USA, RUSSIE, UE, CHINE… l’UKRAINE, comment se détruit un pays par la violation des accords afin de le déposséder de ses ressources naturelles et fiscales
6 mars 2025
Autre va-t-en-guerre qui ne tient pas en compte la destruction de son pays par les forces armées russes et étasuniennes (les principaux alliés) lors de la Seconde Guerre Mondiale afin d’en finir avec le régime exterminateur hitlérien.
Cette fuite en avant du réarmement de l’Allemagne décidé par le nouveau chancelier Friedrich Merz tient principalement par le fait de la décadence socioéconomique des secteurs de l’automobile, chimique, pharmaceutique, machinerie de précision, … Secteurs qui feront en plus l’objet des tarifs décrétés par l’Administration du 47ème Président des États-Unis. Face à cette décadence socioéconomique, il faut ajouter le manque des ressources énergétiques provenant de la Russie ayant été suspendues en raison du conflit armé Ukraine-Russie.
Le plan de paix de cette guerre fratricide ukrainiano-russophone proposé par le Président patriote-humaniste Donald J. Trump est rejeté par les va-t-en-guerre de pays de l'UE en raison de leur aversion au projet du Nouvel Ordre Mondial du 47ème Président des États-Unis :
L'Allemagne prend un virage encore impensable il y a peu en préparant des investissements sans précédent pour se réarmer, un pari politique du futur chancelier Friedrich Merz amorcé sous la pression du désengagement de Donald Trump vis-à-vis des Européens.
L'annonce, mardi soir, du chef des conservateurs allemands, dix jours après sa victoire aux législatives, envoie un signal fort en pleine tempête provoquée par le rapprochement de Donald Trump avec la Russie.
Pour les 27 dirigeants de l'Union européenne, qui participeront jeudi à un sommet crucial sur la sécurité du continent et l'aide à l'Ukraine, cet électrochoc allemand s'ajoute au projet de la Commission européenne, annoncé le même jour, de mobiliser près de 800 milliards d'euros pour des projets de défense.
Si c'est bien le chancelier sortant Olaf Scholz qui représentera l'Allemagne au sommet, Friedrich Merz fait également le déplacement et a déjà rencontré mercredi à Bruxelles le secrétaire général de l'OTAN, Mark Rutte.
Les sommes annoncées par Berlin << sont une surprise, tout comme la rapidité avec laquelle cela s'est fait >>, souligne Jacob Ross, politologue au centre de réflexion DGAP, alors que le camp conservateur CDU/CSU et ses partenaires sociaux-démocrates (SPD) ont à peine entamé les discussions pour former une coalition gouvernementale.
(…).
Pour davantage d’information sur cette escalade au réarmement de l’axe franco-allemand et ses pays vassaux de l’Union Européenne (excepté la Hongrie du patriote Victor Orban), veuillez consulter :
L’Allemagne de Merz fait le pari du « No limit » pour se réarmer
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2145934/allemagne-friedrich-merz-armement-defense
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JLPM