Braquer de nouveau l'indépendance! Remettre l'indépendance à l'ordre du jour!

Moderniser notre propos ou notre message! PQ du début des années 2000!

Tribune libre

Braquer de nouveau l'indépendance, Jonathan Valois! Remettre l'indépendance à l'ordre dun jour;Pauline Marois.
Voilà justement où notre parti politique a erré depuis plusieurs années en ne parlant pas de l'indépendance et du seul motif pour lequel nous la voulons cette indépendance: vivre et prospérer en Français sur cette terre «inhospitalière» anglo-saxonne, comme le font les Anglo-saxons dans leur langue et leur culture. Enlever ce motif et notre idéal perdra plus de 75% de sa clientèle, ce que nous écrivions à M. Landry, alors premier ministre du Québec, lorsque son parti gouvernemental était à son plus bas( moins de 25%) dans les sondages. Ce qui était vrai hier, est toujours vrai aujourd'hui. Il nous faut donc reprendre le «bâton» du pèlerin et remettre à l'ordre du jour notre projet bâti sur l'idéal que nous poursuivons.Il nous faut éviter de tomber dans le piège de celles et ceux qui croient que nous devons
«moderniser» notre propos indépendantiste. Ce que nous devons faire, c'est de nous engager, de toutes nos forces et avec tout notre idéal, dans la promotion de l'indépendance du Québec en utilisant tous les moyens pédagogiques à notre disposition. Ce n'est, certainement pas, en excommuniant des indépendantistes que nous atteindrons notre but. C'est à partir d'une idée claire, celle de se donner un «État indépendant de langue française» par tous les moyens pédagogiques et démocratriques que nous obtiendrons ce que nous recherchons depuis que le roi de France a cédé le Canada et ses concitoyens à l'Angleterre en ce «7ème jour» de février 1763, et non pas suite à une défaite humiliante de «1759», que certains situent en 1760, qui est source d'assujettissement, alors que la «fierté» doit être ce qui nous anime dans notre démarche d'émancipation politique.Si nous voulons vraiment atteindre notre «objectif»,(le voulons-nous vraiment?)nous nous devons de le construire sur la fierté d'être ce que nous sommes et ce que nous voulons continuer d'être. Nous devons éviter de respecter les «ennemis» (non pas les adversaires) de notre idéal en ne les respectant pas plus qu'ils ne respectent les indépendantistes,ce que le vol du référendum d'octobre 1995 est venu confirmer,par toutes les malversations des «fédéralistes,toutes ethnies confondues», dirigés de main de «maître/es/assujetti» Jean Chrétien, et autres Stéphane Dion de triste mémoire. Comment pouvons-nous oublier que cet État, dont nous rêvons,serait indépendant depuis ce jour d'octobre 1995, n'eut-été des «400,000» votes «illégaux», des «30,000»
«citoyennetés accordées par anticipation», des nombreux «scandales commandités» par «Ottawa»? Ces malversations devraient être suffisantes pour nous convaincre que nous devons faire «fi» de respect envers nos ennemis et ceux du Québec.On ne peut, et on ne doit, espérer remporter la victoire en portant le moindre petit respect aux ennemis de notre idéal, puisqu'eux ne s'en sont jamais préoccupés et ne s'en préoccuperont jamais. Nos prochaines actions ne doivent pas être construites à partir d'un sentiment de «vaincu». Elles doivent être construites à partir d'un sentiment de «fierté», qui ne tiendra compte que de notre volonté de vivre en «Français» sur cette terre «anglo-saxonne inhospitalière« pour notre langue et ses locuteurs. Afin d'atteindre notre objectif nous devons «éviter» de construire notre idéal autour de «partis politiques».
Cet idéal que nous recherchons doit être promu par les indépendantistes, afin d'éviter d'être à leur remorque, et de cet autre souci d'être mis face à des «excommunications» par des dirigeants et des dirigeants politiques craignant les remarques désobligeantes des fédéralistes/ennemis de notre idéal, envers les actions des indépendantistes qui en font la promotion. Pour éviter les actions néfastes à l'égard des indépendantistes, nous nous devons de les asseoir sur des «associations,ou des organismes, indépendantistes» pouvant agir sans se préoccuper de Mme Marois, ou de Jonathan Valois ou de quelque autre dirigeant-e politique. Notre idéal est trop précieux et trop important pour le laisser véhiculer par des gens dont la fierté ne dépasse pas le monde électoral dans lequel ils
vivent. Notre action sera axée sur la «fierté d'être» et sur rien d'autre, et ne doit pas craindre de blesser les âmes sensibles de nos ami-e-s et de nos ennemi-e-s.On doit se convainre,si ce n'est déjà fait, que le respect que nous pouvons accorder aux fédéralistes, ne peut que contribuer à notre assujettissement et jouer contre l'idéal poursuivi depuis 1763 par notre peuple. Nous devons même nous convaincre,si besoin était,que nous
devons emmerder les fédéralistes, et même nos ami-e-s indépendantistes jusqu'à la dépression, s'il le faut? Vouloir vivre et se développer en «français», dans toutes les «sphères des activités» des peuples indépendants, doit redevenir l'objectif à atteindre.Comme le disait si bien, (début des année 60)Pierre Bourgault,«Oui» nous sommes capables»; si nous osons appelé les choses et les ennemis par leurs noms.
Jacques Bergeron,Ahuntsic, Montréal


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1 commentaire

  • Archives de Vigile Répondre

    24 février 2009

    Les mots indépendances, souveraineté etc pour être comestibles à tous doivent être accompagnés de mot pays, pays québécois. Un peu de concret ne fait pas de mal, surtout à ceux que des termes abstraits ne séduisent pas. Ensuite il fait dessiner ce pays au lieu de se plaindre en réagissant à l'agenda des fédéralistes comme des plaingnards. Reste le loyalisme à la couronne de Gesca et de ses journalistes qu'il faut combattre positivement. Éh là on est pas sorti du bois. Desmarais courtise le Sarkosy de l'humiliation et autres fédéralistes au pouvoir qui sse fichent bien de la nation québécoise.