Dans l'histoire des peuples les Forces Armées ont été la source de la plupart des conflits civils et des affrontements fratricides résultant de la division idéologique de ces corps armés, provoquant la destruction nationale et les calamités les plus atroces entre frères que l'on puisse imaginer. La Guerre civile espagnole (1936-1939) ―un exemple parmi tant d'autres― fit plus d'un million de morts, causant la ruine du pays. En 1980 l'Espagne, après 40 ans de paix, de travail acharné ―sans communisme ni socialisme qui formèrent le « Front Populaire » et provoquèrent cette guerre atroce― avait fini de rembourser les milliards de dollars que les financiers du monde avaient prêtés afin de remettre le pays sur la voie de la prospérité et de la concorde entre tous, celle-ci appelée « le miracle espagnol ».
L'Espagne devient alors la dixième économie du monde jusqu'à l'arrivée, des socialo-communistes en 2004 ―les peuples n'apprennent pas de leur histoire nationale et sont des masochistes prêts à commettre les mêmes barbaries―. Aujourd'hui, avec ce régime socialiste (PSOE-PCE), l'État se trouve en ruine et les sans emploi sont déjà plus de 5 millions dont 50% sont des jeunes entre 18 et 30 ans; de plus, l'économie au noir représente 30% du PIB et le système social court à la dérive.
Costa Rica, un exemple pour le Québec
Le Costa Rica a eu une armée comme tous les pays sud-américains jusqu'à 1948. À partir de cette année le président José Figueres Ferrer avait aboli les Forces Armées du Costa Rica après la fin de la guerre civile. Dans une cérémonie célébrée dans la caserne militaire de Bellavista, Figueres a symboliquement démoli une partie du mur de l'installation militaire. À l'année suivante, l'abolition des Forces Armées du pays est enchâssée dans la Constitution à l'article 12 qui stipule strictement : « Se proscrive l'armée comme institution permanente ». Ce qui existe aujourd'hui au Costa Rica, c'est un corps policier dénommé « Force publique du Costa Rica » qui se charge de faire respecter la loi et de garder les frontières.
Jean Louis Pérez
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Note. La Suisse est aussi l'un des pays les plus prospères et en sécurité au monde, n'ayant besoin d'aucune armée permanente.
Costa Rica, le pays le plus écologique et heureux du monde
Pourquoi il faut être contre les Forces Armées permanentes
Un exemple pour le Québec
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4 commentaires
Archives de Vigile Répondre
4 août 2010C'est Oscar qui apprendra que nous ne sommes pas de connivence! Pour "désinformer" il faut détenir un certain pouvoir. Ce que j'en dis, c'est un témoignage de touriste qui a parlé sur place avec plusieurs "canadiens" dont un cousin québécois, qui ont déchanté après avoir voulu prendre une petite retraite tranquille dans ce "paradis sur terre": acheter un restau, une auberge, petit commerce à opérer tranquillement sous les tropiques... je vous "désinforme", monsieur, que ces gens ont connu le harcèlement de l'administration du pays où une acquisition immobilière ne se conclut jamais complètement pour des nouvelles tracasseries qui se rajoutent à chaque année... Allons soyons bien désinformés et réveillons-nous: il n'y a pas de paradis sur terre. Surtout sous surveillance de mitraillette.
Jean-Louis Pérez-Martel Répondre
4 août 2010Â O
Avec votre désinformation, voulez-vous contredire l’organisation The New Economics Foundation qui publie, à chaque deux ans, un rapport qui mesure le bonheur des habitants de 143 pays qui réunissent 99 % de la population mondiale ?
JLP
Archives de Vigile Répondre
4 août 2010Ce qui existe aujourd’hui au Costa Rica, c’est un corps policier dénommé « Force publique du Costa Rica » qui se charge de faire respecter la loi et de garder les frontière
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Oui, et, Force publique portant armement similaire à celui des soldats américains... et montant la garde devant les commerces... particulièrement ceux, achetés et opérés par des étrangers, qu'on vient périodiquement inspecter comme suspects,dans leur comptabilité et leur clientèle... (expérience vécue par voyage sac à dos ds tout le pays)
C'est pas parce que ça s'appelle Police que c'est pas une armée... Qui finance le Costa Rica?
Archives de Vigile Répondre
4 août 2010Oui monsieur Perez mais Costa Rica n'est pas situé sur un carrefour stratégique comme le Québec. C'est un espace géographique isolé par rapport aux autres régions de l'Amérique centrale. De plus, Costa Rica ne recèle pas de matérieux stratégiques comme l'Afghanistan et le Québec.
S'il était possible d'éviter de penser défense, monsieur Perez, nous l'aurions fait depuis longtemps.
Nous faisons déjà comme la Finlande, devenue indépendante depuis 1920, les Finlandais pacifistes, ont cru comme vous que leur pays n'avait pas besoin de défense. Ils ont vite déchanté en 1939, lorsqu'ils se sont retrouvés simultanément coincés entre la Russie et l'Allemagne hitlérienne. N'eût été du génie du maréchal Mannerhei, la Finlande aurait été écrasée.
Quant à la Suisse, vous n'avez aucune idée des dépenses encourues pour la défense territoriale du pays ni des exigences posées aux citoyens pour cette défense.
M. René Lévesque m'a déjà lancé Costa Rica au visage pour me dire pas de défense armée pour le Québec. Il a vite déchanté avec la Crise d'Octobre et les menaces répétées d'interventions armées par Ottawa et Toronto contre le Québec.
Très simple monsieur Perez lorsqu'on est pas directement impliqué. Très très simple.
JRMS