Pourquoi faire un don à Vigile?

Tribune libre

En janvier 2011, je publiais mon premier article sur la tribune libre de Vigile. À cette époque, je dois vous avouer que ma « flamme nationaliste » ne brillait pas fort et que mes convictions souverainistes avaient pris le chemin du placard depuis belle lurette.

Depuis lors, j’ai repris du gallon au sein de la militance de l’option indépendantiste du Québec quoiqu’elle ait été secouée souvent par les méandres dans lesquels nous a conduit le PQ au cours de son dernier mandat à titre de gouvernement.

Néanmoins, si je demeure malgré tout allumé sur mes espoirs de voir un jour le Québec accéder à son statut de pays, c’est en grande partie grâce la tribune libre de Vigile qui demeure pour un moi le canal par excellence de la promotion de l’option indépendantiste au Québec.

Nous abordons le sixième mois de l’année 2014 et seulement 20% de l’objectif est atteint…une situation qui pourrait paraître inquiétante. Toutefois, avec l’arrivée de la belle saison, je vous invite à prendre quelques minutes de votre temps pour répondre à l’invitation de feu Bernard Frappier :

« J’ai la ferme conviction que les amis de Vigile sauront apporter leur soutien, comme ils l’ont fait, année après année. »

Enfin, je me joins aux trois signataires qui suivent pour contribuer au financement de Vigile et permettre à ce flambeau essentiel de maintenir active cette tribune unique au sein des différents médias qui existent sur la scène politique québécoise.

« Vigile, un outil unique et indispensable à la promotion de la souveraineté du Québec. »
Marie-Thérèse Miller

« Encore un petit effort pour maintenir bien vivant cet outil exceptionnel, véritable chien de garde de la démocratie que constitue le site VIGILE. »
Denis Julien

« Je trouve primordial d’appuyer votre travail minutieux nous permettant de nous informer rapidement et efficacement sur divers enjeux collectifs dont la question nationale. »
Olivier Gendreau

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Henri Marineau2093 articles

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Né dans le quartier Limoilou de Québec en 1947, Henri Marineau fait ses études classiques à l’Externat Classique Saint-Jean-Eudes entre 1959 et 1968. Il s’inscrit par la suite en linguistique à l’Université Laval où il obtient son baccalauréat et son diplôme de l’École Normale Supérieure en 1972. Cette année-là, il entre au Collège des Jésuites de Québec à titre de professeur de français et participe activement à la mise sur pied du Collège Saint-Charles-Garnier en 1984. Depuis lors, en plus de ses charges d’enseignement, M. Marineau occupe divers postes de responsabilités au sein de l’équipe du Collège Saint-Charles-Garnier entre autres, ceux de responsables des élèves, de directeur des services pédagogiques et de directeur général. Après une carrière de trente-et-un ans dans le monde de l’éducation, M. Marineau prend sa retraite en juin 2003. À partir de ce moment-là, il arpente la route des écritures qui le conduira sur des chemins aussi variés que la biographie, le roman, la satire, le théâtre, le conte, la poésie et la chronique. Pour en connaître davantage sur ses écrits, vous pouvez consulter son site personnel au www.henrimarineau.com





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2 commentaires

  • François A. Lachapelle Répondre

    2 juin 2014

    Henri Marineau livre un message exemplaire du rôle entraîneur que joue le site vigile.net pour concrétiser l'engagement des Québécois en faveur de l'avènement du Pays du Québec.
    Puisque le peuple du Québec est composé de personnes traditionnellement pacifiques, fraternels et de bons vivants, il faut être patients. On ne peut pas compter sur un coup de force armé, sur un printemps arabe comme en Tunisie et en Égypte pour chasser les barons du fédéralisme qui trônent au Salon bleu à Québec.
    Nous ferons l'indépendance d'une manière pacifique et démocratique; de là, il faut de la persévérance jusqu'à ce que les jeunes prennent la relève en comptant sur nos efforts actuels.

  • Ouhgo (Hugues) St-Pierre Répondre

    2 juin 2014

    Avez-vous dit: "…une situation qui pourrait paraître inquiétante. "?
    Un peuple qui vient d'élire un vrai gouvernement provincial ouvertement prêt à rentrer dans les rangs d'un pays qui n'a pas manifesté d'intérêt pour nous... Un peuple prêt à payer le prix d'une "confédération" où le bilinguisme nous dit quêteux et B.S.
    Un peuple qui ne se contente pas d'abandonner la lutte des patriotes, mais qui déverse sa haine sur ceux qui persistent... Un peuple qui envoie sa députation au municipal, au provincial, au fédéral, pour se faire insulter par ces parvenus du pouvoir inversé.
    On avait compté sur un Ministère de l'Éducation, dans une Révolution Tranquille. Mais ce fut justement l'étincelle qui enragea l'ennemi: "Ah bon, on les croyait morts, ceux-là!..." Par l'Indirect Rule de l'Empire, on chargea les dignitaires en place de nous rappeler à l'ordre du One Country, One language. Cette Country nous voulut appauvris, à l'éducation minimale, désinformés, ridiculisés par des immigrants canadianisés dès leur arrivée. Normalisés, nous avons appris à détester ce que nous fûmes.
    De l'espoir? Oui, un nouveau président à la Société Saint-Jean-Baptiste, Me Maxime Laporte, 26 ans. aussi coordonnateur du Réseau Cap sur l'indépendance. Oui, Simon-Pierre Savard-Tremblay, 24 ans, dipl sc. écono, sc so, sc. po, président fondateur de "Génération nationale" Oui, tous ces jeunes en incubateur politique, qui apparaîtront bientôt, pour faire mentir ces sondages tronqués qui prétendent qu'il n'y a pas un quart des jeunes intéressés par leur différence intrinsèque!
    Mais tous ceux-là, qui ne visent pas le melting pot nord-américain, il ne faudrait pas attendre une autre génération pour vous manifester!