Qu’est-ce qui fait courir les adversaires de Pierre Karl Péladeau ?

Une question qui me revient sans cesse depuis plusieurs mois

Tribune libre

Qu’est-ce qui fait courir les adversaires de Pierre Karl Péladeau ?

Voilà une question que je me pose depuis plusieurs mois et qui me revient sans cesse. Qu’est-ce qui provoque autant de réactions mesquines, d’affirmations gratuites, d’énoncés de demi-vérités, de déclarations sans fondements, d’analyses à courte vue sur ses interventions, d’attaques personnelles, d’intolérance et de mensonges sur son passé de patron de grande entreprise ?

Ce qui me frappe depuis le début, c’est la complète absence de référents quant à la façon dont il mène sa carrière politique. Il ne fait rien comme les autres, et surtout, comme ceux qui le combattent. Il ne parle pas le langage de « bon ton » qui noie le poisson des politiciens professionnels. Il écoute avec attention toute question qui lui est posée. Il répond calmement, ne s’offusque pas des questions stupides, des sous-entendus transpirant la ligne éditoriale et répond avec parfois un sourire, parfois avec un éclat de rire, sans se laisser démonter, les évidentes tentatives de ses interlocuteurs tombant chaque fois à plat.

Il me laisse chaque fois l’impression d’un homme pragmatique, qui sait exactement où il s’en va et qui ne se laisse pas distraire par les braiments des « journalistes à gage » qui tentent de le déstabiliser par tous les moyens que la déformation des faits leur permet d’employer.

Chaque fois que nous avons pu le voir interviewé à Radio-Canada, sur d’autres chaînes de télévision ou à la radio, nous avons assisté à cette façon de faire qui le caractérise si bien. Il pratique avec une habileté consommée l’art de rester lui-même, détendu et attentif, capable de réagir en souplesse aux questions insidieuses des journalistes qui en réalité n'en posent jamais , mais qui affirment plutôt sur un ton 'interrogateur' des choses qu’ils veulent voir leurs invités confirmer. Tout dans ses réponses et dans son langage corporel nous révèle combien leurs grotesques manipulations lui sont évidentes et ne sauraient lui faire dire autre chose que ce qu’il a à dire.

Il faut le voir dans des réunions publiques, s’adresser à ses auditeurs. Son naturel, sa simplicité, sa langue parlée sans circonvolutions ni effets oratoires, le plaisir que de toute évidence il prend à communiquer avec ses concitoyens et l’enthousiasme qu’il provoque nous sont le témoignage le plus évident de l’authenticité de ses engagements et de la sincérité de ses intentions.

Peu d’hommes politiques nous auront autant interpellés et auront semé autant d’espoir chez les indépendantistes qui comme moi, aspirent à la naissance de notre État.

Pas surprenant que si près de nous, ses compatriotes, et capable de nous parler avec cœur et simplicité, il soit celui que nous estimons le plus en mesure de nous mener vers le pays. Surtout qu’il ne prétend pas vouloir le faire par-devers lui, mais avec nous.


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10 commentaires

  • Archives de Vigile Répondre

    24 février 2015

    Philippe de Villiers : «Poutine est le diable idéal pour les États-Unis et l'Otan»
    PROPOS RECUEILLIS PAR ALEXANDRE DEVECCHIO
    LE FIGAROVOX. - Que pensez-vous des accords de Minsk négociés par François Hollande et Angela Merkel avec Vladimir Poutine?
    Philippe DE VILLIERS. - Les accords de Minsk sont très importants car ils recèlent quatre novations. D'abord ils ont permis aux protagonistes de sortir d'une logique de guerre. La voie diplomatique des petits pas augure un possible avenir pacifique. Deuxièmement, deux grands États européens, la France et l'Allemagne, ont mené la négociation et se sont portés garants de l'exécution de l'accord aux côtés de la Russie. Il est patent que ni l'Union européenne ni l'Amérique n'ont la capacité ou la volonté de faire la paix là-bas. Ces accords montrent que c'est seulement lorsque l'Europe parle à l'Europe qu'une paix réelle devient envisageable -c'est l'Europe des États.
    C'est seulement lorsque l'Europe parle à l'Europe qu'une paix réelle devient envisageable.
    Troisièmement, l'accord ouvre la voie à la seule solution qui subsiste pour l'unité territoriale de l'Ukraine: l'acceptation par Kiev d'un statut spécifique pour l'est du pays avec un droit à la langue maternelle russe. Enfin, à la différence de l'accord de septembre, celui-ci est doté d'un calendrier pour chaque phase.
    Une fois n'est pas coutume, vous saluez donc l'initiative de François Hollande?
    Oui, car l'Europe ne doit plus écrire son avenir avec le stylo américain. François Hollande s'est comporté en chef d'État sans prendre garde aux consignes américaines. Il a su résister à la prétention des États-Unis d'exiger l'entrée de l'Ukraine dans l'Otan. Désormais, il faut encourager la France à aller au-delà de cette première phase positive d'émancipation. François Hollande doit maintenant livrer le Mistral à la Russie et respecter ainsi le contrat commercial signé par la France et payé par les Russes à hauteur d'un milliard d'euros. Il doit également lever les sanctions qui sont aujourd'hui des actes de guerre encore plus défavorables à l'économie française qu'à l'économie russe et ne touchent aucunement l'économie américaine. Mais le plus important, plutôt que de s'entêter à construire l'Europe artificielle de Maastricht, sera de préparer demain la seule Europe viable et raisonnable pour mettre en œuvre un grand partenariat stratégique et culturel avec la Russie, l'Europe de l'Atlantique à l'Oural.
    Le plus important sera de préparer demain la seule Europe viable et raisonnable pour mettre en œuvre un grand partenariat stratégique et culturel avec la Russie, l'Europe de l'Atlantique à l'Oural.
    L'accord a déjà été violé par les séparatistes ukrainiens. Peut-on faire confiance à Vladimir Poutine?
    Lorsque l'on revient à la source des événements, on constate le mensonge permanent de l'Union européenne et les fantasmes véhiculés par la presse occidentale. Le cessez-le-feu, à ma connaissance, est observé sur la ligne de front, sauf à Debaltseve, problème particulier né juste avant les accords de Minsk. Mais, même là-bas, les armes lourdes sont aujourd'hui en voie d'être retirées. Les mécanismes de contrôle se mettent en place et les chefs d'État se parlent. Quand les médias affirment que des camions humanitaires russes traversent la frontière ukrainienne chargés de munitions, je m'interroge: à l'heure des satellites qui voient tout, des iPhone qui filment en permanence, qu'attend-on pour nous donner des preuves? Où sont les photos?
    Le concept du Puy du Fou va être décliné en Russie. Votre soutien inconditionnel à Vladimir Poutine est-il intéressé?
    C'est l'inverse. Ayant appris à connaître la Russie par la mise en œuvre de ce projet franco-russe, j'ai découvert deux choses. D'abord que la Russie est profondément européenne. Toute sa culture, toutes ses élites et tout son peuple regardent vers l'Europe. Soljenitsyne me l'avait dit: «Ne commettez pas l'erreur de tourner le dos à la Russie. Il en va de notre avenir.»
    La Russie est profondément européenne. Toute sa culture, toutes ses élites et tout son peuple regardent vers l'Europe.
    En outre, j'ai découvert que Poutine était un vrai chef d'État. J'ai aussi compris pourquoi en Occident les élites mondialistes ne cessent de le critiquer: l'Amérique veut que l'Europe soit la cinquante et unième étoile du drapeau américain. Pour cela, elle doit maintenir les Européens inféodés dans l'Otan. Vladimir Poutine est le prétexte parfait, le diable idéal. N'oublions pas les causes de l'engrenage ukrainien. D'abord un coup d'État fomenté par l'Otan. Ensuite une faute du gouvernement ukrainien, l'interdiction de la langue russe. Enfin, la prétention américaine de l'entrée de l'Ukraine dans l'Otan. Comment pouvait-on imaginer que les Russes allaient accepter de voir l'Otan à leurs portes? Vladimir Poutine ne veut pas le démembrement de l'Ukraine. Il souhaite simplement la reconnaissance de la langue maternelle dans les régions russophones, un statut pour ces régions, et enfin une neutralité de l'Ukraine par rapport à l'Otan.
    La Russie semble retrouver une certaine fierté nationale. Le risque n'est-il pas de verser dans un excès de nationalisme?
    La différence avec la France est la suivante: en Russie, il y a une véritable restauration des valeurs morales, civiques, patriotiques, spirituelles. Les petits Russes apprennent la fierté d'être russes. On parle aux Russes de la Russie, de sa grandeur, de son riche patrimoine, de son rayonnement eurasiatique. Que dit-on aux jeunes Français? Que la France est une honte, que les Français sont des racistes et que le patriotisme est une tare. Il y a plus de liberté d'expression en Russie que chez nous. Comme l'avait prophétisé Philippe Muray, nous nous sommes enfermés dans la cage aux «phobes»: islamophobes, xénophobes, europhobes, homophobes. Plus personne ne bouge! Et nous avons une classe politique essorée, aseptisée, passée au micro-onde qui bénit le partage du travail entre les laïcards qui font le vide spirituel et les islamistes qui remplissent le vide.
    Comme l'avait prophétisé Philippe Muray, nous nous sommes enfermés dans la cage aux «phobes»: islamophobes, xénophobes, europhobes, homophobes.
    Cela n'empêche pas les Russes de connaître, eux aussi, de fortes tensions ethniques et culturelles?
    La différence avec l'intégration «à la française» est évidente. Il y a, en Russie, 20 millions de musulmans sur 140 millions d'habitants. Vladimir Poutine applique le vieux principe prudentiel: «On vit à Rome comme les Romains, on vit en Russie comme les Russes.» En France, ceux qui veulent faire croire que la laïcité et le «droit de l'hommisme» suffisent à résoudre le problème sont des manipulateurs ou des lâches. Il n'y a qu'une manière d'intégrer dans notre pays: par la francisation!
    Alors que les négociations entre l'Union européenne et la Grèce piétinent, Tsipras peut-il se tourner vers la Russie?
    L'Union européenne d'aujourd'hui est une tentative thaumaturgique folle d'anéantir les États, les frontières et de livrer les peuples et les activités industrieuses aux maîtres de la mondialisation.
    Pour l'oligarchie européenne, Tsipras est en état de péché mortel. Il sera bientôt immolé sur le Parthénon puisqu'il ne fait pas la génuflexion devant l'euro et qu'il confesse un penchant de la Grèce pour la Russie. Il trouve des vertus au diable. Mais les adorateurs de Bruxelles et Francfort n'ont toujours pas compris que la rédemption par l'euro ne marche pas pour les économies européennes. La Grèce quittera l'euro: les négociations ne font que repousser l'échéance. Toute cette construction européenne est une déconstruction mortifère. L'Union européenne d'aujourd'hui est une tentative thaumaturgique folle d'anéantir les États, les frontières et de livrer les peuples et les activités industrieuses aux maîtres de la mondialisation qui y trouvent d'immenses bénéfices.
    À quoi pourrait ressembler l'Europe de demain?
    L'idée concoctée aujourd'hui par les eurocrates et les élites mondialisées d'un accord de libre-échange qui ferait de l'Europe un marché annexe de l'Amérique tourne le dos à l'avenir et au bon sens. Ce que je reproche à cette Europe-là, c'est de devenir une Europe américaine -un simple prolongement économique et culturel des États-Unis. Pour prédire l'avenir, on pourrait dire: «l'Union européenne est morte, vive l'Europe!» La vraie, la grande, celle de l'Atlantique au Pacifique qui retrouve le vrai berceau de ses alliances culturelles ancestrales. Celle de la reine Anne de Kiev, la reine russe qui épousa un roi français. L'Europe qui retrouve les bonnes vieilles idées qui mènent le monde depuis que l'expérience des hommes a inventé le triptyque souveraineté, frontières, identités.
    http://blogdejocelyne.canalblog.com/archives/2015/02/24/31592852.html#utm_medium=email&utm_source=notification&utm_campaign=blogdejocelyne

  • Archives de Vigile Répondre

    16 février 2015

    Vous voyez! La raison se fait aller! Qui dit vrai? Votre raison ou ma raison? Deux raisons se font face!
    Que penser maintenant de la raison américaine, allemande, européenne, polonaise, ukrainienne, face à la raison russe et les BRICS? Est-ce que les forces armées de l’un peuvent imposer par la force son point de vue à l’autre, par la guerre, par sa raison suprématiste à l’autre? Ce que l’on conçoit comme le droit international de l’un est-il supérieur à ce que peut concevoir la vision du droit international de l’autre?
    Des êtres supérieurs c’est bien relatif ça! Supérieur à quoi? Supérieurs à qui? Une raison est-elle supérieure ou inférieure à l’autre point de vue, à une autre raison? Peut-on unifier deux raisons qui s’opposent? S’il y a un supérieur, cela laisse sous-entendre qu’il y a un inférieur, qu’il y a une forme de hiérarchie, voire de dictature des uns sur les autres, qu’il y a des gros culs en hauts qui imposent leurs dictées aux ti-cul en bas! Ceux qui sont en haut de la pyramide ne se voient-ils pas comme des dieux? Ne se considèrent-ils pas comme plus égaux que d’autres, comme plus libres que d’autres, comme plus frères que d’autres?
    Donc, les ti-cul en bas ne sont-ils pas vu par les grands culs comme des choses inférieures, des valeurs négligeables, qu’on peut facilement se départir, voir congédier, voir exterminer s’il y en a trop, comme on tape sur les mouches lorsqu’elles nous agacent, lorsqu’elles nous dérangent, et étant donné que l’un impose sa volonté aux autres, ceux d’en bas ne peuvent pas vraiment être considérés comme des êtres libres, égaux, ni comme des frères. Il y en a donc qui sont plus égaux que d’autres! Il y a donc les peuples et ceux qui les gouvernent!
    Le « suprématisme américain », son exceptionnalisme sur le reste des nations du monde, est-il une forme de supériorité? De spiritualité terrestre! Les américains ne sont-ils pas des dieux? Ne se considèrent-ils pas comme des dieux? De leur point de vue, eux aussi pensent qu’ils ont créés le ciel et la terre! Leurs bases militaires sont partout autour du monde, comme dans l’espace avec leurs satellites de communications, et d’autres aussi, beaucoup plus dangereux. Et leur dollar US est utilisé, voir imposé par la force ou les manigances, partout chez leurs états vassaux autour du monde.
    Lorsqu’un nazillon ukrainien, par exemple, traite un autre homme de sous-homme, est-ce que le nazillon est un dieu et l’autre qu’un esclave qui doit faire les quatre volontés du nazillon? Si je m’associe au nazillon, ne suis-je pas complice? S’il y a des nazillons, n’y a-t-il pas aussi de véritables nazis au-dessus de leurs têtes? Les véritables nazis sont-ils toujours en première ligne, à la vue de tout le monde, ou bien font-ils faire leur sale boulot par d’autres?
    Les fondamentalistes chrétiens du moyen-âge sont-ils des sortes de nazis? Les fondamentalistes wahhabites ou salafistes sont-ils aussi des formes de nazis? Les fondamentalistes bolchéviques ont-ils été aussi des disciples d’une forme de nazisme ou de fascisme? Le colonialisme sous toutes ses formes, est-ce de la prédation des uns sur les autres, et une autre forme de nazisme? Maintenant qui entretient le nazisme et le soutient financièrement?
    Si l’histoire du Québec est mise de côté, si des pans entiers de son histoire ont été saccagés, ou sont ignorés, ou effacés de la mémoire collective, et ne sont plus enseignés suffisamment aux québécois dans nos écoles, à tous les niveaux, si on ne donne plus préséance qu’à certaines parties de l’histoire du Québec, en en ignorants d’autres, face à l’historique canadienne par exemple, en minimisant certains aspects au dépend de d’autres beaucoup plus révélateurs et proche de la réalité, ne déforme-t-on pas alors cette réalité? Pourquoi a-t-on réduit le temps d’enseignement par exemple en Philosophie au CEGEP il y a quelques années déjà? Pourquoi le Vatican n’a-t-il pas aidé nos églises chrétiennes lorsqu’ils étaient en difficulté financière au Québec? Le « 1984 » d’Orwell n’a-t-il pas souligné l’idée que BIG BROTHER réécrivait l’histoire? Qui est BIG BROTHER?
    Maintenant, il ne faut pas croire que nos livres saints n’ont pas eux aussi été déformés, trafiqués, réécrits, falsifiés, au cours de l’histoire! Ce qui est possible de faire aujourd’hui dans un cas, ne l’a-t-il pas aussi été dans d’autres cas hier avec nos livres saints? Que ce soient ceux de notre bible chrétienne, ou de celles des autres confessions religieuses, c’est la même chose; ils ont tous aussi été altérés à profusion, afin d’amener la confusion des esprits, et de facilité l’asservissement des hommes par des religions dont les écrits étaient maintenant devenu pour beaucoup d’hommes, insondables et incompréhensibles!
    Maintenant si on tente d’y voir clair en prenant à la lettre l’écriture sainte on est certain de tergiverser, de tourner en rond, de s’abuser soi-même, et d’interpréter des formes à notre façon en les biaisant encore plus nous-mêmes!
    La raison ne peut comprendre les livres saints, il n’y a que le cœur qui peut y voir clair! D’où l’expression « esprit de la lettre »!
    Le Christ est un concept incompris avec la tête!
    Lorsqu’il affirme que son royaume n’est pas de ce monde, de quel monde parle-t-il?
    Y aurait-il plusieurs mondes?
    Celui de la terre et d’autres inconnus pour l’instant!
    Il l’a dit lui-même, il y a plusieurs demeures dans le royaume des cieux!
    Si ce n’est pas son royaume au Christ sur la terre, alors c’est le royaume de qui sur notre planète?
    Faut-il croire qu’il y a un roi sur cette terre, et un royaume sur cette terre, et un autre royaume au-delà qui n’a rien de commun avec celui de la terre?
    Il l’a dit aussi lui-même : « Rendez à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu! »
    Le dit « dieu » de la terre n’a donc-t-il pas rien de commun avec ce que le Christ appelait « Son Père » dans les « Cieux » et non pas dans le « ciel ».
    Dans cet esprit, il y aurait 2 dieux, un sur la terre et dans le ciel de la terre, et un dans un autre monde, ailleurs que sur cette terre.
    Lorsque dans la bible, par exemple, on cite « Vous ne pouvez servir Dieu et l’argent ». Cela veut-il dire que le dieu de ce monde est l’argent? Et lorsque le diable dans le désert tente Jésus, ne lui parle-t-il pas ou ne lui propose-t-il pas des possessions matérielles et du pouvoir qu’il pourrait lui donner s’il s’agenouillait et l’adorait?
    Il y a-t-il des hommes qui adorent l’argent? Ou qui adorent Satan?
    Le diable est-il le dieu de ce monde? Le diable et la dualité, le bien et le mal, ont-ils une affinité quelconque avec ce monde, cette terre?
    Quel est la différence entre le diable, le démon, Ahriman, Satan, Belzébuth, Lucifer, et par exemple le Christ?
    Vous voyez présentement au Novorussia, au Donbass, et partout dans l’est et le sud de l’Ukraine des effigies à l’image du Christ qui ornent leurs drapeaux et leurs insignes, dont ses habitants s’affichent ouvertement avec ce let motif, cela, peut-être avec une déformation de l’esprit christique peu importe, mais quand même, cela révèle qu’il y a une sorte de guerre en présence sur cette terre, entre les forces d’en-haut, et les forces d’en bas, entre le Dieu d’en haut et le dieu d’en bas, où les forces de Kief s’affichent eux, avec tous l’arsenal, la propagande, les images, et le bastringue nazi de la seconde guerre mondiale!
    Et qui sont les méchants pour nos médias à la solde, mais ce sont ceux qui s’affichent avec le drapeau du Christ!

  • Pierre Cloutier Répondre

    15 février 2015

    Message à Peter
    Vous vous trompez. Le libéralisme n'est pas une religion. C'est une doctrine économique. Une religion c'est une croyance de l'existence d'un Être supérieur qui a créé le ciel et la terre et l'existence d'une autre vie après la mort. C'est cela une religion. La religion c'est une croyance, une fiction, une pensée magique et irrationnelle. Pas pareil. Pas pareil du tout.
    Quand aux signes ostentatoires religieux, je suis très réservé en ce qui concerne ceux qui, affichent, comme l'islam une idéologie haineuse, guerrière, discriminatoire, totalitaire et barbare.
    Je compare cela à la montée du nazisme en Allemagne durant les années 30 avec la croix gammée. Seriez-vous prêt à endurer des bandes de jeunes nazis avec leur croix gammée sous prétexte que cela leur fait du bien?
    Qu'il y a-t-il derrière le voile islamique? Fouillez un peu et vous allez le découvrir. Et ce que vous verrez ne sera pas drôle du tout. Je ne vous souhaite pas de vivre cela, monsieur Peter.

  • Archives de Vigile Répondre

    14 février 2015

    Vous savez Monsieur Pierre la pensée matérialiste est aussi une forme de religion qui vous relie à la matière. C’est aussi une forme de spiritualité! La religion prend différentes formes! Tous et chacun, nous avons tous nos petites béquilles, nos petits conditionnements et nos petits bobos! Cela ne veut pas dire qu’on peut se donner le droit de taper sur toutes les différentes béquilles que nous rencontrons sur notre passage sur ce monde qui diffère de la nôtre!
    Un système de croyances et de valeurs est une forme de béquille, qui aide à échafauder une infrastructure psychologique temporelle et temporaire, pendant notre présence sur terre, ça donne de la consistance à notre personnalité, à notre ego, ça constitue un semblant de forme, de personnalité, pas trop pire, acceptable, qui se tient un peu debout au moins, mais cette prétendue identité finie, et constituée souvent doctement et sérieusement, que nous prenons tous pour réelle et permanente, elle évolue aussi dans le temps et s’étiole avec le temps.
    Bref, nous sommes tous déjà en réalité au-delà de cette illusion que nous pouvons concevoir comme réel et tangible sur le plan matériel! Nous sommes tous plus ou moins prisonniers de nos conditionnements, quels qu’ils soient, peu importe la forme.
    La transcendance vient lorsque nous décidons tous d’aller au-delà de nos conditionnements, et souvent pour certains, de remplacer nos conditionnements d’origine par d’autres conditionnements plus subtiles, pour se donner toujours plus l’illusion d’avancer, d’évoluer, de progresser, de grandir, alors que nous tournons toujours en rond, tout simplement, dans ce marécage théâtral sur ce monde. Mais si ça nous arrange, alors pourquoi pas!
    Mais ce n’est dans le fond, que l’expression infinie que nous sommes tous, de qui nous sommes tous véritablement, de qui nous sommes vraiment, au-delà de cette matière, qui se donne la liberté et le droit d’explorer la matière à notre façon, et libre à chacun de nous de prendre n’importe quelle forme, et d’y faire expérience à volonté, tant que ça nous fait encore vibrer! Alors pourquoi pas! Toutes les possibilités d’exploration de ce monde sont valables! Et pas seulement les nôtres! Ce monde, ce théâtre est vaste et les jeux de rôle sont innombrables!
    Le fondamentaliste, peu importe la forme, qu’il soit politique, géopolitique, scientifique ou pseudo-scientifique, métaphysique, mystique, philosophique, psychologique, religieux, doctrinale…etc., etc., lui, conçoit, que seul lui, à raison, et que son chapelet de croyances et de valeurs est le seul réel, véritable et valable, et que toutes les autres formes errent, en supportant des chapelets de « croyances et de valeurs » différents de lui, et qui sont de son point de vue, souvent, que des aberrations grotesques, ou voir l’expression d’un mal incarné quelconque, et dont on peut, liberté d’expression oblige dans l’ère du temps qui nous occupe, se moquer allègrement, décrier, accuser, condamner, et que les plus radicaux et fanatiques d’entre eux peuvent même se donner le droit de taper sur la gueule de tous ces ignares, sur tout ce qui bouge de différent d'eux-mêmes, de différents de la pensée unique, officielle, et de les enfermer, de les éliminer si nécessaire, si elles font trop ombrage à leurs fantasmes puérils.
    En réalité tout le monde à raison de son point de vue et à tort du point de vue des autres, c’est pour cela que la seule raison est déraisonnable et partisane, futile, limitée, d’où les "deux poids deux mesures" qui abondent en ce moment, et qu’elle évolue toujours arbitrairement selon ses intérêts egocentrique, et se donnant toujours raison bien sûr, car la raison se donne toujours raison c'est bien connu, sans prendre conscience du point de vue des autres. La dictature est une forme de paroxysme de la raison poussée à l’extrême! Nous devrons bientôt transcender cette raison si nous voulons sortir de la limitation, de la dualité innée de celle-ci, de l’enfermement, de nos conditionnements, pour aller au-delà, vers ce quoi nous sommes tous réellement.
    Chacun est libre de croire ce qu’il veut, si pour l’un, qui aime se déguiser en bonne fontaine et se promener sur la rue avec des chaînes autour du cou, alors pourquoi pas, si ça le fait vibré, si ça lui fait du bien! Nous devrions réapprendre à rire, d’abord de nous-mêmes avant tout, le monde se prend trop au sérieux parce que les egos du monde se prennent trop au sérieux!
    Le néolibéralisme est aussi une forme de religion! Les banquiers sont les gourous! Leurs politiciens leurs prêtres! Leurs médias, leurs organes de propagande et de conditionnement!
    Le problème vient lorsque le gourou se met à déclarer à qui veut l’entendre : « Vous êtes avec nous ou vous êtes contre nous! Ou encore : « Sans nous point de salut! » Ou : « Si vous n’êtes pas Charlie, travestie ou ti-cul, vous êtes des imbéciles! »
    Nous sommes à deux doigts d’une guerre nucléaire, et pourtant, nous jasons dans les salons, de la pluie et du beau temps, d’artifices et de cosmétiques sans importance, lorsque notre monde s’écroule, et est dirigé par des fanatiques dangereux de la pire espèce, des religieux du nouvel ordre mondial, qui se foutent de la gueule de leurs populations, et qui de plus instrumentent les religions, les ethnies, les races, les croyances, les valeurs, en les liguant les unes contre les autres, pour mieux les diviser, pour mieux les divertir, pour mieux les détourner de l’essentiel, pour mieux les occuper et les détruire, pendant qu’eux vivent à nos dépends et nous exploite; c’est ça la prédation! Et c’est aussi une religion!
    Alors si nous nous prenons au sérieux dans ce jeu fantasmagorique, nous sommes choqués!
    Nous nous considérons alors comme des acteurs, uniquement, et sans transcendance possible! Et pris, et épris, à travers notre propre jeu ubuesque! C’est comme l’histoire du médecin qui joue le personnage du médecin à la clinique, et qui retourne à la maison le soir, et continue à jouer le personnage du médecin avec sa femme, et qui a tôt fait de lui faire remarquer, qu’il se prend trop au sérieux, et qu’il est trop conditionné par son personnage, et que son attitude est une « déformation professionnelle » qu’il devrait laisser au bureau, lorsqu’il revient à la maison le soir. Ou bien l’histoire de l’acteur qui joue une pièce de théâtre à Saint-Sauveur, et qui une fois la pièce de théâtre terminée, continue à se prendre pour le personnage de la pièce au TIM avec ses amis!
    Alors ce théâtre devient alors par nos projections un semblant de réalité, comme étant la seule chose qui existe pour nous concrètement, de notre point de vue, sans toujours réaliser que nous nous abusons nous-mêmes dans ce jeu de rôle, comme s’il n’y avait rien d’autres au-delà de ce théâtre!
    Nous devrions tous nous concentrer sur l’essentiel en cette fin de cycle, et nous unir plutôt que de nous diviser pour des fatuités sans importance!
    Regardez les gouvernants internationaux, nationaux et locaux, en ce moment autour du monde, pour moi ce sont de merveilleux acteurs, mais ce sont aussi des clowns, alors rien ne nous empêche de rire un bon coup en les regardant agir, dire ou se comporter! Je me surprends même à rire seul dans mon salon, dans ma cuisine, ou dans mon lit le soir, et ça depuis un certain temps, en observant les péripéties de ce théâtre mondial de l’extérieur; alors c’est la preuve, de mon point de vue, que je sors graduellement de ce jeu grandiose, tragi-comique, que je suis moins concerné en tant qu’acteur, et que je me prends moins au sérieux en tant que personnage. C’est une véritable libération que je nous souhaite à tous!
    Rire c’est très libérateur!

  • Pierre Cloutier Répondre

    13 février 2015

    Message à Fernard Lachaîne
    Qui lit le Devoir? On s'en fout du Devoir. Moi je vis la campagne depuis 15 ans. Je suis super branché en haut débit sur l'Internet et je n'ai pas acheté de journaux depuis cette date, sauf pour allumer mon poêle à bois. Et je ne regarde plus la télévision non plus. Comme cela, je ne suis pas "contaminé" comme un poisson empoisonné dans un marécage visqueux. Je navigue librement en haute mer sur l'Internet et je suis libre de choisir ce qui me plait ou pas. Et je suis très bien informé. Pas besoin des nouvelles et potins des journaleux.
    Message à Peter
    Je vous suis sauf votre délire religieux et anti-charte. Je suis un homme pragmatique avec une pensée matérialiste et je me fous des croyances, de la fiction et de la pensée magique, des sectateurs de Jésus-Christ, des illuminés du Mur des Lamentations et des fous d'Allah. La laïcité pour moi veut dire plusieurs choses bien précises : séparation de la religion et de l'État, de la prétendue "spiritualité" et du réel, égalité en les hommes et les femmes et pas de signes religieux ostentatoires dans la sphère publique et civique. Si vous voulez prier votre Dieu, votre Allah ou votre Yahvé, faites-le discrètement dans votre tête, mais foutez-nous la paix avec le reste. On veut pas le savoir et on veut pas le voir.

  • Archives de Vigile Répondre

    13 février 2015

    Pour mettre en relief les hommeries politiques actuelles au Québec entre autres, qui ne fonctionnent que par la tête, que j’ai plus ou moins dénommé les « pragmatiques néolibéraux », qui sont comme des maçons qui doivent absolument planter un clou en quelque part, de leur point de vue, le plante effectivement, peu importe si votre main est en dessous : les politiques d’austérité qui touchent la classe moyenne, pour soi-disant relancer la croissance, relancer l’inflation, comme dogme néo-libéral de résolution de problème, comme de leur point de vue seuls capables de relancer et de maintenir le système USD en place, qui sont actuellement utilisées, pratiqués un peu partout en occident, en Europe, particulièrement en Grèce, en Espagne, au Portugal, en Italie, même en France, déjà en Allemagne, se voit maintenant appliquées ici même au Québec ; même si le laboratoire Grec sous l’emprise de la Troïka à démontrer que ces politiques « d’austérité » ne fonctionnent pas. On parle alors vraiment « d’entêtement », voir d’hystéries néo-libéral et bancaires, des hommes de tête ; les « pragmatiques néo-libéraux ».
    Ce n’est pas en remplaçant quelque chose qui ne fonctionne pas ailleurs par plus des mêmes choses qui ne fonctionnent pas ailleurs, que les choses finiront par fonctionner ici. C’est logique ! Qu’en pensent les hommes de tête ?
    Mais de leur point de vue, je parle des « pragmatiques néo-libéraux », ces hommes de tête, souvent des banquiers, la croissance dont ils parlent, qu'ils nous vantent, c’est la croissance du système financier, et des banques uniquement, de la spéculation financière, disons de la bulle financière, de la course folle en avant, même si ce n’est qu’un précipice qui est devant eux.
    Mais ce sont des hommes de tête ! Croyez-les ! Eux ils savent ! Pas vous ! Ces politiques d’austérité détruisent l’économie réelle ! Autrement dit nos hommes de tête, qui disent travailler pour le peuple, en fait, ne travaillent que pour les banques ! Vous savez ! Vous ! Ce n’est pas important !
    Comment imaginer maintenant que les rentrées fiscales augmenteront face à de telles politiques austères, si les retraites, les salaires, le chômage, les conditions de travail, l’économie réelle et la consommation conséquemment diminue, alors ça ce n’est pas de l’inflation que nous aurons mais c’est de la déflation que nous aurons, et pendant que l’intérêt sur la dette québécoise coure toujours, alors ce sera la crise ; on viendra bientôt vous ponctionnez dans vos livrets bancaires, toujours pour sauver les banques ! Mais ce sont des hommes de tête ! Croyez-les !
    Alors vous savez, les hommes de tête, il faut faire attention à ça ! À les voir aller, ce sont des « P’tits Jo connaissant » ! Eux ils savent ! Écoutez-les parler ! Mais on se rend compte avec le temps qu’ils ne livrent pas ce pour quoi ils ont été élus, et je dirais même, qu’ils livrent l’inverse de leurs promesses électorales. Que de « grosses têtes », que d’egos démesurés nous avons là ! De ces hommes de tête là le peuple n’en veut pas !
    Un homme de cœur, ne planterait jamais un clou dans votre main !
    J’avancerais même, que ce qui a coulé le Parti Québécois lors des dernières dites « élections provinciales », c’est « l’entêtement » d’une raison « déraisonnée » de nos hommes de tête, de nos politiciens, de vouloir implanter, coute que coute, une charte des « valeurs » ; toujours aussi floue comme concept, pour un peuple québécois où le cœur est plus gros que la tête, et de prôner « une laïcité », toujours aussi floue comme concept, qui tentait de fixer arbitrairement les paramètres moraux acceptables pour la religion des musulmans, qui était visée principalement, ouvertement. Alors que les québécois, majoritairement des chrétiens dans l’âme, ont simplement fait front commun avec la religion des musulmans, qu’ils en aient été conscients ou pas, contre cette sorte de « laïcité-là », du deux poids deux mesures, prônée par nos hommes de tête.
    Et si dans un proche avenir, la gent politique ramènerait encore sur la table une quelconque charte de cet acabit, elle se verrait encore sanctionnée aussi drastiquement. On parle d’une « patate chaude » dans cet esprit-là pour nos hommes de tête ! Le peuple québécois est un peuple de paix, de tolérance, de cœur, qui déteste toutes les formes de chicanes, de conflits, de guerres et de chantage !
    J’ajouterais que la « laïcité » n’est pas de « l’athéiste », on peut très bien être un laïc chrétien, un laïc prônant une religion musulmane, ou un laïc prônant une religion juive !
    Dans cet esprit, la laïcité est neutre, et respecte toutes les religions !
    S’il advenait qu’on tenterait d’amener une sorte de police des religions, je suis certain que cette sorte de laïcité-là trouverait le peuple du Québec sur son chemin !
    La question que je me pose : « C’est quelle est l’instance politique qui a placé comme priorité au programme « électoral » du Parti Québécois l’affaire de la charte, et l’affaire d’une laïcité quelconque, avec lesquelles le Parti Québécois c’est, de toute évidence, brûlé, et mis à dos une bonne partie de l’électorat québécois, spécialement les religieux ? »
    En tout cas, maintenant, dans le fond, c’est sans importance ! Il faut regarder en avant ! Et ne pas faire les mêmes erreurs qu’hier ! En fait ! Ces soi-disantes erreurs n’ont pas été vraiment une erreur, elle nous a permis de réaliser que « l’unité » de tous les québécois est essentielle pour réaliser l’indépendance du Québec, et qu’elle doit être maintenue impérativement.
    L’indépendance du Québec ne se fera pas à l’encontre des religions ! Pour qu’elle se fasse, il faudra faire avec elles, ou elle ne sera pas !
    Ceux qui tente d’en remettre encore n’ont rien compris !

  • Archives de Vigile Répondre

    12 février 2015

    @ Monsieur Fernand Lachaîne
    Je viens de transmettre un court message à M. David au Devoir dans lequel je lui souligne qu'il est un "has been" et qu'il devrait accrocher ses patins. Bon commentaire de votre part.
    André Gignac 12/2/15

  • Archives de Vigile Répondre

    12 février 2015

    Je replace ici ces commentaires...
    http://www.vigile.net/La-sagesse-de-Pierre-Karl-Peladeau
    Peter, 10 octobre 2014 12h31
    Pierre Karl Péladeau est une sorte de Poutine Québécois !
    Il représente une menace ! Selon leur vision et l’intensité de leur réaction en chœur, de leurs levées de bouclier générales, de leurs peurs congénitales soudaines observées, de leurs montées de lait pour quelques-uns, en plus, tous les partis politiques confondus, c’est très révélateur, et ça doit être grave !
    Pourtant, l’Union Européenne, l’Allemagne, les États-Unis, l’ONU, l’OTAN ne s’offusquent pas par exemple qu’en Ukraine, en ce moment même, les Oligarques au pouvoir pro-européens, possèdent des entreprises de presse en Ukraine, et de plus, qu’ils aient bloqués toutes communications en provenance de la Russie.
    Alors ici au Québec, l’heure est à la tentative « d’assassinat politique », et à la démonisation de la presse alignée envers Pierre Karl Péladeau !
    Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il n’est sûrement pas un des leurs en tant qu’homme d’affaire émérite québécois, à voir l’ampleur de leur réaction !
    Imaginez ! PK Péladeau en tant que Premier Ministre de Québec !
    Non ! Non ! Et le diable est aux vaches parmi l’establishment !
    Quel ravage pour l’establishment, et quel ménage pour le peuple il pourrait faire dans la cabane de l’état.
    Pour le petit establishment québécois, c’est le loup dans la bergerie.
    Il faut s’en débarrasser à tout prix avant qu’il ne fasse trop du grabuge dans la vache à lait de l’état et qu’il ne fourre son nez tout partout !
    Ce n’est pas pour rien que des éléments de tout parti politique confondu se liguent contre lui en ce moment !
    En tout cas ! Ça nous facilite la tâche ! Je veux dire que ça nous donne une idée de qui est qui, et pour qui travaillent-t-ils ! Ça départage !
    Voici le commentaire intéressant de Michel Matte du 9 octobre 15h48, sur Vigile.net, que je replace ici…
    /« L’infamie parlementaire et l’hypocrisie des élus
    La magouille partisane s’est emparée des fédéralistes à l’Assemblée nationale.
    Jusqu’à ce jour, personne dans le camp fédéraliste ne s’est préoccupé de la concentration de la presse. C’est que les médias véhiculaient majoritairement leur message. Qu’un magnat de la finance contrôle Gesca et Radio-Canada par des ententes conjointes, cela n’a pas dérangé nos faiseurs de morale. Que se même magnat tire les ficelles de plusieurs politiciens à l’abri des regards non plus.
    Pourtant c’est ce même camp qui a écrit les règles de la concentration de la presse. L’arrivée en politique de Pierre-Karl Péladeau ne fait que rééquilibrer une situation déjà malsaine. En plus, il respecte les règles d’éthique de l’Assemblée nationale. Va-t’on demander à la famille Desmarais de se départir de ses médias vu son implication dans Hydro-Québec, la Caisse de dépôts et la politique en général ?
    Il faut remonter à l’affaire Yves Michaud pour trouver une pareille infamie de l’Assemblée nationale qui s’est livrée à un règlement de compte politique. La crédibilité de Jean-François Lisée s’en trouve réduite à néant. »/
    Bref, ils ont peur de son arrivée sur la scène politique québécoise. Ce qui révèle l’alignement unipolaire, atlantiste, mondialiste…,etc., etc., probablement presque complet, en tout cas, je me garde une réverse et laisse le bénéfice du doute pour quelques-uns qui pourraient se retourner, de l’ensemble de la gent politique québécoise, tous les partis politiques confondus.
    Y paraît qu’à la fin des temps, tout sera révélé, c’est bien vrai !
    Cette démocratie d’apparence était vraiment une fumisterie.
    On le constate dans l’affaire Péladeau !
    C’est très rare qu’ils soient tous d’accord ! Il y a anguille sous roche !
    Où est le contre-pouvoir politique réel en ce moment au Québec ?
    Pas un contre-pouvoir de façade ! Un réel !
    Pierre Karl Péladeau pourrait devenir ce contre-pouvoir ! Et ils n’en veulent pas ! Surtout pas !
    Et l’interrogation ou l’offuscation de nos élus est très révélatrice, et démontre seulement qu’effectivement, hier comme aujourd’hui, la liberté de presse au Québec pose problème, et qu’elle influence actuellement encore le comportement et l’opinion politique publique des québécois vers la pensée unique, et qu’ils sont parfaitement au courant de cette problématique puisse qu’ils la soulèvent d’abord, et puisse qu’ils s’en servent tous en plus, justement parce qu’ils s’en servent tous et qu’ils voient donc son importance, et qu’elle pourrait bien un jour faire pencher la balance en leur défaveur ! C’est grave, de leur point de vue !
    Alors aujourd’hui, pourquoi tout d’un coup, on s’offusque, c’est curieux !
    Devrions-nous aujourd’hui nous préoccuper de la liberté de presse ?
    Pourquoi pas hier ?
    Oui ! Pourquoi pas hier et oui aujourd’hui.
    C’est un double standard ici !
    Un deux poids deux mesure !
    Quoi ? La presse n’était-elle pas libre hier ?
    Si PK Péladeau serait un danger pour la liberté de presse, il en va de même pour les intérêts privés qui contrôlent la presse au Québec.
    Si on admet qu’il faut « varger » sur un, on doit aussi « varger » sur l’autre.
    C’est fini les deux poids deux mesures !
    Vous voulez faire le ménage, faites-le au complet.
    Sinon, c’est purement un complot dans le but de se débarrasser de Pierre Karl Péladeau, parce qu’il pourrait déranger les assises de l’establishment québécois, canadien, et new-yorkais.

  • Archives de Vigile Répondre

    12 février 2015

    Qu’est-ce qui fait courir les adversaires de Pierre Karl Péladeau ?
    … capable de nous parler avec cœur et simplicité…
    Bonjour à vous! Et merci bien!
    Je crois aussi que c’est parce que Pierre Karl est un homme de cœur!
    Comme le peuple du Québec est beaucoup plus proche de son cœur que de sa tête, sans l’exclure bien sûr, alors il entre en résonnance beaucoup plus facilement, je dirais plus, naturellement, avec Pierre Karl.
    D’un autre côté, les politiciens, sont souvent plus près de leur tête que de leur cœur!
    Donc, Pierre Karl est une énigme pour ces gens qui ne fonctionnent souvent, voir seulement, qu’à travers des éléments ou arguments « raisonnables », en excluant la dimension du cœur, sans s’en rendre compte nécessairement; cette affaire-là, tu l’as, tu l’as plus ou moins, ou tu ne l’as pas pantoute!
    Je crois que la relation qu’entretient Pierre Karl avec le peuple du Québec se passe, dans l’invisible, à un niveau plus élevé que la simple raison; qui toucherait l’âme, qui toucherait l’esprit et le cœur des québécois. Un peu comme René Lévesque et d’autres ont pu le faire hier! Faire vibrer le peuple c’est une affaire que les cartésiens, uniquement, souvent, ne comprennent pas, ou ne peuvent comprendre! Pour ces esprits- là, ce n’est pas tangible cette affaire-là, ils ont besoin de concret, de pouvoir toucher, ce sont des pragmatique! Cela n’exclut pas qu’un homme de cœur pourrait être aussi un pragmatique bien sûr!
    C’est comme si l’invisibilité, l’inconnu, l’intangible, le souffle de l’esprit, à travers un homme ou des hommes, venaient interagir avec l’âme québécoise, sans que nous en soyons nécessairement conscient ou que nous comprenions ces choses avec la seule raison!
    On pourrait dire globalement, que la raison voit souvent le cœur comme une menace : qu’elle en a peur, et qu’elle tente de le mettre de côté! Et ce qui est intérieur, se traduit de la même façon à l'extérieur, dans nos relations avec les soi-disant autres!

  • Fernand Lachaine Répondre

    12 février 2015

    Vos commentaires sont très opportuns car pour confirmer vos dires, ce matin la chronique de Michel David, dans Le Devoir (Internet) sue la haine envers Pierre-Karl Péladeau.
    Ce journaliste a le droit d'appartenir à une autre formation politique cependant ses attaques en règle et personnelles contre le PQ et Pierre-Karl Péladeau ne font pas dans la dentelle et n'aident pas non plus à améliorer la réputation qu'a le public envers le journalisme québécois.
    Les charges sournoises de Michel David devraient être sanctionnées par le journal Le Devoir qui en acceptant de publier ses chroniques malicieuses, ne reflète plus la renommée qu'il a obtenu en publiant un contenu de qualité et cela depuis de nombreuses années.
    Souhaitons que ce journal revienne à de plus nobles sentiments.