La libération nationale, une démarche sociopolitique de dignité collective

Pourquoi le 21ème siècle sera celui du triomphe des patriotes-nationalistes

La soumission politique du Québec ne peut conduire qu’à la féodalisation

Tribune libre

« La féodalité n'est qu'un système d'Esclaves et de Tyrans ; ma patrie veut-être libre, ne peut plus rien conserver dans ce qui tient à ce système. » Jean-Marc Shiappa

Il faut comprendre avant tout que ce sont les mercenaires médiatiques au service de la globalisation (des hordes de la communication biaisée afin d’aliéner le maximum possible de la population)(1) qui sont avant tout les responsables de transmettre les directives des groupes d’intérêts politico-financiers qui ont comme objectif principal le saccage organisé envers les classes moyennes, ainsi que celui des ressources économico-financières et naturelles des États-nations.

Le populisme en ce 21ème siècle (dénommé extrême droite par les internationalistes, mondialistes et multiculturalistes) n’est qu’une autre option démocratique et de libération nationale pour faire face aux mafias politiques antipatriotes et complices du projet qui s’est avéré être : Le Nouveau Désordre Mondial .

Les ‘’populismes’’ sont les conséquences du rejet radical de la globalisation, du multiculturalisme, de l’endettement non productif et des nationalisations de sociétés d’État se constituant en monopoles privés ; le désordre économique, le saccage organisé par l’imposition de taxes, impôts outranciers, les privatisations à travers des processus frauduleux ont donné un système économico-financier contrôlé par des cartels et oligopoles contraires aux intérêts des classes moyennes et nationaux. C’est la principale raison des nouvelles élites qui se propageaient en Occident faisant appel à la mobilisation de l’électorat patriote et nationaliste.

La démarche démocratique de ce nouveau ‘’populisme’’ de patriotes et nationalistes en Occident n’est pas similaire aux autres populismes de gauche qui ont provoqué tant de misère, despotismes, exterminations et de ruines nationales. Les États-nations doivent récupérer, au plus vite possible, la totalité de leur souveraineté nationale perdue à conséquence des deux principaux problèmes socioéconomiques : l’impact des nouvelles technologies sur l’emploi (et les salaires) et, celui concernant les pays développés, la délocalisation industrielle, qui suppose transférer dans des pays avec des salaires de misère la plus grande part de la production manufacturière.

Ces deux phénomènes de perte de pouvoir socioéconomiques des classes moyennes en Occident agissent en parallèle. Et le résultat, comme nous le constatons, est une progression des inégalités et du mécontentement social, aggravé par la perte de crédibilité des politiciens qui font partie des partis traditionnels. Sans aucun doute, pour des millions de familles prises avec ces problèmes de paupérisation et de marginalisation sociale leur politique de priorité est clairement exprimée à chaque fois qu’elles ont l’opportunité de le faire voir.

Dans cet état de paupérisation et de marginalisation sociale galopante des classes moyennes dans les pays industrialisés, difficilement peut préoccuper dans les familles affectées par ces deux phénomènes le ‘’ réchauffement climatique ’’ (sic), l’inexpérience politique et la démagogie (sic) des nouveaux leaders ‘’populistes’’ quand l’urgence est d’arriver à couvrir et financer les besoins de base. En d’autres mots, la stratégie des élites industrielles, financières, politiques et journalistiques antinationalistes et mondialistes se réunissant chaque année dans la montagne magique suisse de Davos(2) afin d’imposer cette imposture qu’est ‘’ le Nouvel Ordre Mondial ’’ depuis 1971, a commencé à perdre la bataille. Gagne alors le plus prosaïque : l’emploi et le salaire digne.

Dans ce contexte de dualisme socioéconomique, financier, politique et médiatique entre deux concepts antagonistes, le monde se trouve piégé dans un paradoxe. C’est évident qu’afin de pouvoir implanter ce Nouvel ordre Mondial la globalisation favorise la croissance économique puisqu’en réduisant les coûts des produits et services elle permet d’ouvrir de nouveaux marchés, mais, au même temps, affecte d’amples couches de la population qui se trouve délaissée et vulnérable par le fait de la concurrence des pays qui ne respectent pas les droits humains, contaminent de manière irresponsables, ni ne supportent les coûts élevés de l’État-providence ou financent leurs entreprises d’une manière mafieuse. Sans compter le mépris des droits des travailleurs. La Chine est le paradigme et l’exemple d’économie (un régime communiste avec un système économique de capitalisme sauvage) que ce Nouvel Ordre Mondial organisé et contrôlé par la nouvelle aristocratie de caciques de la mondialisation veut imposer au détriment de l’immense majorité des classes moyennes occidentales. Sans oublier que c’est bien la Chine qui, afin de pouvoir devenir la première puissance économique du monde en connivence avec Barack Hussein Obama et ses complices à l’ONU, veut que la lutte (sic) contre le réchauffement climatique (l’arnaque du siècle) soit le moyen de détournement massif de fonds publics occidentaux, financent ainsi les pays du tiers monde avec des milliers de milliards $ pour que les produits chinois puissent être achetés, rendant l’économie américaine plus vulnérable et plus désindustrialisée.

Le monde, en ce sens, se trouve attrapé par une sorte de tenaille politique qui convertie la globalisation dans une enchère économico-financière. À tel point que l’essor des nationalismes en Occident est la conséquence premièrement du refus de la globalisation économique (augmentation du protectionnisme) et postérieurement dérivant en décisions politiques. Cela s’explique aujourd´hui par l’effet du ralentissement du commerce international. Si avant la crise de 2008 du commerce mondial s’incrémentait le double que le PIB de l’ensemble de tous les pays de la planète, maintenant en 2016 la croissance est pratiquement de moitié : un 1,6 % annuel, selon les estimations de l’Organisation Mondiale de Commerce.

Les deux principaux conseillers du programme économique de Donald J. Trump ont rappelé, à plusieurs occasions pendant la course à la présidence, que les flux d’investissements directs des États-Unis vers la Chine continuaient assez stables entre 1999 et 2003, environ 1,8 milliards $ par année ; mais depuis 2004 jusqu’à 2008, avant la crise, ce montant s’est élevé à plus de 6,8 milliards $ par an. Une radicale délocalisation industrielle accompagnée d’un processus de dérégulation financière initiée par le président antipatriote Bill Clinton (fin de la séparation entre banque commerciale et d’inversion), processus qui s’est avéré hors du contrôle des élites nationalistes. Dans l’OMC, de fait, le vote des États-Unis a le même poids que celui de l’Islande.

Les conséquences de ces changements économico-financiers privilégient ceux qui bénéficient de la mondialisation au détriment des intérêts nationaux américains en provoquant ainsi des dépenses publiques désorbitantes (plus de 5 000 milliards $, soit 30 % de la dette publique) jouant un rôle fondamental afin de compenser les effets adverses du désarmement des tarifs douaniers et la postérieure déclive industrielle qui se sont produits dans les économies les plus développées.

Cependant, c’est ici où se trouve à nouveau le paradoxe des effets de la mondialisation car presque tous les gouvernements des économies développées, sans distinction ‘’idéologique’’, amputent sans aucune considération les acquis de l’ État-providence avec des coupures et politiques d’ajustement budgétaires, affectant ainsi un nombre croissant de millions de travailleurs et de citoyens les plus vulnérables de la société qui font face à cette mondialisation de castration socioéconomique et culturelle.

C’est dans ce contexte de vulnérabilité sociale et de paupérisation économique des classes moyennes dans les pays développés que l’expansionnisme migratoire du tiers monde en Occident se veut comme la solution ‘’ miracle ’’ pour régler les graves problèmes provoqués par ces ‘’ alchimistes ’’ de la finance, de l’économie, de la politique, des ingénieries sociales, de la communication de masse et de la culture se réunissent une fois par année à Davos. Les alchimistes de la mondialisation représentant leurs groupes d’intérêts exclusifs ou leurs propres intérêts partisans se verront de plus en plus répudiés par la majorité se voyant marginalisée par les effets néfastes de ce monde de la globalisation. Cette même majorité leur sera bientôt beaucoup plus hostile, jusqu’à les faire disparaître de toute influence dans leur vie quotidienne, comme tant d’autres groupes organisés antipatriotes ayant surgi tout au long du parcours de l’Histoire.

Le Québec se trouve dans cette situation d’écœurement collectif envers les carriéristes, traîtres, imposteurs, opportunistes, transfuges, corrompus, corrupteurs, spoliateurs et les mercenaires des mass médias au service des groupes d’intérêts perversifs, en somme, des antipatriotes envers leur nation. C’est-à-dire, il s’agit d’un système politique mafieux(3) ayant comme façade démocratique un régime pseudo-libéral qui se sustente et se renforce par la spirale de la corruption institutionnalisée(4). Bref, en finir une fois pour toutes avec cette démocratie totalitaire (5) et de ruine collective sera le principal objectif et devoir des patriotes-nationalistes lors des élections générales de 2018.

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*. ‘’ Le Nouvel Ordre Mondial ’’ que les socialo-communistes de la gauche caviar veulent imposer aux États-nations depuis la IIIème Internationale sera anéanti par la vraie démocratie populaire, le patriotisme et le nationalisme économique. Pour avoir une information exhaustive sur ce ‘’Pouvoir mondial’’ antidémocratique, totalitaire et de spoliation organisée, veillez consulter Internationale Socialiste
http://www.nouvelordremondial.cc/2007/07/14/internationale-socialiste/

1. La démonstration du travail de sape par les hordes médiatiques au service des mafias politico-financières concernant le réveil patriotique et nationaliste est révélée par le front commun de presque tous les mass médias anti-USA-Trump dans le monde. En exemple : France : La radio d’état « France Inter » appelle à l’assassinat de Donald Trump « avant son investiture »
http://breizatao.com/2016/11/10/france-la-radio-detat-france-inter-appelle-a-lassassinat-de-donald-trump-avant-son-investiture/

2. Forum économique mondial
https://fr.wikipedia.org/wiki/Forum_%C3%A9conomique_mondial

3. Autre constat de l’actuel régime politique pervers au Québec dont l’immense majorité de la population reconnait comme hautement corrompu : Corruption: Couillard défie ses adversaires

http://www.lapresse.ca/actualites/politique/politique-quebecoise/201611/13/01-5040816-corruption-couillard-defie-ses-adversaires.php

4. L’avant-propos du livre Le témoin , écrit par Lino Zambito, l’un des principaux témoins à la Commission Charbonneau et condamné pour corruption, en dit long sur ce système antidémocratique et de perversion politico-financière :

Le 13 mai 2015, je plaidais coupable à six chefs d’accusation de fraude, de complot et de corruption relatifs à des événements survenus plusieurs années auparavant à Boisbriand, dont j’étais résident et où mon entreprise, Infrabec, avait son siège social. Six mois plus tard, la Cour du Québec me condamnait à deux ans moins un jour à purger dans la collectivité, une peine aux conditions strictes que je subis toujours au moment où cet ouvrage est publié.

Lors des audiences de la Commission d’enquête sur l’octroi et la gestion des contrats publics dans l’industrie de la construction —communément appelée commission Charbonneau—, j’ai exposé en détail ce que je savais du fonctionnement d’un système de collusion et de corruption auquel j’ai moi-même participé. Depuis, je continue de collaborer étroitement avec l’Unité permanente anticorruption, afin de l’éclairer du mieux que je le peux sur tout ce qui concerne le financement des partis politiques.

J’ai avoué mes fautes. J’ai assumé jusqu’au bout les conséquences de mes gestes et les risques qui en découlent. J’en ai payé le gros prix sur le plan financier, personnel et professionnel. Mais je n’ai jamais vraiment donné ma propre version des faits, ma propre vérité sur le long fil des événements que j’ai vécus. Je ne l’ai pas fait complètement devant la commission Charbonneau, qui n’était pas le lieu adéquat pour le faire et où, de toute manière, les choses importantes à mes yeux auraient été noyées dans le reste de mon témoignage. Je ne l’ai pas fait non plus dans une longue entrevue, dont les journalistes auraient tiré les extraits qui leur convenaient. Dans ces conditions, le véhicule le plus approprié demeurait la publication d’un livre où je serais le seul maître du message.

Tout a été dit sur le rôle des entrepreneurs et de certains fonctionnaires dans la corruption qui gangrène l’industrie de la construction depuis trop longtemps. Je n’ai pas l’intention d’en rajouter à ce sujet. Mais tout n’a pas été dit —loin de là— sur la contribution des politiciens à ce qui était un véritable système.

Tout ce que je veux aujourd’hui, c’est que la vérité soit connue. Toute la vérité. Je veux que la population sache à quel niveau se situe la corruption, d’où elle vient et qui en profite. Je vais vider la question. Je vais aller au fond des choses. Et ce ne sera pas agréable pour tout le monde.

5. Pour en savoir davantage sur ledit régime, consulter Démocratie totalitaire
http://www.wikiberal.org/wiki/D%C3%A9mocratie_totalitaire


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1 commentaire

  • Jean-Louis Pérez-Martel Répondre

    18 novembre 2016

    Le retour du nationalisme économique sera incontournable afin de redonner aux classes moyennes la fierté ayant été bafouée par les mondialistes de tout acabit.
    Autre article manipulé afin de minimiser la réussite de Trump concernant la menace de surtaxation aux multinationales américaines délocalisant à l'extérieur des EEUU leurs productions :
    Trump se vante d'avoir évité une délocalisation de Ford... qui n'aurait pas changé grand-chose
    http://auto.lapresse.ca/actualites/ford/201611/18/01-5042795-trump-se-vante-davoir-evite-une-delocalisation-de-ford-qui-naurait-pas-change-grand-chose.php
    ***
    JLPM