La théorie des fondements moraux, proposée par le psychologie social Jonathan Haidt, suggère que la moralité humaine est basée sur des systèmes psychologiques innés, ou "fondements moraux", qui ont évolué pour aider les humains à naviguer dans des environnements sociaux complexes. Ces fondements sont des systèmes de traitement de l'information qui influencent nos jugements moraux, et notre sens moral en général, qui permet de faire la différence entre le bien et le mal.
Haidt propose initialement six fondements, six oppositions, qui sont : soin/préjudice, équité/triche, loyauté/trahison, autorité/subversion, pureté/dégradation, et liberté/oppression.
Voici une explication plus détaillée :
- Soins/Préjudice:
Ce fondement concerne la sensibilité à la souffrance des autres et la compassion pour ceux qui sont dans le besoin. Il nous incite à éviter de causer du tort aux autres et à prendre soin des plus vulnérables.
- Équité/Triche:
Ce fondement met l'accent sur la justice, l'égalité et la réciprocité. Il nous pousse à punir la tricherie et l'injustice, et à rechercher des relations équitables.
- Loyauté/Trahison:
Ce fondement concerne l'appartenance au groupe, la loyauté envers les membres de notre groupe, et le sentiment d'identité partagée. Il peut parfois conduire à des conflits entre différents groupes.
- Autorité/Subversion:
Ce fondement est lié à la hiérarchie sociale, au respect de l'autorité et à la conformité aux normes sociales. Il peut également inclure le respect des traditions et des institutions.
- Pureté/Dégradation:
Ce fondement est lié à la notion de sainteté, à l'évitement de la souillure et à la recherche de la pureté, tant physique que spirituelle. Il peut être lié à des réactions de dégoût face à certaines actions ou comportements.
- Liberté/Oppression:
Ce fondement concerne le désir d'autonomie, la liberté d'action et la résistance à l'oppression. Il est particulièrement pertinent dans les contextes politiques.
Selon Haidt, ces fondements ne sont pas absolus, mais plutôt des "récepteurs gustatifs" que chaque culture et chaque individu utilise différemment pour construire sa propre vision de la moralité.
La théorie des fondements moraux (TFM) de Jonathan Haidt propose que le raisonnement moral trouve son origine dans des systèmes psychologiques innés et intuitifs, et non dans le seul apprentissage culturel. Bien que la TFM n'aborde pas directement la question raciale, elle explique comment différentes cultures développent des valeurs morales diverses, en fonction de l'importance accordée à ces fondements moraux fondamentaux. Les groupes ethniques, en tant que cultures distinctes, diffèrent probablement dans l'importance qu'ils accordent à l’un ou l’autre de ces fondements, ce qui entraîne des variations dans les jugements et les comportements moraux.
Voici une analyse détaillée du lien entre la TFM et les différences psychologiques entre les races et les groupes ethniques :
Fondements innés :
La TFM postule cinq (ou six, avec l'ajout de la Liberté) fondements moraux innés : Attention/préjudice, Équité/tromperie, Loyauté/trahison, Autorité/respect et Pureté/sainteté. Ces fondements sont considérés comme des éléments constitutifs universels de la moralité, présents chez tous les êtres humains.
Variations culturelles :
Bien que les fondements soient universels, les cultures diffèrent dans la manière dont elles les hiérarchisent et les combinent. Par exemple, une culture peut privilégier la loyauté et l’autorité, tandis qu’une autre privilégiera la bienveillance et l’équité.
Différences ethniques :
Les groupes ethniques, en tant que groupes culturels distincts, sont susceptibles de présenter des variations dans la force et l’application de ces fondements moraux. Ces différences peuvent entraîner des intuitions et des jugements moraux variés liés aux enjeux sociaux, aux préférences politiques et aux interactions interpersonnelles.
Exemple :
Si un groupe ethnique accorde une grande importance à la loyauté et à l’autorité, il pourrait être plus enclin à soutenir les structures sociales traditionnelles et les systèmes hiérarchiques, tandis qu’un autre groupe, privilégiant la bienveillance et l’équité, pourrait privilégier des approches plus égalitaires et individualistes.
Ci-dessus et ci-dessous: structures sociales strictes et systèmes hiérarchiques disciplineurs propres aux asiatiques, acceptés de tous. C'est dans leur mentalité innée, un penchant naturel commun, une prédisposition génétique.
Non déterministe :
Il est important de noter que la théorie des valeurs morales de M. Haidt ne se risque pas à suggérer que la race ou l’origine ethnique détermine certaines croyances morales, sans doute pour ne pas déplaire à ceux qui ne croient pas à l'influence de la génétique sur les penchants naturels et traits humains. Elle se limite à offrir plutôt un cadre général pour comprendre comment les contextes culturels, y compris les origines ethniques, peuvent façonner l’expression et l’application de ces fondements moraux universels.
En substance, la théorie des valeurs morales offre une perspective permettant d’examiner comment les intuitions morales humaines partagées peuvent se manifester différemment selon les groupes ethniques et culturels, conduisant à une variété de perspectives et de comportements moraux.
Ci-dessus impact de facteurs héréditaires sur certains traits de personnalité. Source: ici
Point de vue personnel sur la théorie des fondements moraux
Cette théorie confirme mes propres observations des groupes humains. Il est frappant de remarquer comment chaque race et chaque ethnie se comporte collectivement, et à quel point les différences sont notables de l’une à l’autre. À la différence de M. Haidt, il m'apparaît que ce ne peut être attribuable à de simples différences culturelles; cela ne peut que découler de traits hérités, transmis à tout le groupe. Car ces penchants et attitudes sont si forts et si généralisés qu'il faut nécessairement qu'il y ait des fondements biologiques à tout cela. Ce ne sont pas toutes des choses qui s'apprennent juste par imitation ou enseignement, ce sont des choses qui sont en nous naturellement, comme tous les traits de caractère qui forment une personnalité. La sélection naturelle a réparti certains traits chez certains groupes selon ses principes habituels.
Il m’apparaît clairement que chaque ethnie met de l’emphase sur certains des 6 éléments plus que d’autres. Cet agencement de priorités, cette combinaison de valeurs, de principes moraux propres à chacune dessine le portrait général qui les caractérise par rapport aux autres et forme l'image collective qu'ils projettent, et qui est parfois si frappante au regard extérieur.
Cela explique pourquoi tant de catégories spécifiques d'immigrants sont foncièrement incompatibles avec notre type de société structurée. Et à plus forte raison lorsqu'il s'agit de communautés d'immigrants réunies dans un même endroit (ville, quartier) qui accentuent leurs visions divergentes des nôtres et tentent de l'imposer.
Pour cette raison, il importe d’en tenir compte dans les critères d’immigration pour ne pas dénaturer le fonctionnement social d’une nation donnée. On pourrait défendre l’idée que dans un pays occidental, seule l’immigration occidentale peut convenir au maintien des principes moraux valorisés par notre type de société.
Ci-dessus: manifestations d'étrangers hostiles, à Montréal, contrevenant volontairement la loi 96 avec des pancartes en anglais
Des caractéristiques propres à chaque ethnie
Grâce à cette théorie explicative de bien des choses, on peut comprendre pourquoi par exemple certaines ethnies arrivent ici et perpétuent les conflits de leurs pays d’origine, pourquoi la propension au crime ou l’inclination à la corruption sont plus élevées chez certaines, pourquoi la religiosité excessive à caractère fanatique contrôle certains groupes plus que d'autres, pourquoi la misogynie oppressive imprègne d'autres encore.
Leur déviance trop marquée et inchangeable face à nos normes sociales élevées les rend inaptes à notre type de société. Ils sont marqués au fer par leur conceptions morales si différentes des nôtres qu’elles en deviennent antagonistes et nuisibles au bien-vivre ensemble, à tel point que certains groupes se mettent à contester judiciairement nos lois et chartes des valeurs.
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Pourquoi certains pays ne s'améliorent pas avec le temps
Les pays qui vont mal depuis toujours vont mal précisément à cause de ceux qui vivent dedans et qui continuent de le faire mal aller. C’est le cas de pratiquement tous les pays du tiers-monde sous-civilisé et retardataire. Conséquemment, ce n’est décidément pas une bonne idée d’en transplanter ici à la tonne et sans filtre aucun. Ils ne pourront que répandre leur fonctionnement fautif dû à leur mentalité fautive, qui, répétons-le, ne se change pas. Ce sont des traits hérités faisant partie du bagage génétique propre à chaque race ou ethnie, et qui ne sont à peu près pas façonnés par l’environnement culturel, lequel ne joue qu’un rôle secondaire dans le portrait global de l’individu ou du groupe.
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En conclusion, affirmons que l’Occident ne doit pas se laisser désoccidentaliser. Ce serait courir à sa perte, à son extinction.
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