Réflexion sur le racisme systémique

«Dans une période de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire» - George Orwell

Tribune libre

Réflexion inspirée d’un commentaire paru à la suite d’un article du Devoir du 31 octobre sous le titre « Je refuse »


Dans la foulée des interventions faisant référence au « racisme systémique » des Québécois, j’aimerais attirer votre attention sur des questions qui me triturent les méninges depuis un certain temps. En voici le cœur du sujet.


Comment se fait-il que les supposés bien-pensants osent nous accuser de racisme et de xénophobie alors que les personnes qu’elles protègent pratiquent la haine des mécréants et le mépris sans vergogne de nos valeurs sur notre propre territoire ?


Comment se fait-il que les Québécois soient traités de racistes alors que ce sont les émigrants qui bafouent nos coutumes, notre liberté d’expression et notre défense de l’égalité hommes-femmes, qui refusent de s’intégrer à leur société d’accueil et qui tournent le dos à notre civilisation ?


C’est George Orwell qui disait : « Dans une période de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire ». Eh bien, force est de constater qu’au Québec, nous en sommes rendus là, à clamer haut et fort nos convictions profondes envers nos valeurs et à exiger que les étrangers qu’on accueille respectent ces valeurs…Pour ce qui est du « racisme systémique », on repassera !


Henri Marineau

Québec


 


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Henri Marineau2089 articles

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Né dans le quartier Limoilou de Québec en 1947, Henri Marineau fait ses études classiques à l’Externat Classique Saint-Jean-Eudes entre 1959 et 1968. Il s’inscrit par la suite en linguistique à l’Université Laval où il obtient son baccalauréat et son diplôme de l’École Normale Supérieure en 1972. Cette année-là, il entre au Collège des Jésuites de Québec à titre de professeur de français et participe activement à la mise sur pied du Collège Saint-Charles-Garnier en 1984. Depuis lors, en plus de ses charges d’enseignement, M. Marineau occupe divers postes de responsabilités au sein de l’équipe du Collège Saint-Charles-Garnier entre autres, ceux de responsables des élèves, de directeur des services pédagogiques et de directeur général. Après une carrière de trente-et-un ans dans le monde de l’éducation, M. Marineau prend sa retraite en juin 2003. À partir de ce moment-là, il arpente la route des écritures qui le conduira sur des chemins aussi variés que la biographie, le roman, la satire, le théâtre, le conte, la poésie et la chronique. Pour en connaître davantage sur ses écrits, vous pouvez consulter son site personnel au www.henrimarineau.com





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1 commentaire

  • André Gignac Répondre

    3 novembre 2017

    Monsieur Marineau


    200% d'accord avec vos propos! C'est clair, net, précis et direct! C'est ça le multiculturalisme "canadian" pratiqué par nos politiciens provinciaux de pacotille, c'est-à-dire, diviser la communauté québécoise pour régner! "Wake up Québec!!!"   INDÉPENDANCE OU ASSIMILATION!



    André Gignac 3/11/17