Personne pour défendre les intérêts de la population

L'arnaque su siècle

Tribune libre

Apres une lecture attentive de l'article de Richar Lehir, je suis prêt à reprendre le bâton du pellerin et travailler à la souveraineté du Québec pour éviter que l'on défasse de notre vivant du moins, ce que nous avons , avec René levesque, bâti de peines et de misères.
L'hydro quebec est ce joyau du Québec, qui a été le moteur le plus puissant de notre développement, et tout en nous enrichissant matériellement a permis a des milliers de techniciens et d'ingénieurs dont j'en suis d'acquérir une formidable expertise qu'il nous arrive d'exporter.
Parait-il que c'est le financier Paul Desmarais qui travaille à la privatisation de cette entreprise d'état.
C'est inacepptable, et si nos politiciens nous trahissent comme ce fut le cas dans le passé,il faudra que Raymond Villeneuve et son groupe reprenne du service.
Quand nous avons élu le gouvernemnt Lévesque en 1976, les élus étaient tous , excepté un ou deux, des gens issus de milieux modestes.
Aujourd'hui, plusieurs souveranistes sont devenus riches, habitent des maisons cossues, et mènent des gros trains de vie.
La chef ne représente plus, c'est triste de le dire, la classe qui a toujours été motivée pour lutter pour la souvraineté pour améliorer sa condition.
La princiale faiblesse du PQ, c'est la perte de confiance dans le leadership, parce que nous soupçonnons , que le mari de la chef, tout en recevant sa pension de 80,000.00$ par année, est en collusion avec la haute finance au détriment du peuple.
Dans le dossier de l'hydro, nous craignons que les souverainistes qui prennent le plancher comme Lucien Bouchard qui travaille avec une grosse firme d'avocats, Paulne Marois dont le mari guette les meilleurs occasions pour accroitre leur patrimoine,ne sont pas en mesure de défendre le dossier de l'hydro québec, contre les lâches anciens poliiticiens, anciens fonctionnaires qui sont à la solde de Power Corporation
Les Pauline Marois, Lucien Bouchard et autres ne défendront pas le dossier de l'hydro contre la privatisation, parce eux aussi se seront positionnés pour accrocher un jack pot lors de cet événemement.
Ils feront parti des combinards, ce qui n'aurait pas été le cas pour Revé Lévesque qui ne fréquentait pas les gens de la haute finance excepté pour les raison d'état..
Il ne s'est pas enrichi lors de son pasage au gouvernemnt et on pouvait se fier à lui.

Dites-moi que j'ai tort.


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7 commentaires

  • Marcel Haché Répondre

    1 mars 2010

    M. Lamontagne.
    J’ai écrit quelque part sur Vigile qu’il n’y aurait pas de déficit budgétaire si les fonctionnaires pouvaient sortir de leur obligation de réserve…
    Ce qui m’a fait tiquer de votre texte, c’est l’affirmation que Mme Marois et son mari pourraient être des profiteurs éventuels d’une privatisation d’H.Q.C’est surestimer grandement les capacités financières de ce couple, vous le savez. C’est surtout sous-estimer les forces (gauche et droite) qui n’auraient rien de plus pressé que d’attaquer le couple en question. Mme Marois, (comme jean Charest d’ailleurs), vit dans une maison de verre.
    Concernant Hydro Québec, faut surveiller les rouges. Ce n’est pas très utile ici de taper sur le P.Q. C’est bien votre droit de le faire. Mais franchement, M. Lamontagne, et peut-être serons-nous d’accord : c’est moins d’un bâton du pèlerin dont nous avons le plus URGENT besoin, mais d’un « batte de baseball pour shaker » les rouges.
    Pour le reste, c’est-à-dire la privatisation d’H.Q., nous sommes absolument d’accord. J’en aurais pour preuve un texte que j’ai signé dès le 31 octobre 2009, ici même sur Vigile.
    En toute cordialité

  • Grarlam Répondre

    28 février 2010

    Je veux répondre à monsieur Marcel Haché.
    Je suis d'accord à ce que ce ne soient tous des tous-nus qui réclament la souveraineté . Mais par mon expérience, il y en a eu beaucoup qui ont crié fort pour cette option et qui attendaient juste que le gouvernemnt change pour qu'ils prennent la place des contracteurs libéraux, et ce en 1976.
    C'étaient des vrais hommes d'affaires ,et croyez-moi, ils ont grossi rapidement.Nous n'avons pas tous le flair pour les affaires, et même si je fus surpris et déçu, je n'en fais pas tout un plat.
    Raymond Lévesque en est un souverainiste de la première heure qui comme moi ne savait pas comment la politique fonctionne. Il a déchanté vite.
    Mais dans le cas de l'hydro-québec, il y va de la survie de notre joyau national et ce que je veux dire, c'est que le leadersdhip du PQ,ne démontre pas a mon avis l'apparence d'intégrité qu'on a connu avec un René Levesque
    La pension accordée hâtivement au mari de la chef du PQ alors qu'lle était chef des finances,donc son patron à ce moment-là en a révolté un très grand nombre plus d'un.On a écrit partout que cette situation était le pire manque à l'éthique que l'on a jamas vu dans tous les gouvernement .Une ministre qui négocie avec son mari et qui s'entend pour une pension non statutaire. Quand j'y pense, je suis encore choqué et crois qu,il devait a remettre.Apres tout, il n'est pas si pauvre.
    Il y eu aussi9 lk fling -flang relié au dezonage de terres agricoles acquises de Campeau Corporation par le mari de la chef du PQ , pendant que celle-ci était ministre du gouvernemnt .
    Et ne venez pas me dire que le mari de la ministre n'a pas sondé le terrain au service de la Protectoin des terres agricoles avant de faire un offre d'achat.
    C'est un homme d'affaires, pas un cave et il avait ses entrées
    J'espère que vous n'êtes ps assez naifs pour croire que la chef du PQ allait s'acheter un quota de lait et se mettre à traire les vaches.Elle voyait pas mal plus grand.
    La personne chef du PQ , c'est comme la justice, il faut non seulement qu'elle soit totalement transparente et intégre, mais qu'il y ait aussi apparence de transparence et d'integrité.
    Ce n'est pas le cas dans la situation présente.
    M Haché, je crois que les chefs souverainistes devraient êtres des experts financiers , ils peuvent etre riches comme Pariseau, mais ne pas donner l'impression de faire des magouilles.

  • Archives de Vigile Répondre

    28 février 2010

    En information complémentaire: La vandal-isation de l'Hydro Québec.
    Ou pourquoi le collectif MCN 21 demande le congédiement de Vandal.
    http://mcn21.org/actualites/article/mcn21-exige-le-congediement
    JCPomerleau

  • Archives de Vigile Répondre

    28 février 2010

    Vous avez tort.
    Il n’est plus nécessaire que la cause indépendantiste soit seulement revendiquée par les plus pauvres de la société.
    Votre texte est du bashing. Votre discours a un parti :Québec Solidaire. Vous n'êtes pas loin du libelle

  • Isabelle Poulin Répondre

    28 février 2010

    J'ajouterais qu'il nous appartient à tous de contrer la surenchère des salaires et de penser aux autres. Les transports en commun sont pleins à craquer de gens à 5h et demie du matin qui vont travailler pour un petit pain. Il nous appartient d'être immaginatifs et d'agir ensemble et de nous rapprocher des échelles de salaire humaines. Donnons l'exemple et nous verrons que nous réduirons notre dépendance au chantage qu'apporte cette surenchère. Sans mépriser la richesse, il faut qu'elle soit redistribuée très très largement. Si tous ceux qui peuvent parainer une famille ou un étudiant dans l'intimité le faisait ! Pas pour dire qu'ils veulent être reconnus comme donateur mais pour aider les autres. Il y a des multiples façons d'être un bon samaritain et de partager discrètement. L'honneur se gagne pas toujours sur la place publique. Qui va partir le bal et refuser d'être payé plus que deux fois le petit travailleur ?

  • Archives de Vigile Répondre

    28 février 2010

    La politique de Charest au Québec est de nous rendre si faibles économiquement que nous renoncions une fois pour toute à l'indépendance. Or pas surprenant qu'il essaie avec acharnement de déconstruire tous les acquis économiques de notre nation: caisse de dépôt, Hydro-Québec, etc... Mais dans cette triste histoire, ce qui est le moins surprenant du monde c'est de voir toujours les mêmes vieux rapaces à l'affût de profiter des aubaines de notre démembrement national. Désolant.
    Un réveil national de même type que celui qui précéda la révolution tranquille serait la bienvenue. Mais cette fois-ci que ce réveil n'acouche pas d'une révolution traquille mais de beaucoup mieux: l'indépendance du Québec.
    Jacques L. (Trois-Rivières)

  • Archives de Vigile Répondre

    28 février 2010

    Monsieur Lamontagne
    J'ai bien aimé la lecture de votre texte, c'est la vérité sur toute la ligne que vous exprimez. Les partis politiques menés par des bourgeois près de la finance, près de l'establishment, ça donne les résultats qu'on récolte aujourd'hui. Le PQ Marois n'est plus l'ombre de lui-même avec ce manque de leadership tellement apparent que nous avons l'impression que ce parti regarde passer le train sans s'impliquer véritablement dans les affaires de l'état. Pourtant, ce ne sont pas les problèmes qui manquent au Québec, présentement. Au sujet de la présumée vente d'Énergie Nouveau-Brunswick à l'Hydro-Québec, comment se fait-il que nous n'entendons pas le point de vue de monsieur Parizeau et de monsieur Landry sur ce sujet? Ce sont pourtant deux économistes et avec tous les contacts qu'ils possèdent auprès de la finance, ils pourraient sûrement nous éclairer sur cette affaire qui nous semble ténébreuse. Je trouve ça étrange!
    Une chose est certaine, c'est que si cette vente se concrétise, l'Hydro-Québec tombe dans les griffes du gouvernement fédéral qui n'en demanderait pas mieux pour nous affaiblir économiquement. Si c'était le cas, imaginez-vous maintenant si nous perdions notre autre levier économique qu'est la Caisse de Dépôt, ce serait la fin du rêve de l'indépendance du Québec. Ajouter à cela, le problème de la langue française qui fout le camp et tous les scandales et la corruption à retardement qui minent nos fiances publiques, c'est un cocktail assez explosif que nous avons dans les mains. Comme vous, parfois, je me demande si Raymond Villeneuve ne devrait pas reprendre du service. Il m'a fait plaisir d'échanger avec vous.
    André Gignac le 28/2/10