Le chef du Parti québécois, Pierre Karl Péladeau, bataillera ferme afin de faire reconnaître une victoire à l’arraché du camp du Oui à un éventuel troisième référendum sur l’indépendance du Québec.
Il trouve « inusité, pour ne pas dire davantage », de voir des acteurs politiques exiger « autre chose que “50 % plus un” » avant de reconnaître la naissance d’un nouvel État. En faisant fi du principe de la simple majorité, « ils soustraient à une nation sa capacité de déterminer les modalités de son accession [à l’indépendance] », affirme-t-il au Devoir à la veille du 20e anniversaire du référendum du 30 octobre 1995.
M. Péladeau n’entend pas négocier le cadre d’une nouvelle consultation sur l’indépendance du Québec avec Ottawa. Il offrira néanmoins un bon aperçu des « modalités d’accession à la souveraineté » retenues par le PQ avant les élections générales de 2018, indique-t-il, insistant sur le fait que le ressort de son engagement politique est de « faire du Québec un pays » — et non de diriger une province canadienne.
>Lire la suite de l'article sur Le Devoir
PARTI QUÉBÉCOIS
Laissez un commentaire Votre adresse courriel ne sera pas publiée.
Veuillez vous connecter afin de laisser un commentaire.
Aucun commentaire trouvé