réponse à l'Éditorial de Vigile

Stigmatisation de l'affaire Michaud

ce qu'il nous faut de plus c'est une nouvelle classe politique dirigeante, activiste, offensive et non plus défensive et attentiste.

Tribune libre

Et bien voilà ce qui s'appelle [se faire enlever le pain de la bouche->33408]. Je m'en allais ce matin écrire que l'adversaire se rit de nous et se frotte les mains en voyant le destin dilué, édulcoré de la plus grande pétition jamais signée au Québec 245.332 à date.
D'aucuns parlaient de rapport de force qu'il fallait attendre pour descendre dans la rue. Que vous faut-il de plus?
Je vais donc vous le dire: ce qu'il nous faut de plus c'est une nouvelle classe politique dirigeante, activiste, offensive et non plus défensive et attentiste.
Le destin du peuple québécois n'est plus dans de bonnes mains. Telle une monnaie usée qu'on se passe de main en main, chacun s'en débarrasse au plus vite de crainte qu'à se refermer sur elle, notre main ne porte à conséquence ou ... se fasse accuser de contre-façon!.
Pourtant l'indépendance est notre seule et vraie valeur marchande, culturelle, éthique, politique. La seule garantie d'un avenir vivable pour nos enfants.
L'éditorial de Vigile m'a devancé et... pour une fois j'en suis heureux
Jean-Paul Gilson


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1 commentaire

  • Archives de Vigile Répondre

    14 décembre 2010

    Pour que ce soit bien clair pour tout le monde, voici le texte de l'Editorial de Vigile signé par Bernard Fappier.
    AFFAIRE MICHAUD Stigmatisation tragique
    Bernard FRAPPIER Vigile mardi 14 décembre 2010
    Après 10 ans de servilité
    Stigmatisation tragique
    L’affaire Michaud, c’est la stérilisation du PQ par le B’nai Brith, branche d’extrême-droite du sionisme mondial, c’est le signe visible du blocage de l’horizon de l’indépendance nationale.
    L’affaire Michaud, c’est la stigmatisation de la démocratie québécoise marquée au fer rouge. Elle montre le côté répugnant de la "démocratie de l’argent", où le pouvoir politique subit l’assaut de coalitions d’intérêts aux dépens de l’intérêt général. La force de ces lobbies vient de la faiblesse de notre élite, cette élite qui prétend faire un pays. Que fera-t-elle donc quand viendra le temps de la rupture et de l’indépendance, elle qui a trébuché, il y a 10 ans, sur une simple réprimande "ou presque"… et qui tremble encore, après ces 10 années, à l’idée de devoir lever la tête ?…
    Le PQ, c’est paradoxalement la grande victime de l’Affaire Michaud. Le PQ ou l’Indépendance ! À la tête du mouvement de libération nationale, le PQ est devenu l’épée émoussée de notre indépendance, un "tigre de papier" qui fait rire les parvenus de la "Petite Ploterie", comme JM Fournier, mais fait pleurer le peuple humilié, abandonné et désespéré devant l’hostilité ambiante d’une démocratie "occupée". - Vigile
    Commentaire
    "L’affaire Michaud,(...) montre le côté répugnant de la "démocratie de l’argent", où le pouvoir politique subit l’assaut de coalitions d’intérêts aux dépens de l’intérêt général. La force de ces lobbies vient de la faiblesse de notre élite, cette élite qui prétend faire un pays." Bernard Frappier)
    Le lobby juif est l'un de ces lobbys actif dans le cas de l'affaire Michaud. C'est ce que j'ai essayé de dire dans mes deux articles sur le sujet.
    "La vérité à propos des Juifs de Montréal" (la grande région de Montréal incluant Laval);
    "Le lobby juif est l'initiateur de l'affaire Michaud (le mot "initiateur" au lieu du mot "responsable": tout le monde sait que c'est Lucien Bouchard, le responsable de l'affaire Michaud.)
    Robert Barberis, 14 décembre 2010