Le pouvoir autocratique de Donald J. Trump
6 février 2025
6 février 2025,
Ouais...
François Champoux, Trois-Rivières
Le monde devient de plus en plus FAUX, et tristement, Desjardins ne fait plus exception.
«Le roitelet viole les règles de la démocratie? On ne saurait attendre mieux d’un primitif…» André Laurendeau, Le Devoir, 4 juillet 1958.
Le monde devient de plus en plus FAUX, et tristement, Desjardins ne fait plus exception.
Autrefois, c'était la religion qui dirigeait; aujourd'hui, ce sont les financiers
La démocratie ou... encore l'obscurantisme?
La prière de François Legault
Si l'Oratoire Saint-Joseph brûlait...
Sauveur du monde?
Qui peut y prétendre?
Où commencent-elles? Où se terminent-elles?
Au Québec, il faut réinventer la roue
Et s'il vous plaît, pas de "Top Gun"
"L'Homme est la mesure de toute chose" (Protagoras)
Respect de tout un chacun
L'évolution n'est jamais à sens unique
Exigence de vigilance
Les croyances sont trop vivantes
Un sociétaire se bat
Menace de mort contre Paul Saint-Pierre Plamondon
6 février 2025
6 février 2025,
Ouais...
François Champoux, Trois-Rivières
6 février 2025
6 février 2025
Bonjour M. Marineau,
L’enseignement n’est pas le plus beau métier du monde; c’est le plus exigeant et le plus important.
Certes, il est important de faire de la beauté au cours de notre vie, mais l’importance (la minutie de la raison) et la recherche de beauté doivent se marier sans cesse.
L’enseignement est une vocation comme celle de parents : la patience est la vertu primordiale pour réaliser cette vocation.
Il ne faut jamais attendre de reconnaissance ou d’éloge de nos vocations : c’est notre devoir d’être, et ça suffit. On appelle ça l’actualisation de nos talents, ou l’actualisation de notre être en beauté.
Enseigner n’est pas seulement transmettre des connaissances : c’est aussi et surtout faciliter l’actualisation de mes talents et de ceux des autres.
Les actuels symptômes d’une société troublée exigent une conscientisation accrue à la plus élémentaire vertu humaine : l’amour (vous l’avez souligné). Celle (la vertu) qui commence par soi-même : l’amour!
L’Éducation doit privilégier l’enseignement des vertus humaines, de la philosophie (l'amour de la sagesse), de l’amour, de l’art d’aimer… aimer avec ART. Sans cet élémentaire enseignement de cet art, tous les métiers du monde sont sans valeur; que vous soyez docteur ou éboueur, ils sont sans valeur.
Aimer est primordial à tout. Il faut donc l’enseigner; ce qui n’a jamais été orchestré adéquatement, avec harmonie et justesse par nos sociétés, même celles de performance.
J’ai un projet en ce sens depuis 16 mois : l’amour, l’art d’aimer enseigné aux adolescentes et adolescents à même le cursus scolaire du secondaire. J’ai sensibilisé nos décideurs politiques; il faut semer pour récolter. Ce projet «politique» et social lèvera un jour par la force des choses; le travail est à faire et de chercher la réponse à la question suivante : quand?
Concernant votre yoyo, il faut relire Alain à savoir pourquoi il faut dire NON.
De ce philosophe je me suis inspiré ce modeste poème :
On n’est pas beau à voir quand on dort
On n’est pas beau à voir quand on dort
Que devons-nous donc faire alors
Il faut se réveiller, secouer notre torpeur
Ouvrir grands nos yeux et ne plus avoir peur
Arrêter de nous voir beaux quand la laideur
Nous rend aveugle d’orgueil, celle du penseur
Qui se croit plus fin et supérieur
Alors qu’il se balade, se pavane, va et se meurt
Dormir la bouche ouverte et le nez en l’air
Avoir la gorge et la langue sèches et rêches
Ne plus rien sentir ni ressentir
De notre être qu’on dirait mourir
Les peuples dorment pendant que le roi s’amuse
Les roitelets s’amusent avec le roi qui abuse
S’indigner est un mot oublié
Vite, entre nous tous, il faut le ressusciter
J’aime bien dormir, mais je ne suis pas beau
Quand je dors le nez en l’air comme un corbeau
Qui attend son fromage et devenir gros
Ça ne sert donc pas beaucoup de faire dodo.
Allons donc, ce coup de poignet
Dans ma face de roitelet
Pour m’éveiller à ce qui est
Qui n’est pas beau, et qui est laid.
C’est de la beauté que je veux faire
Je suis capable de me parfaire
Non pas comme un mystérieux divin,
mais comme un simple et vrai humain
6 février 2025
Merci.
François Champoux, Trois-Rivières
6 février 2025
6 février 2025
Bonjour M. Labrie,
Un Québec souverain, indépendant sera nécessairement pluraliste, multiculturalite; la langue de communication et de l'Éducation publique sera le français.
C'est là un projet de société Québécoise sain ou il ne sera pas.
François Champoux
4 février 2025
4 février 2025
Là, M. Marineau, je ne peux vous accorder mon accord: et voici pourquoi.
Ne vous est-il jamais venu à l’esprit de baisser votre niveau de vie?
Je ne parle pas ici de vous rendre indigent ou itinérant; je parle de diminuer votre train de vie.
Pensons à la toilette silencieuse de Pauline Marois; celles et ceux qui ont cet accessoire dans leur logement, pourraient-ils penser qu’ils n’en ont pas vraiment besoin pour être heureux comme disait Pierre-Yves McSween ou Épicure?
Pourquoi faudrait-il toujours augmenter notre confort jusqu’à plus que nécessaire?
Là, on nous prépare à passer Énergie-Est au-dessus de nos rivières et sources d’eau potable au nom d’une indépendance vis-à-vis des États-Unis; je veux bien notre indépendance vis-à-vis de ce dictateur particulièrement dérangé, mais si la solution à notre indépendance était de dire : «nous aussi, on n’a pas besoin de vos babioles américaines pour être heureux!»
Ça ne me fait absolument rien de dire que ce serait grâce à un fou que je suis devenu fin ou plus sage; n’est-ce pas là la plus élémentaire raison? Être plus fin qu’un fou! Si un fou se jette en bas d'un pont, dois-je en faire autant? Si un fou pense pouvoir voler de sa propre puissance, suis-je obligé de me lancer dans le vide à sa suite?
Les puissants de ce monde ont des lubies qui les rendent ridicules; suis-je obligé d’en avoir des pires pour me donner l’illusion que je suis puissant ou fin? À quoi sert d’être puissant si c’est pour me rendre ridicule ou même plus fou qu’un fou? Qui est le plus fou entre les fous qui se croient les plus fins en faisant des folies et des stupidités.
Souvenons-nous du but de la vie ou du sens que nous devons y donner, ou celui que nous cherchons à lui donner; non, je ne vous le dis pas, car il est personnel à chacun. Mais le trouver (ce sens) est vraiment essentiel si l’on veut l’obtenir, ou l’atteindre. Mais de grâce, ne cherchez pas à épater la galerie par des folies qui vous rendent fou, ridicule.
C’est là ce que nous enseigna le philosophe américain Henry-David Thoreau :
Thoreau veut vivre simplement et seul dans les bois, y mener «une vie de simplicité, d’indépendance, de magnanimité, et de confiance».
Thoreau est le philosophe de la «Simplicité volontaire» promu ici au Québec par le Dr Serge Mongeau; les problèmes de surconsommation qui rendent de plus en plus la planète incapable de suffire à une humanité ogre et insatiable, nous place en face d’un miroir qui nous interroge : pouvons-nous diminuer notre consommation sans devenir des Diogène qui vivraient dans des tonneaux?
Cette interrogation appartient à chacune et à chacun, mais reconnaissons qu’un fou américain nous demande d’être plus fin que lui! Le pouvons-nous? Même nos dirigeants élus hésitent à nous rendre plus fins que ce fou; ils cherchent la réélection, évidemment, avant la sagesse d'une vie noble, sobre et sensée.
Nous commettons tous des erreurs; ne pas le reconnaître est notre plus élémentaire erreur; celle-là nous mène irrémédiablement à creuser notre irrationalité et absurdité. Il faut s'éloigner des gens qui ne savent pas aimer si l'on ne peut leur enseigner les bases de cette vertu humaine la plus importante de toutes, car elle les contient toutes nous dit André Comte-Sponville.
François Champoux, Trois-Rivières
2 février 2025
Bonjour M. Marineau,
Pourriez-vous me préciser qui voyez-vous comme "L'éléphant dans la pièce" de votre texte?
François Champoux, Trois-Rivières
2 février 2025
2 février 2025
Bonjour M. Marineau,
Un Québec souverain, si un jour les Québécoises et les Québécois osent se voter le pouvoir d’une indépendance politique (comprendre de faire naître un pays qui s’appellera «Québec») sera nécessairement multiculturel.
La mission impossible dont vous faites référence est celle de voir naître un pays «Québec» qui ne serait pas multiculturel : il serait d’une seule culture, sans respect aux autres cultures du monde entier, aux autres races humaines nées de la mixité des personnes et leurs nuances ethniques.
Il faut bien réaliser (c’est-à-dire nous conscientiser à la réalité du monde planétaire) que les humains ne sont pas tous des blancs purs, au langage unique du français. Pas même la France est un pays sans l’existence de plusieurs cultures. Il faut cesser cet aveuglement volontaire et faire face à la réalité, sinon, nous nous enlisons dans un dangereux racisme et nous devenons des colonialistes pires encore que les colonialistes d’antan en notre propre terre, en notre propre coin de «pays». Souvenons-nous ce que nous avons fait aux cultures autochtones.
Comme me l’a bien enseigné Dany Laferrière et Pierre Vallières (et certainement beaucoup d'autres), nous sommes toutes et tous des Nègres, et si nous refusons de le reconnaître, nous nous prétendons alors de ces races dites «supérieures» et nous nous enfermons dans notre croyance. Nous nous berçons d’illusions de penser et de discourir que d’autres doivent nous libérer : qui sont ces autres? La liberté, c’est à chacune et à chacun de nous de la faire vivre en tout respect de tout un chacun et quotidiennement. Ça, ce n’est pas une mission impossible, mais un devoir d’humanité. Sans ce devoir à accomplir tous les jours, sans cet effort de compréhension à faire, nous nous encroûtons mutuellement dans cette foi de l’impossible mission : nous nous prétendons supérieurs et d’une culture unique et seule à faire vivre. Là est cette mission impossible, et là est une erreur de constitution d’un pays.
La mission est possible; d’autres pays dont leur population est semblable à la nôtre la font vivre chaque jour. C’est cette volonté d’une constitution qui respectera tout un chacun qui fait ces pays où il fait bon vivre, multiculturel et respectueux : en paix. Dire que nous sommes en face d’une mission impossible, c’est dire officiellement qu’un Québec souverain sera toujours impossible sans une race unique, une culture unique, et une langue française unique.
Il est possible de proclamer cette langue française officielle pour le pays «Québec» comme base de respect mutuel d’échange communal, national et langagier, mais il faut aussi proclamer une constitution qui saura respecter le multiculturalisme : le monde entier deviendra cela, ou sera une planète irrespectueuse et en guerre totale permanente.
Les États-Unis qui est un pays multiculturel est sur la voie de perdre ses acquis difficilement réalisés depuis la fin officielle de l’esclavagisme. Leur fragilité sera aussi la nôtre, pays officiel ou non; n’en doutons jamais.
La paix des pays est un travail quotidien, tout comme la vie d’une constitution d’un pays. Nous sommes tous des voisins, des «racistes» comme Dany Laferrière nous y a sensibilisés, et qui ne s’ignorent pas ou sinon, nous nous faisons la guerre et la paix se meurt.
François Champoux, Trois-Rivières
1 février 2025
Rebonjour M. Labrie,
Avez-vous un lien dans la direction du journal Vigile Québec? Êtes-vous parmi les dirigeants du journal Vigile Québec?
François Champoux, Trois-Rivières
29 janvier 2025
Bonjour M. Labrie,
Je suis supris de vous lire faisant la promotion du journal "Vigile Québec". Seriez-vous une personne intéressée au journal, genre administrateur, ou fondateur, ou autres?
Merci de me donner l'heure juste.
François Champoux, Trois-Rivières
27 janvier 2025
Beau travail M.Marineau.
Mais les menaces demeurent; il faut les conjuguer que ce soit un microbe ou une tempête.
En cosmologie, la grosseur du danger n’a pas vraiment d’importance : il demeure un danger, une controverse à se méfier.
Ce n’est pas une question de comparaison, mais de véracité, de vérité. Reconnaître le danger n’est pas facile : il faut être alerte et faire ce qu’il faut pour éviter le microbe… peu importe sa grosseur et sa teneur. Il n’est pas toujours possible de l’éviter; nous devons donc l’affronter et nous mesurer afin de survivre et éviter l’écueil. Grandir, diraient certains.
François Champoux, Trois-Rivières
27 janvier 2025
27 janvier 2025
Bonjour M. Marineau,
Merci de votre analyse politique.
Quand j’écoute les analyses politiques de tout un chacun, je me demande où ça va-t-il vraiment nous mener. Je ferme la radio, la télévision et mon application Internet, et je vaque à mes obligations. Je traverse la rivière lorsque j’y suis rendu sur le pont à cette fin et je nettoie mon linge que j’ai sali. Je prépare mon repas, je mange, je bois, je fais ma toilette, et je recommence. Comme la planète, je ne cesse de tourner en rond avec ces analyses des connaisseurs heureux.
Le courant de la rivière,
C’est comme le vent dans les airs
Nulle puissance ne peut l’arrêter comme ça
Sauf cette puissance même là.
On a tellement cru à ces dieux
Que désormais ni Dieu ni rien ne peut
Nous prédire l’avenir et son paradis
à n’en plus finir, pour l’infini
Le paradis, c’est drôle, je n’y crois pas
Ou plutôt oui, je l’ai trouvé chez moi
Les amants du pouvoir me font des accroires
qui deviennent rien que de la foire
Il y a mieux à faire que d’écouter
ces marchands de bonheur affamés
de gloire et d’auréoles
qui n’en font que des folles
Il faut dire NON merci à ces ambitieux
qui trop souvent se prennent pour des dieux
qui aiment leur image dans la rivière
Et qui oublie toujours son éphémère.
Envoyez-les paître, M. Marineau
Vos spécialistes du futur, vos oiseaux
de malheur et de vos paradis perdus
Laissez-les vomir leur fiel de vendus
Attachez-vous à votre bonheur simple
il sera plus solide que leurs rêves et leurs plaintes
Aimer votre lieu et votre être et les miens
et continuer bravement votre chemin
Les prédictions, c’est comme le vent dans les airs
comme le courant de la rivière
ça passe et rien ne reste que les dégâts
qu’il faut réparer encore une fois.
N’avons-nous pas assez cru ces prêches
de ces églises, religions et sectes
N’avons-nous pas appris de leurs mensonges
N’avons-nous pas assez été traités de ronces
C’est assez, n’écoutons plus les dieux
ces faux jetons des arènes de glorieux
toujours en recherche de proies à dévorer
innocentes victimes qui oublient de s’aimer d’abord
avant d’aimer l’autre qui se prend pour de l’or.
Du toc
François Champoux, Trois-Rivières
26 janvier 2025
26 janvier 2025
Bonjour M Marineau,
Je fais comme vous; je répète mes argumentaires à votre opinion.
La démocratie est le moins mauvais des systèmes de gouvernance (Churchill); avec l’expérience, nous pouvons conclure que Churchill a raison. Il ne nous reste (nous, le peuple asservi) qu’à nous indigner, toujours nous indigner comme vous le faites, en espérant qu’une majorité reçoive le message et que les principaux intéressés le comprennent.
Justin Trudeau a pris passablement de temps à saisir le message et nous voici avec un autre qui prendra la relève (Carney) en n’étant pas nécessairement le meilleur. Il faudra faire avec!
Les «petits amis» sont toujours les favorisés du pouvoir; partout, c’est la même recette, le même procédé, la même attention… même en coopération, en capitalisme, en religion, en parti politique, en équipe de quoi que ce soit, même en communisme. L’humain est le maître de l’hommerie. Le plus difficile pour l’humain, c’est de se défaire de la bête qui l’habite. L’esprit est fort, mais la chair demeure faible.
Oui, continuons à nous indigner comme Stéphane Hessel nous l’a bien recommandé; tant qu’un dictateur (ou tyran) ne viendra pas nous en empêcher en nous faisant taire et disparaître, comme a trouvé le moyen de le faire le Mouvement Desjardins dans sa loi sur les coopératives de services financiers du Québec : règlements de régie interne 4.6 (saine conduite d’un membre) et 4.7 (réprimande, suspension, EXCLUSION) implantés en 2010 dans toutes les Caisses Desjardins par Monique F. Leroux.
En écrivant cela, je me souviens du magnifique livre de Catherine Dorion («Les têtes brûlées; carnets d’espoir punk») : comme fait d’indignation, cette dame a su d’une manière encore meilleure que Mme Freeland l’exprimer et nous le démontrer. Ce fut la même chose avec Mme Payette et Mme Louise Harel. Si vous en connaissez du côté des hommes, merci de nous les nommer. Pour faire de la bonne politique, ça prend de l'humilité; ce n'est pas le propre du pouvoir...
En démocratie, obtenir le respect des autorités demeurera toujours notre plus important défi, car les lois veillent à nous tenir en joue et à distance. La justice est à faire disait Alain. Oui, car c’est l’injustice qui est universelle.
François Champoux, Trois-Rivières