Montréal - le choc

Harel croit qu'Accurso a miné sa campagne



Louise Harel, la nouvelle chef de l'opposition à l'hôtel de ville, s'interroge sur le rôle de l'entrepreneur...

Ce [brûlot raciste->23305] devrait être réédité dans tous les journaux francophones du Québec afin que tous comprennent à qui ils ont à faire. Je n’ai jamais rien lu d’aussi tordu et dégueulasse! Normand Richard Rouyn-Noranda, 9 novembre 2009

Why Anglos Prefer the Mafia to the Separatists



Here are a number of reasons why Anglos prefer the Mafia to the Separatists: 1) The Mafia only wants control over drugs, prostitution and … construction. Separatists want control over everything 2) The Mafia doesn't force everyone to speak Italian 3) The Mafia doesn’t depress housing prices 4) The Mafia isn’t the reason our children move to Toronto and Calgary and Vancouver. 5) You can reason with the Mafia.

La concurrence contre la corruption



On aimerait bien que la vertu soit si solidement ancrée dans la nature humaine qu'il devienne impossible de tirer profit d'une situation pour s'enrichir indûment aux dépens des autres. Mais la réalité est que plusieurs mettront de côté leur intégrité personnelle pour succomber à l'appât du gain, surtout s'il leur est facile de contourner les règles sans risquer de se faire prendre. Ni le secteur privé, ni le public ...

Le pernicieux sentiment d'incapacité de Montréal



Le discours des tenants de la lucidité ambiante repose trop souvent sur les principes du néoconservatisme politique et du néolibéralisme économique triomphant, dont l'objectif central repose sur la cupidité individuelle.

La dernière bataille de l'impératrice de l'Est



Louise Harel Photo: Ivanoh Demers, La Presse *** Katia Gagnon - Pour sa dern...

Pourquoi Diane Lemieux a perdu

et pourquoi ce n'est qu'un début


Le triste constat à tirer du 1er novembre, c'est que, même dans le contexte extrême d'une ville de Montréal livrée aux pires magouilleurs, si les anglophones votent très différemment des francophones, si les allophones votent comme des anglophones et si les francophones sont minoritaires, alors ces derniers sont condamnés à toujours perdre.

La marque de l'époque



Mardi, la présidente du Conseil du trésor, Monique Gagnon-Tremblay, a annoncé le plus sérieusement du monde l’adoption d’une nouvelle politique pour « s’assurer que les organismes publics ne contractent qu’avec des entreprises honnêtes ». Il suffisait d’y penser.

Voter : un droit et un devoir



L'éditorial de [Josée Boileau en date du 3 novembre->33122] soulève une question à laquelle il vaudrait la peine de réfléchir collectivement. Le vote devrait-il être obligatoire? Le citoyen qui veut changer ses armoires de cuisine doit se munir d'un permis municipal. Le citoyen qui veut conduire un véhicule automobile doit posséder un permis de conduire. Le citoyen qui ne veut pas être poursuivi par l'État doi...

Avant qu'elle nous crève, changeons les règles de la démocratie anglaise



Les programmes n'étaient pas trop denses. Plusieurs nouveaux enjeux se sont imposés. Les candidats ne se ressemblaient pas. Ils avaient même du relief. Je le répète : la campagne fut excitante. Ce sont les résultats qui nous ont épuisés. Exactement comme il y a un an avec l'élection de Jean Charest. Puis celle de Stephan Harper quelques semaines auparavant. Il nous faut constater qu'à tous les ordres de gouvernemen...

Le système hypocrite



Les déclarations-chocs de Benoit Labonté lors de la dernière campagne électorale municipale ont relancé le débat sur le financement des partis politiques. Disant tout haut ce que tout le milieu politique chuchote depuis des années, M. Labonté a affirmé que «le financement populaire, c'est une fiction». Tout en évoquant avec émotion la réforme du financement des partis politiques adoptée par le gouvernement ...

L'art de voter contre ses propres intérêts



Mais le sujet gêne. Pourtant, il est évident que ce débat est devenu nécessaire. Y compris au sein même des communautés non francophones et entre la majorité et les minorités. Alors que dans la plupart des sociétés occidentales, le "pourquoi" du vote des minorités est un sujet normal d'analyse, ici, la chose demeure délicate et est même parfois présentée comme une preuve d'intolérance.

Le mythe de l’exode francophone vers les banlieues



La solution sera politique ou ne sera pas : il faut avoir le courage d’exiger un financement adéquat des institutions québécoises à Montréal. Faire porter le blâme aux familles pour l’incapacité des politiciens à avoir les couilles nécessaires pour s’attaquer à une minorité ultra-choyée relève d’une irresponsabilité innommable.

La carte linguistique a favorisé Tremblay

La victoire à l'arraché de Gérald Tremblay a été possible grâce à deux facteurs: la langue des électeurs et le poids des anciennes villes qui ont intégré Montréal.


Alec Castonguay - Les anglophones et les allophones de Montréal ont majoritairement voté pour Gérald Tremblay, alors que Richard Bergeron a été leur deuxième choix. De son côté, Louise Harel n'a pas été en mesure d'attirer le vote francophone, qui s'est divisé entre les trois candidats à la mairie de Montréal, ce qui a causé sa perte. De plus, Gérald Tremblay s'est imposé dans les anciennes villes q...

La fracture linguistique



Le maire Gérald Tremblay a obtenu ses pires résultats dans des arrondissements à forte majorité francophone. Et c'est dans d'anciennes villes fusionnées à Montréal, où vivent une forte proportion d'anglophones ou d'immigrés, qu'il a enregistré ses victoires les plus marquantes. Plusieurs facteurs expliquent cette fracture. Le plus important : associée à la fois aux fusions forcées et au mouvement souverainiste,...

Élections municipales - Où étiez-vous ?



Il est dangereux de fonder une analyse sur des anecdotes, mais elles sont parfois si éloquentes. Ainsi donc, dimanche, tout le Québec devait se rendre aux urnes. Les Montréalais surtout, furieux des révélations dont les médias les avaient assommés. Pourtant, la charmante jeune caissière d'un détaillant d'une grande artère fut tout étonnée de se faire demander si elle finirait à temps pour voter. «Pourquoi??? Y'a des...

L'argent et le vote ethnique



Bien entendu, certains ont un seuil de tolérance à la magouille plus élevé que d'autres. Par exemple, après avoir consacré exactement six lignes et demie aux allégations de corruption, l'éditorial de The Gazette a préféré mettre l'accent sur les «accomplissements significatifs» de M. Tremblay au cours des huit dernières années et recommandé à ses lecteurs de l'appuyer «faute de mieux».

Votons Tremblay parce que Harel est unilingue... ça laisse un petit doute, là... Votons pour des bandits parce qu'ils sont bilingues... Aveuglement canadian!

It's not a great choice, just the only choice

Tremblay's record earns our endorsement on the basis of Pierre Trudeau's old formula: "Don't compare me to the Almighty, compare me to the alternative."


We do not reproach Harel for being a sovereignist; plenty of Montrealers are sovereignists - including Diane Lemieux, another ex-PQ minister who's running for Tremblay's Union Montreal. We are only moderately unhappy that Harel is unilingual; the city's numerous anglophones, after all, can punish that failing, if they want to, on election day.

Protégez le français, revenez sur votre île!



Dans ce contexte, il ne faut pas seulement légiférer sur l'affichage, sur la langue d'enseignement au collégial, sur la langue de travail, sur la langue de l'administration publique et sur l'immigration. Il faut travailler au développement des politiques pour garder sur l'île de Montréal les francophones qui y habitent déjà et créer les conditions de retour vers Montréal pour les francophones souhaitant y demeurer. [Note de Vigile - ouch... la Gâzette vient de trouver sa cible, attendons MacPherson, ça ne sera pas de la tarte, lui dont le truc consiste à ignorer l'évidence que le terme "francophones" comprend des Québécois de toutes origines, et à lui substituer son préjugé - les Québécois sont les Hillbillies du Canada...)