GOUVERNEMENT COUILLARD

Contraste frappant

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Trudeau fait mal paraître Couillard et sa gang

Il ne serait que temporaire, le souffle d’air frais qui nous arrive d’Ottawa depuis l’élection d’un gouvernement libéral qui a été privé du pouvoir pendant une décennie et qui contraste avec l’atmosphère de plus en plus viciée qui règne à Québec.
Tout nouveau, tout beau, dit l’adage. Quoi qu’il en soit, l’arrivée de plusieurs jeunes ministres bien intentionnés à Ottawa force la comparaison avec la présence, à Québec, d’un gouvernement qui n’a eu qu’à profiter des erreurs de ses adversaires pour reprendre le pouvoir après seulement 18 mois dans l’opposition.

En excluant cette parenthèse à peine suffisamment longue pour élire un nouveau chef, le PLQ aura dirigé le Québec pendant 15 des 16 années qui se seront écoulées à la fin du présent mandat. C’est beaucoup plus qu’il n’en faut pour s’incruster dans les tapisseries du parlement !

L’arrivée de M. Philippe Couillard, en 2014, aurait pu être synonyme de renouveau. Il n’en fut rien. Au contraire, le nouveau chef a marché dans les pas de son prédécesseur avec encore plus de détermination, tant en matière de politiques budgétaires qu’économiques et sociales. Pour tout dire, les libéraux québécois sont restés « scotchés » aux préoccupations du passé alors que la conjoncture mondiale et nationale a beaucoup évolué depuis la crise de 2008.

Au chapitre des finances publiques, le seul objectif, pour ne pas dire la seule obsession du PLQ est l’atteinte du déficit zéro malgré une croissance anémique. Pour y parvenir, on est prêt à tout, à la manière des conservateurs de Stephen Harper.
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