Des actes de sauvagerie qui ne sont jamais commis par des sauvages
16 janvier 2024
Le réseau Global News présentait hier un reportage sur cette tuerie sauvage arrivée dans une tribu Cree en Saskatchewan. Le nom du multi-assassin autochtone Cree est Myles Sanderson.
Pourtant, durant les 5 bonnes minutes du reportage, jamais il n'a été question du meurtrier, du fait que c'était lui-même un indien qui a commis une tuerie sauvage sur les siens. On ne faisait nulle mention qu'il avait été arrêté des dizaines de fois pour toutes sortes de délits graves, mais qu'on le relâchait toujours rapidement parce que c'est un pauvre indien. Un peu plus et on l'excusait en disant que c'était parce que ses parents étaient allés au pensionnat, et que ça donne automatiquement la permission de tuer.
Tout ce qu'on nous montrait dans le reportage politiquement correct, c'était des autochtones jouant leur rôle habituel et bien appris de "pauvres victimes innocentes en détresse", qui se demandaient tous "pourquoi toutes ces choses nous arrivent-elles, on a rien fait pour?". Tout le monde connaît la réponse, mais personne n'a le droit de le dire tout haut. Toute la gamme des crimes et délits imaginables se produisent sur les réserves; libre à vous d'en tirer vos propres conclusions, pour le peu de temps qu'il nous est encore permis de penser librement avant l'installation d'une puce électronique contrôlante implantée dans le cerveau.
Référence: Global News
À Montréal, au pied du Mont-Royal à Milton-Parc où se regroupent les autochtones, un examen révélerait sans doute qu'ils sont tous sans exception sous l'influence de la boisson ou de la drogue. 100%. Par prudence et prévention, qu'on les renvoie donc dans leurs réserves où ils ne feront plus peur à la population insécurisée.
Source: Autochtones et intoxiqués
Les inuits désoeuvrés s'agglutinent désormais au même endroit.
Source: Itinérance inuit à Montréal
Ci-dessus: un drogué ivre-mort
Ci-dessus: la bagosse coule à flots
Pour que des tueries comme en Saskatchewan ne répandent pas dans nos villes, il importe que les indiens restent confinés dans leurs réserves. Car on ne sait jamais lequel d'entre eux, sous l'influence de la boisson maudite, de la drogue, ou des 2 à la fois, deviendra patraque et commettra la prochaine razzia humaine. Tout ce qu'on sait, c'est que ça finira par se produire.