Allemagne : les crimes commis par les migrants censurés dans les médias

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Nier la violence des migrants pour ne pas remettre en question le changement de peuple

L’Allemagne a peur !


En Allemagne, la presse et les médias sont « muselés » par ordre du gouvernement. Ils n’ont pas le droit de signaler les crimes commis par les « migrants ».


Cette consigne, cette censure, est confirmée par un haut responsable de la police de Francfort dans une interview accordée au quotidien « Bild ».


André Schulz affirme que 90% au moins des crimes sexuels commis en Allemagne sont « effacés » des statistiques officielles.


Devant le laxisme judiciaire l’épidémie de viols commis par les « migrants » se poursuit sans relâche.


Les individus arrêtés pour crimes sexuels sont libérés après un simple interrogatoire ou les peines appliquées sont si légères que les suspects peuvent récidiver en toute impunité.


Plus d’une douzaine de viols et d’agressions sexuelles sont commis chaque jour. Ce sont les statistiques provisoires pour 2017.


Quatre fois plus qu’en 2014, date à laquelle Angela Merkel a ouvert son pays à plus d’un million de migrants, musulmans en grande majorité, et en provenance d’Afrique et du Moyen-Orient.


Un rapport trimestriel, publié par l’Office fédéral de la police criminelle, intitulé « Criminalité en contexte migratoire »,révèle que les « migrants » ont commis 3466 délits sexuels au cours des NEUF premiers mois de 2017, soit 13 par jour environ. Contre 3404 pour toute l’année 2016 (9 par jour), 1683 en 2015 (5 par jour), 949 en 2014 (3 par jour) et 599 en 2013 (2 par jour).


Seulement un délit sur deux, commis en Allemagne, est considéré comme résolu par la police et 90 % de ces délits sexuels ne sont pas répertoriés.


Dans ces statistiques officielles, toute référence aux « migrants » est interdite. Il n’est question que d’hommes « à peau foncée » ou de « Méridionaux ». Cela dans l’objectif de dissocier les criminels de l’islam et de ne pas affoler les citoyens.


« Consigne stricte a été donnée de ne pas signaler les crimes commis par les réfugiés. Il ne faut répondre aux médias que s’ils posent des questions précises. » Déclaration faite à « Bild » par un haut responsable de la police.


De très nombreux délits ne sont pas signalés, ou sont minimisés, afin de ne pas alimenter les sentiments anti-immigration de la population.


*Le 4 janvier, un homme de 24 ans, dont la nationalité a été dissimulée, a violé une femme dans une école de Hanovre.


*Le 10 janvier on apprend qu’à Magdebourg, une femme a été violée et gravement blessée à la gare centrale. Ce crime, commis le 27 juin 2017 n’a été signalé que six mois plus tard.


*Toujours ce 10 janvier, un demandeur d’asile tchadien de 31 ans a agressé sexuellement deux adolescentes dans un TER en provenance de Müllheim. Il avait été appréhendé la veille pour l’agression sur une autre femme mais remis en liberté.


*Le 11 janvier, deux jeunes filles de 15 ans sont agressées sexuellement dans le métro de Munich.


*Entre le 6 octobre et le 26 janvier, plusieurs étudiantes ont été agressées à l’université Goethe de Francfort par un Nord-Africain.


*Le 18 février, une femme de 33 ans a été violée à plusieurs reprises, après avoir été assommée, dans un cimetière de Bochum.


*Le 28 février, un demandeur d’asile syrien de 18 ans a agressé sexuellement plusieurs femmes dans un train en route vers Munich


*Le 22 février, une lycéenne anglaise de 18 ans a été violée par deux hommes à Berlin. Ce viol n’a été signalé qu’après le retour de la victime dans son pays par les médias britanniques.


* Le 4 mars, le « Berliner Zeitung » a révélé l’identité d’un agresseur qui avait violé au moins quatre femmes dans le métro de Berlin, un égyptien de 30 ans.


De très nombreux viols et agressions sexuelles se produisent dans les transports en commun (gares routières et ferroviaires). A Berlin seulement, la police a enregistré 296 agressions sexuelles uniquement dans les autobus et les trains. Deux fois plus qu’en 2016 !


Au cours de ce premier trimestre 2018, les auteurs, quelquefois en bande, de 67 viols et agressions sexuelles ont été arrêtés par les polices de la plupart des villes allemandes. Il serait trop long d’en publier la liste et les circonstances (Lire « Les Observateurs.ch » du vendredi 20 avril 2018)


Comme il est exclu que le ministère de l’Intérieur français fournisse les statistiques des viols et agressions sexuelles commis dans notre pays en 2017 et ceux des précédentes années ainsi que celui du premier trimestre 2018, nous espérons qu’un haut fonctionnaire de notre police nationale prenne la décision, à l’exemple de ce haut fonctionnaire allemand, de nous communiquer les chiffres exacts afin de les porter à la connaissance de nos concitoyens.


L’Allemagne a peur…et la France ?