Agenda 21 et mise en place du Nouvel Ordre Mondial

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L'Agenda 21 : vert à l'extérieur et rouge à l'intérieur ou les nouveaux habits écolos du totalitarisme socialiste

Quoi qu’on en dise, il n’est pas possible de remettre en cause le « Nouvel Ordre Mondial » qui est actuellement en train d’être mis en place, les faits sont là et incontestables, et si l’on doit parler du Nouvel Ordre Mondial, il faut également aborder le sujet de l’Agenda 21 qui n’est pas connu du plus grand nombre même s’il n’est pas aussi secret que le TAFTA comme on peut le voir ici pour la France, et là en résumé:



L’Agenda 21 a été mis en place en 1992 lors de la conférence des Nations-Unies sur l’environnement et le développement à Rio de Janeiro au Brésil, organisée par Maurice Strong, un milliardaire canadien du pétrole et des affaires et porte-parole des Rothschilds et des Rockefellers. Strong fut le chef de file pour le programme d’exploitation-de-l’environnement-pour-arnaquer-les-gens, main cachée de l’environnement dans le réseau de la Table Ronde qui comprend le groupe Bilderberg, la Commission Trilatérale et le Conseil des Relations Extérieures.


Strong disait à l’appui de l’Agenda 21 : « N’est-ce pas le seul espoir pour cette planète que la civilisation industrialisée s’effondre ? N’est-il pas de notre responsabilité de le provoquer ? » C’est un homme qui est devenu super-riche grâce à l’industrie du pétrole. Il vit aujourd’hui en Chine dans un luxe de milliardaire où l’industrie émettrice de carbone s’envole et il est directeur du Chicago Climate Exchange [CCX en abrégé] (dont le principal actionnaire est Goldman Sachs), qui est le premier projet mondial et le seul système de réduction des gaz à effet de serre de valeur légale en Amérique du nord. Le CCX a été mis en place avec un financement de la Fondation Joyce où Barack Obama fut un jour directeur. Strong et Al Gore s’en sont mis plein les poches grâce au Carbon Exchange et autres moyens grâce aux mensonges dont ils font la promotion sur le changement climatique et aux solutions qu’ils proposent. Kate Johnson a écrit sur le site de Global Research : « Les mêmes hommes qui nous ont vendu le mythe du réchauffement climatique causé par l’homme sont les mêmes qui nous ont venu la « solution » d’une taxe carbone et le Emissions Trading Scheme [système d’échange de quotas d’émissions] et aujourd’hui ils profitent de leurs investissements lucratifs basés sur des mensonges ». Strong s’est envolé pour la Chine en 2006 après avoir été accusé de corruption en rapport avec le pétrole des Nations-Unies pour le programme alimentaire.


La propagande sur le changement climatique est une technique de non-problème-réaction-solution pour justifier l’Agenda 21 et son compagnon, le Traité sur la Biodiversité. C’est un document internationalement contraignant impliquant presque 200 pays. Les US ont signé le traité, mais il n’a pas été ratifié par le Sénat après que des gens comme le Dr Michael Coffman, écologiste et scientifique de l’écosystème ait exposé ses réelles conséquences et implications. Il dit avoir compris pendant les années 80 et 90 que le plan était de prendre comme excuse une protection de l’environnement pour confisquer la moitié des terres des US. Des plans similaires existent pour tous les autres pays. L’Amérique a pu ne pas ratifier le traité, mais il est mis en œuvre actuellement. L’Agenda 21 demande un contrôle mondial centralisé de toutes les terres ; de toutes les propriétés privées, de toutes les sources et distribution d’eau et de toute la production et la distribution alimentaire.


L’Agenda 21 est nommé « agenda pour le 21ème siècle » et il fait penser à un fascisme/communisme mondial. Voici un résumé de ce que l’Agenda 21/Développement Durable/Biodiversité cherche à imposer :



• La fin de la souveraineté nationale

• La planification et la gestion étatisées des territoires pour toutes les ressources, les écosystèmes, les déserts, forêts, montagnes, océans et l’eau douce; l’agriculture; le développement rural; la biotechnologie; et l’assurance d’une « équité » (esclavage équitable)

• L’État « définit le rôle » des entreprises et des ressources financières

• Abolition de la propriété privée (ce n’est pas « durable »)

• « Restructuration » de l’unité familiale

• Des enfants élevés par l’État

• On dit aux gens quel sera leur travail

• Restrictions majeures des déplacements

• Création de « zones de peuplement humain »

• Repeuplement de masse car les gens sont forcés de laisser vacantes les terres où ils vivaient auparavant

• Éducation abrutissante (réalisée)

• Dépopulation mondiale massive à la poursuite des éléments ci-dessus



Cet horrible programme est coordonné par les Nations-Unies, fer de lance d’une dictature mondiale, via un réseau non-gouvernemental appelé autrefois le Conseil International d’Initiatives d’Environnement Locales [en anglais ICLEI, International Council of Local Environmental Initiatives] et aujourd’hui connu comme Gouvernements Locaux pour la Durabilité, bien que le nom abrégé ICLEI soit toujours en usage. Les Nations-Unies ouvrent maintenant des « ambassades » autour du monde nommées « Maisons des Nations-Unies » sous couvert d’accroître la sensibilisation des activités des Nations-Unies, mais non les activités que les gens ont vraiment besoin de connaître. Ils en ont ouvert une à Hunter Square, à Édimbourg, en Écosse, par exemple.


Les Gouvernements Locaux pour la Durabilité (ICLEI) et d’autres organisations introduisent le programme dans chaque village, ville, cité et région et il commence déjà à s’étendre autour du monde. L’infrastructure d’organisation de l’Agenda 21 est déjà fantastique et implique des agences du gouvernement, des organisations non-gouvernementales (ONG), des think-tanks, des sociétés, des fondations, des opérations « de formation » (contrôle de l’esprit) et des « initiatives » qui ont bâti l’infrastructure de ce qu’ils appellent la société « post-industrielle, post-démocratique » alors que la foule continue ses activités quotidiennes, inconsciente de la prison qui se construit autour d’elle d’heure en heure.


Harvey Ruvin, vice-président de l’ICLEI, était interrogé sur la manière dont l’Agenda 21 affecterait les libertés en rapport avec la Constitution américaine et la Déclaration des Droits, la propriété privée et la liberté d’expression. Il a répondu : « Le collectif doit prendre le pas sur les droits individuels ». L’arrogance de ces gens est époustouflante. Le réseau extraordinaire qui soutient l’ICLEI et l’Agenda 21 incluent diverses institutions. Celles-ci et de nombreuses autres travaillent au même but – l’Agenda 21 et la mise en esclavage total des humains autour du monde, bien que la plupart de ceux qui sont impliqués n’auront aucunement l’idée qu’ils construisent une prison mondiale pour eux et leurs familles.


Une autre de ces organisations de premier plan est le Conseil des Entreprises Mondiales pour le Développement Durable qui inclut la monstrueuse société Monsanto. La destruction de terres agricoles, la contamination des pays avec des toxines et le remplacement d’aliments corrects par des organismes génétiquement modifiés mortels et destructeurs de sol, telle est la contribution de Monsanto pour la « durabilité ». L’Agenda 21 est en fonction dans plus de 600 villes, cités et comtés des US et s’étend de jour en jour.


Un membre des comités de l’Agenda 21 de Santa Cruz en Californie, disait au milieu des années 90 que les propositions qu’il entendait étaient si folles qu’il en riait car elles ne pourraient jamais être appliquées. Elles incluaient que « la surface de la Terre Mère ne soit pas éraflée » ; les humains seraient parqués dans des zones de peuplement ; l’éducation devrait se concentrer sur l’environnement en tant que principe d’organisation et tous les aspects de la vie seraient couverts par l’Agenda 21, mais tous ces programmes délirants sont introduits aujourd’hui. Rien que des visages heureux, gentils, souriants, mais la réalité est que l’Agenda 21 est une stratégie vicieuse, brutale, inhumaine pour imposer un état orwellien mondial.


Les manipulateurs de cet agenda soit créent une organisation locale ou en détourne d’autres, plusieurs d’entre elles dans des lieux largement peuplés et ils placent leurs dirigeants (sous contrôle) pour accorder le projet de l’Agenda 21 à leur communauté conjointement avec des idiots involontaires non informés à qui on vend un cauchemar humain comme moyen de sauvetage de la planète. Ce qui leur permet de prétendre que les décisions ont été prises après une « participation publique » alors que cela aurait été la dernière chose qu’ils voulaient et 99 % de la « communauté » n’a jamais entendu parler de l’Agenda 21 et encore moins pu en parler. Ils ne veulent pas de démocratie, voilà pourquoi ces gens discutent en privé, parfois même en public, d’une société post-démocratique, post-industrielle.


Ils souhaitent contrôler chaque homme, femme et enfant de la planète – tout le monde et partout et toute ressource, source d’eau et morceau de terre. Dans ce but ils ont besoin d’une structure mondiale de contrôle fasciste qui s’implante directement dans toutes les communautés locale sous des autorités à l’échelon local qui renforcent la volonté du centre mondial. C’est pourquoi il y a une telle emphase dans l’Agenda 21 sur les autorités locales et municipales.


Il existe une « organisation de formation » nommée But Commun (finalité commune, consensus commun, tout le monde les mêmes) financée par de grosses sommes d’argent données par les gouvernements et les autorités locales, les forces de police et autres institutions d’état pour « former les dirigeants » de la société post-démocratique, post-industrielle. But Commun a été largement représenté dans ‘l’enquête’ Leveson conduisant en Grande-Bretagne à de nouvelles lois pour les médias. Ce n’est pas un programme de formation ; c’est un programme de programmation qui donne des administrateurs zombis inconditionnels qui servent le dieu de l’Agenda 21 et l’Union Européenne partenaire. Le thème de « commun » s’applique aussi à la toujours plus grande standardisation de lois et règlements et à une référence constante à la « loi internationale ». C’est le déploiement de la dictature mondiale de l’Agenda 21. Que faut-il pour être un dictateur mondial ? Des lois auxquelles chacun sur terre doit obéir – une loi internationale et une standardisation de la réglementation mondiale.


Article en intégralité sur Bistrobarblog.over-blog.com



Rose Koire tente justement d’informer les populations sur le sujet, mais combien pour réellement écouter ou accepter de voir les points reliés, car le problème est justement là, les médias n’ont pas la possibilité d’informer réellement sur le sujet, ce sont les possesseurs des-dits médias qui décident de ce qui peut être dit ou non, problème qui ne risque pas de s’arranger en France


Alors? Conspiration? Simple théorie pour les plus crédules? Réalité? Seul l’avenir nous en apportera la confirmation, mais pour l’instant, difficile de douter…