Je suis née dans le mauvais pays
16 novembre 2012
Il faudrait que ceux et celles qui s'expriment sur l'assurance maladie puissent se souvenir ce qu'était que de se faire soigner lorsque la maladie était sous le règne despotique de l'entreprise privée,qu'on devrait nommer l'entreprise qui prive de soins celles et ceux qui ne sont pas des millionnaires. Ces personnes sont probablement trop jeunes pour savoir? Je termine ce propos par un exemple pouvant faire réfléchir les tenants et les temantes d'un système ant-social appelé assurance privée, qui prive de soins celles et ceux qui n'ont pas les sous nécessaires pour s'en payer.Anecdote: j'ai un frère qui , comme de nombreuses personnes ,ne trouvait que des mauvais côtés à notre système d'assurance maladie,jusqu'à ce qu'une de ses filles ne souffre d'un forme de cancer, appelé «maladie d'Hodgkin» (est-ce la bonne ortographe?). Un neveu de mon frère demeurant aux USA lui dit un jour: mononcle, si tu vivais ici tu devrais «hypothéquer ta maison» et peut-être, la vendre pour soigner ma cousine? Depuis ce jour il n'a plus de mauvais mots contre notre excellent système nous protégeant contre les rapaces de la finance propriétaires des sociétés d'assurance maladie hospitalisation,certains de ceux-là vivant d'assistance sociale dans leur royauté de Charlevoix? On devrait tous et toutes, lire: «Privé de soins» d'Alain Vadeboncoeur,un livre document pouvant nous aider à voir les excellents côtés du système de soins dont nous bénéficions dans l'État du Québec.