas au gaz. Un droitiste libertarien, néolibéral ou conservateur. Pour le profil numéro 2, j'opte pour des idées de droite avec un pragmatisme de gauche. C'est à dire, un droitiste libéral ou impérialiste. Cela applique une mesure restrictive, souvent non sociale et non identitaire, a pour l'économie une plus grande considération, mais n'applique pas des mesures radicales dans ses propos.
Le profil politique 3 est ce que j'appelle des idées de gauche avec un pragmatisme de gauche. Un gauchiste marxisme, communisme ou socialisme. Le profil 4 est des idées de gauche avec un pragmatisme de droite. Un gauchiste radical, anarchiste ou social démocrate. L'anarchisme et le radicalisme sont proches du pragmatisme selon le sens que je l'aborde. Il y a toujours des nuances et distinctions à faire (j'ai dit plus haut que je ne suis ni radical, ni anarchiste).
Si nous plaçons, les profils des 5 partis représentés officiellement au Québec, nous avons, le profil 1 pour la CAQ, le profil 2 pour le PLQ (et aujourd'hui le PQ), le profil 3 pour QS et finalement le profil 4 pour ON (autrefois le PQ). Vous voyez que j'ai choisi celui qui me convient le plus. En résumé, votons par conviction et non stratégique contre un parti, mais pour un parti qui représente nos valeurs. On dit que cela nuit à la stabilité du gouvernement. On est en démocratie ou on est dans une dictature oligarchique ?
Je me suis amusé en recalculant les élections québécoise 2012 et mettant 4 partis distincts : Le parti souverainiste de droite, de gauche, le parti fédéraliste de gauche, de droite et on obtient des résultats surprenants. J'ai établit comme stratégie qu'il y avait 58 % de gauchistes et 42 % de droitiste au Québec. 53 % pour l'indépendance et 47 % contre. Même si les sondages à l'époque expliquait que 40 % et compté selon les souverainistes déçus qui ont voté pour la CAQ et aussi légèrement pour le PLQ, ou simplement les indécis orphelins des partis établis qui représentent 14 % de la population (taux de participation à 76 %). Avec le système uninominal à un tour, on obtient 112 comtés sur 125 de la gauche souverainiste. Comment je suis arrivé à ce résultat, j'ai calculé que chez le PQ il y a 61,6 % de gauchistes souverainistes, le PLQ 16,8 %, la CAQ 21,4 %, QS 66,6 % et ON 75 %. À droite PQ 26,4 %, PLQ 23,2 %, CAQ 20,6 %, QS 0 %, ON 25 %. La gauche fédéraliste est représentée ainsi : PQ 8,4 %, PLQ 25,2 %, CAQ 29,6 %, QS 33,4 %, ON 0 %. La droite fédéraliste se contente de 3,6 % chez le PQ, 34,8 % chez le PLQ, 28,4 % chez la CAQ, 0 % chez QS et ON. Avec les résultats de la dernières élections soit 1 390 000 péquistes, 1 360 000 libéraux, 1 180 000 caquistes, 263 000 solidaires et 82 500 onistes, j'obtient le résultats selon le tableau suivant :
Élections 2012 (Gauche-Droite)
Partis Députés** Gauche % Droite % Total
Parti Québécois 1 975592 39,4 418111 23,2 1393703
Parti Libéral 11 571607 23,1 789361 43,7 1360968
Coalition Avenir Québec 1 601920 24,3 578315 32 1180235
Québec Solidaire 112 263111 10,6 0 0 263111
Option nationale -* 61904 2,5 20635 1,14 82539
Total 125 2478261 57,9 1806422 42,1 4280556
72 % taux partic.
* Compris dans le 112 députés.
** LE PQ est établit comme le parti droite souverainiste, le PLQ gauche fédéraliste, la CAQ droite fédéraliste et QS/ON comme gauche souverainiste.
Enfin ce que je veux dire c'est que si on voterait par conviction, sans magouille et progagande et qu'aucun parti ne serait limité par les médias et par leur discours et que chaque parti opterait pour une approche claire de gauche/droite souverainiste/fédéraliste, on obtiendrait ce résultat. La seule marge d'erreur est le nombre de souverainistes qui on voté pour le mauvais partis et les indécis en faveur de l'indépendance.
Pour les critiques interpartisanes ou idéologiques, le respect, ça existe et la discrimination que j'entends pour les jours envers les droitistes comme les gauchistes est stupide. Il a des gauchistes qui sont pourvus de raison et des droitistes pourvus de cœur. Est-ce qu'on peut arrêter ses enfantillages et aller de l'avant? Est-ce qu'on peut arrêter notre positionnement sur l'axe gauche/droite au prix d'y laisser notre âme et notre respect mutuel. À ce que je sache on est des êtres humains et la dualité politique est une abomination qui alimente l'aliénation et le manichéisme que les Québécois sont enchaînés, à nous d'enlever ses chaînes. Même si on est différent au niveau ethnique ou idéologique, on paie tous de l'impôts et des taxes pour les mêmes services qui laissent à désiré et nous continuons à rouler sur des routes dignes de Bagdad à cause que l'argent est mal réparti entre les secteurs du PIB, les entreprises, les ménages et l'État. Voilà ce qui arrive qu'en on veut se montrer indépendant du fédéral, mais cela c'est une autre histoire...
Dualité gauche/droite
Votons par conviction et cessons la discrimination morale
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1 commentaire
Archives de Vigile Répondre
5 juillet 2013Quand on cite Wikipédia, il faut dire qu'on cite Wikipédia. Cette encyclopédie est protégée par le droit d'auteur, et la licence uniforme accordée à tous ses lecteurs permettent les citations À CONDITION d'indiquer clairement quels sont les extraits copiés de Wikipédia, et bien dire que ça vient de Wikipédia. Juste mettre une paire de guillemets sans explication, ce n'est pas suffisant.
Ce que j'ai trouvé dans votre texte, c'est l'intro de http://fr.wikipedia.org/wiki/Droite_%28politique%29 ; j'ai pas cherché plus loin pour savoir si vous avez fait d'autres citations du même genre.