Qui cherche à nous imposer de force la présence grandissante des minorités visibles?
11 septembre 2021
Une expérience troublante vécue pas plus tard qu'hier:
Ayant le goût d'un bon hamburger, je me rends au A & W de Vanier, devenu un peu le quartier ethnique de Québec, une ville dont les habitants tiennent encore à protéger l'homogénéité historique, tout comme en région d'ailleurs.
Au comptoir de commande, le spectacle est si déconcertant que je dois me mettre à compter:
sur 8 employés visibles, 2 au comptoir, 1 au service à l'auto et 5 en cuisine, il y a 7 Noirs. 7 sur 8 sont des Noirs! Quel renversement de population! La seule demoiselle blanche est celle qui prend les commandes et s'adresse directement aux gens. On entend parler à l'arrière-plan tous les autres employés avec l'accent africain.
Allons-y d'une projection hypothétique. Et si, dans un avenir rapproché, la population totale de 8 millions de Québécois atteignait la même proportion de 7 millions de Noirs pour 1 million de Québécois, devrions-nous considérer cela comme faisant partie de l'ordre normal des choses?
À un moment donné, il devient nécessaire de tirer la ligne et de poser des balises fermes. Au Québec, un pourcentage de 5% maximum d'une race ou ethnie étrangère doit être établi pour éviter la catastrophe humaine du remplacement graduel de notre population par le tiers-monde sous-civilisé.