Depuis 2010, un ministre du gouvernement québécois qui a des intérêts dans des entreprises cotées en Bourse doit vendre toutes ses actions ou les placer dans une fiducie sans droit de regard. L’objectif est d’éviter les apparences de conflit d’intérêts et les conflits d’intérêts potentiels.
Mais c’est quoi, au juste, une fiducie sans droit de regard ? Qu’est-ce qu’un élu peut faire — et surtout ne pas faire — avec son portefeuille de placements ? La fiducie s’applique-t-elle au cas de Pierre Karl Péladeau ?
Les réponses, en deux minutes :
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