La pétition a dépassé les 2 000 signatures.
12 mars 2013
La pétition a maintenant dépassé les 2500 signataires, le 13 mars à 2h45.
Né à Mont Saint Michel, Qc
Bac en pédagogie - Hull
Maîtrise en Relations Internationales.
University of the Americas - Mexique 1971
Scolarité de doctorat en sciences politiques - Université Laval
Enseignant à Saint-Claude, Manitoba
Glob...
Né à Mont Saint Michel, Qc
Bac en pédagogie - Hull
Maîtrise en Relations Internationales.
University of the Americas - Mexique 1971
Scolarité de doctorat en sciences politiques - Université Laval
Enseignant à Saint-Claude, Manitoba
Globetrotter et commerçant-importateur - Art populaire des cing continents à Saint Jean Port-Joli - Les Enfants du Soleil
La Catalogne en exemple
Le grand geste de rupture
Pour un déblocage de la question nationale
Abolition de la monarchie par référendum.
Mouvement international de désobéissance civile
Vers le républicanisme pour 15 États et dépendances.
Les députés britanniques devront autoriser le Brexit
Non aux gouvernements des juges
Six quotidiens fédéralistes en mission
À la défense de l'unilinguisme des équipes sportives canadiennes
Oui, c'est possible.
Un déclencheur vers l'indépendance
Par delà la constitution canadienne
L'Assemblée nationale devra être à la hauteur
Pour la création d'un tribunal de dernière instance
Un geste de rupture pacifique
Un processus légal
...en toute légitimité
Non aux institutions monarchiques canadiennes
Déjà inscris dans les moeurs
Adoption d'une constitution québécoise
En dehors du cadre constitutionnel canadien
Un mode rapide et décisif
La voie d'une quinzaine d'états nouveaux
Pour un débloquage politique
Pour une suite de la révolution tranquille
Pour un débloquage constitutionnel
En 3 étapes
L'Assemblée nationale n'a jamais été à la hauteur.
Elle devra passer outre la constitution canadienne
12 mars 2013
La pétition a maintenant dépassé les 2500 signataires, le 13 mars à 2h45.
11 mars 2013
Abolissons le poste de lieutenant-gouverneur et la république apparaîtra.
C'est là la stratégie mise de l'avant ici.
Les sondages démontrent que 85% des Québécois de toutes allégeances sont en faveur de cette abolition.
Alors...
9 mars 2013
La future constitution du Québec devra faire l’objet d’un référendum. Je suggère qu’il y ait deux questions.
1- Acceptez-vous que le Québec devienne indépendant, tel que stipulé dans l’article 1 de cette constitution ?
Oui –Non
2- Acceptez-vous les autres dispositions de cette constitution ?
Oui - Non
Vous aurez compris qu’il y aura sûrement des gens pour s’opposer à certaines dispositions à cause de quelques virgules mais qui aimeront quand même dire oui à l’indépendance du Québec.
Alain Raby, Saint Jean-Port-Joli
7 mars 2013
Maître Pierre,
Votre point de vue est celui d’un juriste, bien sûr. L’avenir nous dira si le juridique continuera à prédominer outrancièrement le politique. P.E.Trudeau a essayé de cadenasser l’élan politique des Québécois avec cette constitution de 1982 et sa formule d’amendement ridiculement hermétique qui finira par se retourner contre les fédéralistes eux-mêmes. En effet, l’exigence de la signature des dix provinces donne un droit de véto effectif au Québec.
Les fédéralistes et constitutionnalistes nous disent que le fait que le Québec n’ait pas signé cette constitution ne change absolument rien. Ah bon ! En ce cas c’est un papier qui ne vaut pas grand-chose et le Québec ne devrait jamais le signer.
En fait, de jure, qu’on le veuille ou non le Québec ne fait plus partie du Canada.
Il serait temps que le peuple Québécois se réapproprie sa vie politique. Il devient insupportable que les oligarques d’Ottawa dont bon nombre n’ont jamais été élus ( sénateurs et juges de la cour suprême et autres bonzes de la fonction publique ) contrôlent aussi indûment la politique de la Nation Québécoise. L’avenir est ailleurs.
Il faut arrêter de penser qu’il est impossible que l’Assemblée nationale ne puisse édicter des politiques sans la sanction royale. Bien sûr, il faudra une majorité de députés indépendantistes pour proclamer l’indépendance du Québec, et j’espère qu’il n’y en aura aucun pour dire que ce n’est pas possible parce qu’inconstitutionnel. La légitimité contre la légalité quand il le faut. Oui cela provoquera une crise politique, une crise salutaire nécessaire. L’ex-premier ministre Parizeau a raison, cette crise est souhaitable. Le lieutenant-gouverneur voudra désavouer et renverser le gouvernement. Les députés feront alors ce que fit le tiers-état en 1789 et siègera dans un édifice attenant s’il le faut. Nous verrons alors de quel bord se rangera le peuple. Et je crois qu’il y aura un mouvement massif de désobéissance civile et de non-coopération non-violente, mais déterminé. Le peuple du Québec se donnera alors une constitution républicaine avec pour premier article une déclaration d’indépendance.
Les fédéralistes, juges, sénateurs, lords anglais et autres collabos auront beau s’indigner de l’inconstitutionnalité, de vouloir prendre mille détours légaux dans l’espoir que le peuple s’épuisera, rien n’y fera. De guerre lasse la royauté britannique capitulera cette fois-ci. D’ailleurs, je crois qu’elle est toute prête à se retirer de ses anciennes colonies lorsqu’on le lui demandera de façon ferme, comme se fut le cas pour les sud- africains et autres anciennes colonies.
Douce revanche pour les patriotes de 1837-38.
Non ce n’est pas impossible et oui on est capable.
Vivement une Assemblée constituante au plus tôt.
Alain Raby, Saint-Jean-Port-Joli
PS. La constance dans votre combat pour l’indépendance du Québec est louable, mais vous devriez comprendre, avec d’autres, que la situation minoritaire de l’actuel gouvernement ne permet pas qu’il puisse enclencher le processus libérateur pour le moment. Et qu’à trop le
7 mars 2013
Maître Pierre,
Votre point de vue est celui d’un juriste, bien sûr. L’avenir nous dira si le juridique continuera à prédominer outrancièrement le politique. P.E.Trudeau a essayé de cadenasser l’élan politique des Québécois avec cette constitution de 1982 et sa formule d’amendement ridiculement hermétique qui finira par se retourner contre les fédéralistes eux-mêmes. En effet, l’exigence de la signature des dix provinces donne un droit de véto effectif au Québec.
Les fédéralistes et constitutionnalistes nous disent que le fait que le Québec n’ait pas signé cette constitution ne change absolument rien. Ah bon ! En ce cas c’est un papier qui ne vaut pas grand-chose et le Québec ne devrait jamais le signer.
En fait, de jure, qu’on le veuille ou non le Québec ne fait plus partie du Canada.
Il serait temps que le peuple Québécois se réapproprie sa vie politique. Il devient insupportable que les oligarches d’Ottawa.dont bon nombre n’ont jamais été élus ( sénateurs et juges de la cour suprême et autres bonzes de la fonction publique ) contrôle aussi indûment la politique de la Nation Québécoise. L’avenir est ailleurs.
Il faut arrêter de penser qu’il est impossible que l’Assemblée nationale ne puisse édicter des politiques sans la sanction royale. Bien sûr, il faudra une majorité de députés indépendantistes pour proclamer l’indépendance du Québec, et j’espère qu’il n’y en aura aucun pour dire que ce n’est pas possible parce qu’inconstitutionnel. La légitimité contre la légalité quand il le faut. Oui cela provoquera une crise politique, une crise salutaire nécessaire. L’ex-premier ministre Parizeau a raison, cette crise est souhaitable. Le lieutenant-gouverneur voudra désavouer et renverser le gouvernement. Les députés feront alors ce que fit le tiers-état en 1759 et siègera dans un édifice attenant s’il le faut. Nous verrons alors de quel bord se rangera le peuple. Et je crois qu’il y aura un mouvement massif de désobéissance civile et de non-coopération non-violente, mais déterminé. Le peuple du Québec se donnera alors une constitution républicaine avec pour premier article une déclaration d’indépendance.
Les fédéralistes, juges, sénateurs, lords anglais et autres collabos auront beau s’indigner de l’inconstitutionnalité, de vouloir prendre mille détours légaux dans l’espoir que le peuple s’épuisera, rien n’y fera. De guerre lasse la royauté britannique capitulera cette fois-ci. D’ailleurs, je crois qu’elle est toute prête à se retirer de ses anciennes colonies lorsqu’on le lui demandera de façon ferme, comme se fut le cas pour les sud- africains et autres anciennes colonies.
Douce revanche pour les patriotes de 1837-38.
Non ce n’est pas impossible et oui on est capable. Vivement une Assemblée constituante au plus tôt.
Alain Raby, Saint-Jean-Port-Joli
PS. La constance dans votre combat pour l’indépendance du Québec est louable, mais vous devriez comprendre, avec d’autres, que la situation minoritaire de l’actuel gouvernement ne permet pas qu’il puisse enclencher le processus libérateur pour le moment. Et qu’à trop le vilipender peut revenir à démobiliser et à nuire à notre cause commune, soit l’indépendance du Québec tant souhaitée.
6 mars 2013
Le 21 novembre 1968, le Gouvernement du Québec propose la suppression du sénat du Québec.
Le 28 novembre 1968, le sénat du Québec est aboli.
De même devrait être aboli le poste de lieutenant-gouverneur.
30 janvier 2013
L'idée d'un référendum sur l'abolition du poste de vice roi au Québec
Je me disais que si le peuple ne se sent pas prêt à appuyer une déclaration d'indépendance tout de suite, peut-être serait-il prêt à dire oui à un référendum sur l'abolition du poste de vice roi.
Loi d'initiative populaire obligera bientôt.
Bien sûr, je suis de ceux qui favorisent une proclamation de l'indépendance suivi d'un référendum qui entérinerait la volonté populaire. Mais le peuple actuellement démontre peu d'intérêt pour la politique tout simplement parce l'horizon est bloqué-noir pour la Nation Québécoise.
L'indépendance politique ramènerait la lumière.
C'est à ce moment-là que nous serons mûrs pour l'érection d'une Assemblée constituante afin d'adopter une première ou deuxième constitution ( dépendant si une première avait déjà été adopté sous l'actuel régime colonial).
Alain Raby
Saint-Jean-Port-Joli
15 janvier 2013
L’abolition du poste de lieutenant-gouverneur et
l’article 41-a) de la Loi constitutionnelle de 1982.
Voici l'article 41-a) de la constitution canadienne de 1982 que les Québécois doivent rejeté s'ils veulent s'affranchir enfin du colonialisme britannique.
Il est dit : Toute modification de la Constitution du Canada portant sur les questions suivantes se fait par proclamation du gouverneur général sous le grand sceau du Canada, autorisée par des résolutions du Sénat, de la Chambre des communes et de l'assemblée législative de chaque province :
a) la charge de Reine, celle de gouverneur général et celle de lieutenant-gouverneur;
b) le droit d'une province d'avoir à la Chambre des communes un nombre de députés au moins égal à celui des sénateurs par lesquels elle est habilitée à être représentée lors de l'entrée en vigueur de la présente partie;
c) sous réserve de l'article 43, l'usage du français ou de l'anglais;
d) la composition de la Cour suprême du Canada;
e) la modification de la présente partie.
La formule d’amendement est bloquée à décuple-tour et plus encore puisque en plus du consentement des législatures d’Ottawa et de chaque province, certaines de celles-ci exigent un référendum pour tout amendement. Cette constitution est devenue une véritable camisole de force pour le Québec. Meech et Charlettown nous ont enseigné que toute évolution politique du Québec par le processus d’amendement de la constitution canadienne est impossible. Tous les politiciens s’y sont cassés les dents. Il faut chercher d’autres voies, pacifiques mais fermes.
Si L'Assemblée nationale du Québec ne peut avoir le courage et l'audace d'abolir le poste de vice-roi, comme le Conseil législatif (sénat) fut aboli en 1968, il faut inviter le peuple à descendre dans la rue. Ce que nous ferons le 20 mai prochain, lors de la Fête des patriotes, avec les CARRÉS BLEUS (voir Facebook).
Alain Raby
Saint-Jean-Port-Joli
418-598-9318
14 janvier 2013
La motion sur la « nation québécoise »
Henri Brun*
Le 27 novembre [2006], la Chambre des communes du Parlement du Canada, sur proposition du premier ministre Stephen Harper, a voté la motion suivante: « Que cette Chambre reconnaisse que les Québécois forment une nation au sein d'un Canada uni. » En anglais: « [...] That the Québécois form a nation within a united Canada.1» Un certain nombre de questions se posent en ce qui concerne le sens et la portée de ce geste.
Une motion
Il faut bien comprendre, d'abord et avant tout, qu'une motion de la part d'une assemblée législative est un geste politique. À ce titre, elle n'a aucun effet contraignant. Ni les tribunaux ni les instances politiques, d'ici ou d'ailleurs, ne sont liés par elle. Il ne faut pas confondre le vote d'une motion avec l'adoption d'une loi et encore moins avec la modification de la Constitution.
Par contre, rien n'interdit de penser qu'une telle motion pourrait, dans certaines circonstances, jouer un rôle accessoire. À la condition, bien sûr, qu'elle ait une teneur susceptible de provoquer un tel effet.
Or la motion Harper a selon nous cette signification dans la mesure où elle reconnaît l'existence d'une nation plutôt que d'une «société distincte» ou encore d'une «culture unique», des expressions néologiques insondables.
Une nation
La nation ne connaît pas de définition proprement juridique mais elle est une notion bien établie, dont la charge potentielle est grande. À l'intérieur du Canada, elle nous renvoie aux peuples fondateurs de la fédération, dont l'un demeure largement concentré au Québec. À l'extérieur, elle évoque une possibilité de participation à ce qu'on appelle justement «le concert des nations».
Dans le contexte d'une réforme du Sénat canadien, pour faire de celui-ci une chambre fédérative, il pourrait ainsi devenir plus difficile, pour le moins, de songer à attribuer au Québec le même nombre de sénateurs qu'à chacune des autres provinces et aux territoires. À l'occasion d'un forum international, la reconnaissance canadienne d'une nation québécoise pourrait de même favoriser l'octroi d'un droit de parole au Québec. Au moment d'interpréter une compétence québécoise, la Cour suprême pourrait aussi tenir accessoirement compte de ce que la Chambre des communes a reconnu l'existence d'une nation québécoise. La jurisprudence a bien reconnu que les tribunaux pouvaient se servir d'éléments de preuve extrinsèques, comme les débats parlementaires, aux fins de l'interprétation législative et même constitutionnelle.
* Professeur à l'Université Laval. Ce texte a été publié à l’origine sous le titre « Nation québécoise- La motion Harper: peu mais tout de même pas rien » dans le journal Le Devoir, 2 décembre 2006, p. B-5. Les notes ont été ajoutées par la rédaction.
1 Le texte intégral de cette motion ainsi que la motion adoptée par l’Assemblée nationale du Québec le 30 novembre 2006 en réponse à la motion de la Chambre des communes sont reproduites à la rubrique Documents du présent bulletin.
Bulletin québécois de droit constitutionnel, numéro 2, hiver 2007, p. 32-33
B.Q.D.C., no 2, hiver 2007, p. 32-33
BRUN La motion sur la « nation québécoise » 33
Les Québécois
Selon la motion Harper, ce sont les Québécois qui forment une nation. Dans la version anglaise de la motion, le même mot « Québécois » est utilisé plutôt que « Quebeckers ». De cela, certains ont déduit que la nation reconnue était celle des seuls Québécois francophones.
Nous pensons que tel n'est pas le cas. Le mot « Québécois », en langue française, désigne tous les habitants du Québec. Son utilisation, au sein d'une phrase anglaise, peut très bien signifier qu'on a tout simplement voulu employer la langue commune des Québécois pour nommer la nation québécoise plutôt que la langue maternelle d'une des minorités qui se trouvent au Québec. Et si le mot « Québécois » devait pouvoir receler un second sens dans le contexte de la version anglaise, il faudrait, selon les règles d'interprétation, retenir le sens non ambigu qu'il a dans la version française. Comme l'a bien dit M. Harper, il n'appartient pas au Parlement fédéral de définir la nation québécoise mais bien à l'Assemblée nationale. Or, pour cette dernière, sont Québécois toutes les personnes qui résident au Québec et qui se considèrent telles.
Dans un Canada uni
La motion Harper, de ce point de vue, ne fait que refléter l'état de fait actuel. Le Québec est toujours dans la fédération canadienne et la motion ne veut pas devoir s'appliquer à un Québec qui aurait quitté cette fédération.
En appuyant cette motion, le Québec ne renonce par contre en rien à la possibilité que lui a reconnue la Cour suprême du Canada en 1998 de faire sécession du Canada2. L'exercice de ce pouvoir serait largement tributaire de reconnaissances internationales, lesquelles pourraient se trouver incitées par le fait que le Canada a reconnu que les Québécois formaient déjà une nation au sein du Canada. Et le Canada lui-même pourrait difficilement prétendre que la collectivité qu'il a reconnue comme nation dans le Canada a cessé de l'être parce qu'elle a choisi de devenir souveraine.
Bref, cette motion Harper est un geste symbolique sans contre-indication, susceptible néanmoins de quelques effets concrets. Elle est peu de chose, mais elle n'est pas rien.
12 janvier 2013
Cette reconnaissance de la nation québécoise s'avérera importante dans l'avenir. Sans une reconnaissance de d'autres nations, il ne sera pas possible d'obtenir un siège au Nations-Unies. Il est intéressant que cette reconnaissance officielle nous vienne du Canada lui-même. Alors donc, il n'est, d'ores et déjà, plus gênant du tout pour les autres pays de reconnaître semblablement la nation québécoise.
Je dis que c'est une formidable avancée. Il ne dépend que du Québec lui-même de lui donner tout son sens et de s'en servir pour préparer d'autres reconnaissances internationales qui seront si précieuses le moment venu.
Je trouve cynique les Québécois qui cherchent à minimiser cet évènement politique significatif. Quant au gouvernement conservateur et autres partis fédéralistes qui appuyèrent cette politique dans le but peut-être différent de calmer la montée du sentiment indépendantiste, il sera sans doute dit un jour: "Fut pris qui croyait prendre."
29 décembre 2012
Cher ami Pierre,
Merci pour les précisions juridiques, Maître. Je suis bien conscient que toute cette jurisprudence a un pouvoir de blocage formidable. Le Québec en sait quelque chose.
Mais voilà, je suggère d'en faire fi, comme en ont fait fi de nombreuses nations pour atteindre leur indépendance. Une proclamation unilatérale de l'indépendance du Québec permettrait une avancée formidable. Beaucoup de pays ont ainsi procédé. Le référendum est souvent venu après.
Nous en sommes là. N'acceptons plus les lois, conventions et traditions désuètes, devenus supposément incontournables.
Référons nous plutôt à l'Assemblée nationale des élus en tant que pouvoir suprême.
J'entendais Gil(les(?)Rémillard à l'émission biographique du canal de l'Assemblée nationale dire que cette constitution de 1982 non signée par le Québec ne changeait rien. AH OUI! Ça doit pas valoir grand chose un papier comme ça.
Je préfère me fier au bon sens du peuple plutôt qu'aux conventions et traditions dépassées qui furent érigées par des individus qui exigeaient des privilèges royaux. De quel côté êtes-vous, mon cher Pierre? Du côté des lois et conventions qui se veulent un cadenas pour l'avenir de la Nation québécoise ou du côté de ceux qui refusent de se laisser emberlificotés par ces discours légaux sans légitimité car imposés par la force(1759)et par des non-élus.
Bref, il faut considérer la légitimité avant la légalité dans le cas ici présent.
Oui! Outrepassons la légalité quand elle est illégitime, S.V.P.
Et oui! Ça s'appelle RÉSISTANCE, mais sans violence.
Ceci dit, je propose que le gouvernement du Québec ou une Assemblée constituante, rédige dès que possible sa propre constitution et qu'elle permette un avancement vers l'auto-détemination de la Nation et du peuple québecois.
Je te souhaite fraternellement, ainsi qu'à tous ceux qui travaillent pour Vigile et donc pour l'indépendance du Québec, une très bonne année.
Alain Raby, Saint-Jean-Port-Joli
PS. Bienvenue à la GRANDE MARCHE PATRIOTE, le 20 mai prochain lors de la Fête des patriotes. Voyez Facebook sous cette appellation.Cette manifestation populaire demandera l'abolition du poste de lieutenant-gouverneur.Le peuple parlera.
25 décembre 2012
La Grande marche des patriotes pour l'abolition de la fonction de vice-roy ( lieutenant-gouverneur) au Québec se tiendra le 20 mai 2013, à la Fête des patriotes.
Le parcours emprunté sera celui-ci:
Point de ralliement à 13 heures: Le Monument des patriotes, coin Notre Dame/Delormier.
Point d'arrivée: Le monument du lion de Belfort au Carré Dorchester (Carré Dominion), Boul. René Lévesque/Metcalfe
Discours patriotique jusqu'à 5 heures en ce lieu.
Le mouvement "LE CARRÉ BLEU" parraine l'évènement.
Nous enjoignons toutes les associations indépendantistes et nationalistes ainsi que tous les Québécois à se joindre à cette marche importante. Nous verrons s'il y a de l'intérêt pour une marche parallèle à Québec ou ailleurs au Québec.
Personne ne suit Alain Raby. Soyez le premier!