Le cinéaste, chroniqueur et écrivain québécois Pierre Falardeau est l’auteur d’une nouvelle œuvre. En effet, c’est demain (mardi), dans les librairies de la province, que son livre Rien n’est plus précieux que la liberté et l’indépendance sera en vente.
L’ouvrage contient une sélection de lettres personnelles rédigée de la main de Pierre Falardeau, en plus de papier inédits et de textes d’opinions qui, entre 1999 et 2006, se sont retrouvés pour la grande majorité dans les journaux Le Couac et Le Québécois. Il y est question, entre autres, de l’indépendance du Québec et de la marchandisation de la culture, deux sujets très importants pour l’homme au franc-parler, aujourd’hui âgé de 62 ans. L’auteur rend également un dernier hommage à sa belle-mère.
Le principal intéressé en profite aussi pour lancer des flèches à des éditorialistes, aux extrémistes et au Parti libéral du Canada. Il dénonce également le conformisme et les idées préconçues. Pour lui, l’indépendance du Québec n’est pas qu’une simple affaire de politique. C’est bien plus que ça.
Le titre du livre, Rien n’est plus précieux que la liberté et l’indépendance, renvoie directement à une citation de Ho Chi Minh, un ancien président nord-vietnamien décédé en 1969. Pierre Falardeau est toujours chroniqueur à l’hebdomadaire montréalais ICI. Au cours des 15 dernières années, il a participé à la rédaction de plusieurs livres, dans lesquels il est question du Québec, qui touchaient à la fois à la politique, mais aussi au cinéma.