Bientôt, le cannabis deviendra légal. Tant pis pour les ravages que cause cette drogue. Un discours complaisant se répand partout.
Le plus curieux est que les personnes qui défendent la consommation de cannabis dénoncent les dangers du tabagisme. Tout le monde connaît les méfaits de la fumée de tabac primaire, secondaire ou tertiaire. Mais entendez-vous parler des dangers de la fumée de cannabis primaire, secondaire ou tertiaire ? Non. C’est qu’il n’y aurait pas d’études sur le sujet. Le cannabis ne serait pas plus nocif que l’alcool. Allons donc. Je propose une expérience simple. Pour commencer, posez un verre de vin sur une table à côté d’un enfant. Au bout d’une demi-heure qu’observez-vous ? Rien. Refaites la même expérience en laissant brûler un joint dans un cendrier à côté du même enfant. Quel sera le résultat selon vous ?
Absence de vraie campagne de publicité contre le cannabis
Ceux qui s’imaginent que la consommation de cannabis va diminuer grâce à la nouvelle législation se bercent d’illusions. Plusieurs compagnies de production de cannabis appartiennent à des petits amis des Libéraux d’Ottawa. Ces compagnies vont-elles accepter que leurs profits stagnent ou diminuent ? Jamais. Au contraire, elles vont mousser la vente de leur produit. D’ailleurs, il n’y a pas vraiment de campagne publicitaire pour avertir le public des méfaits du cannabis. En plus, si le cannabis renfloue les coffres du gouvernement, ce dernier deviendra lui aussi un accro de cette drogue.
Trudeau un consommateur ?
Peu importe que le cannabis fasse baisser substantiellement le quotient intellectuel, qu’il risque de provoquer des maladies mentales graves, qu’il entrave le développement intellectuel, qu’il provoque des accidents de la route, etc., Justin Trudeau a décidé de légaliser cette drogue. Probablement parce qu’il en est lui-même un consommateur.
Puanteur de mouffette
Il faudra donc s’habituer à respirer à plein nez la puanteur de mouffette du cannabis, dans les rues, dans les parcs, dans sa cour. Tant pis pour ses effets sur les enfants ou sur la santé. Tant pis aussi pour les coûts sociaux engendrés par cette saloperie.
Rendre docile
Bravo Justin. Après tout, le cannabis rend docile. Rendre le peuple docile, n’est-ce pas le rêve des mauvais dirigeants ?