RAPPEL - Arrêtez le massacre !

Pauline Marois a réussi le tour de force de faire bien paraître Jean Charest !

Il est urgent pour leur propre salut que les députés du PQ se ressaisissent

Chronique de Richard Le Hir


Avec chaque jour qui passe, Pauline Marois et son PQ s’enfoncent. Et l’on en vient à se demander si elle n’est pas masochiste, ou si elle ne cherche pas plutôt à torpiller pour de bon la cause indépendantiste. Aujourd’hui encore, au lendemain d’un caucus qui devait « stopper l’hémorragie », panser les plaies et permettre de relancer son leadership, on apprend que d’autres défections sont à l’horizon, et un sondage CROP-La Presse vient enfoncer le clou de façon définitive.
Et certains députés qui ont pris hier le risque de parler pour assurer que tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes se sont bien naïvement imaginés qu’ils avaient le contrôle de la situation, alors que le sondage de ce matin vient démontrer exactement le contraire, malgré toutes les réserves que peut inspirer un sondage Crop-La Presse.
Pour sa part, si Pauline Marois ne comprend pas maintenant qu’elle n’a plus d’autre choix que de partir, et vite à part ça, elle ne comprendra jamais. Et les députés du PQ qui lui sont restés fidèles subiront le même sort que leurs collègues du Bloc à la prochaine élection s’ils ne comprennent pas que leur stratégie de repositionnement du PQ vers le centre de l’échiquier politique les condamne à se faire évincer sur tous les fronts.
Combien de fois faut-il le répéter ? Le PQ ne peut pas être autre chose qu’indépendantiste et social-démocrate, quitte à rester dans l’Opposition.
L’agonie de Pauline était prévisible, et je l’ai pour ma part annoncée dès l’automne dernier, ici-même sur Vigile : http://www.vigile.net/Pauline-et-son-epiphenomene ; http://www.vigile.net/Marois-stagne-et-Charest-prend-la ; http://www.vigile.net/Et-de-trois . Évidemment, ça n’a pas plu à tout le monde, et je me suis fait taxer de tous les noms, tant la critique est perçue comme mal séante par certains. J’ai choisi de répondre par l’humour http://www.vigile.net/Tout-va-tres-bien-Mme-la-Marquise .
Mais maintenant, le temps d’en rire est passé, et il faut se rendre à l’évidence : Pauline Marois a réussi le tour de force de faire bien paraître Jean Charest ! Fallait l’faire ! Charest qui avait atteint des profondeurs d’impopularité jamais atteintes !
Devant l’absence totale de flair politique de la troupe qui la suit, on ne peut qu’être consterné. Faut-il être déconnecté de la situation ! Manifestement, nous sommes en face d’un cas du « syndrome de la bulle » que j’ai déjà décrit ailleurs. Il est urgent pour leur propre salut que les députés du PQ se ressaisissent et comprennent que le ronron quotidien de la vie parlementaire n’a rien avoir avec la réalité, et qu’en aucune circonstance n’ont-ils le luxe de se permettre la moindre complaisance.
Ils sont élus pour être des leaders, pas des suiveux. Et le comportement qu’ils ont eu depuis le début de cette crise les fait très mal paraître à côté des Aussant, Beaudouin, Curzi et Lapointe. S’ils s’imaginent avoir tout l’été pour redresser la situation, elle va se redresser sans eux, à leur détriment. Ils sont en mode « sauve-qui-peut » s’ils ne le savent pas déjà, et ils seront de toute façon bien chanceux s’ils parviennent à circonscrire les dégâts que leur absence de flair leur a déjà infligés.


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25 commentaires

  • Gilberte Boucher Répondre

    25 juin 2012

    C'est quoi cette démocratie? le pq est-il un parti démocratique? En effet, au pq comme dans trop de partis, est-ce seulement, le ou la cheuf qui fait le parti? je trouve cela anormal... Ici sur vigile , on parle souvent.. du pq comme du PQ de lévesque, du PQ johnson, du PQ Parizeau, du PQ bouchard, du PQ Landry.... du PQ marois.... comme si le parti devenait complètement autre chose selon le ou la cheuf... cela n'a tout simplement pas de bon sens... un parti démocratique doit être à l'image de sa base et non d'une seule personne... Et vous appelez cela de la démocratie??
    je ne suis pas politicologue,mes études ne sont pas en administration ni en droit ... Je suis une citoyenne qui essaye de comprendre, de s'informer, mais surtout, de se servir de son gros bon sens... Une citoyenne qui questionne, qui SE questionne, mais, qui n'obtient pas souvent de réponse satisfaisante...
    Dans un panier de pommes, si vous trouvez une pomme pourrie,(pq 80) vous l'enlevez, (mais il faut l'identifier), et le problème serait réglé, mais si votre panier lui-même est contaminé? (pq 2012) alors vous vérifiez s'il y a encore quelques fruits sains et vous jetez tout ce qui ne l'est pas... Mais alors, il faut rester vigilant car, des quelques fruits retirés(PQ 2011), il se pourrait bien que quelques uns d'entre eux soient corrompus de l'intérieur malgré l'air sain...Et malgré qu'ils peuvent se retrouver dans un nouveau panier qui semble tout neuf...

  • Archives de Vigile Répondre

    24 juin 2012

    Mon Dieu pitié, pas un autre référendum.
    Si on le perdait celui-là aussi, on ferait quoi, à part avoir l'air fous?
    J'aime l'approche de Aussant qui est aussi celle du Parti indépendantiste: priorité adoption d'une Constitution québécoise, et déclaration d'indépendance par l'Assemblée nationale (par les élus).
    Comment se fait-il qu'aucune Constitution québécoise n'ait encore été adoptée par l'Assemblée nationale?

  • Yves Rancourt Répondre

    23 juin 2012

    Comme on peut le constater ici, le PQ et sa chef ne l'ont pas et ne l'auront pas facile: non seulement ils ont l'oligarchie sur le dos ( avec ses médias fédéralistes, les milieux d'affaires, de l'argent à profusion, et des stratégies comme la création de la CAQ pour diviser le vote nationaliste, etc) mais il sont aussi à composer avec certains des éléments les plus influents du mouvement indépendantiste qui critiquent la moindre de ses erreurs ou omissions, et ce même à quelques semaines des élections. Alors que l'ennemi fourbit ses armes( je pense ici entre autres à ces rencontres Harper-Mulroney puis Harper-Charest pour sans doute se concerter sur les moyens à prendre pour éviter que le PQ prenne le pouvoir), le clan souverainiste n'en finit plus de se déchirer.
    Je ne suis pas un membre du PQ ni un fan de Pauline Marois et suis aussi capable de reconnaître leurs erreurs, mais je sais que la seule voie qui s'offre à nous pour nous débarrasser du PLQ et nous redonner espoir de nous donner un pays dans un horizon raisonnable est de donner notre appui au PQ et aux dizaines de milliers de nos frères et sœurs souverainistes membres de ce parti qui, selon un dernier Léger, voteraient demain à 90 pour cent pour la souveraineté s'il y avait un référendum. Alors, en ce qui me concerne, je respecterai le choix des autres mais le mien est fait: je voterai avec mes frères et sœurs souverainistes du PQ.
    Bonne fête nationale à vous toutes et tous.

  • Claude G. Thompson Répondre

    22 juin 2012

    M. Le Hir.
    Vous écriviez le 23 juin 2011 […Ils sont élus pour être des leaders, pas des suiveux. Et le comportement qu’ils ont eu depuis le début de cette crise les fait très mal paraître à côté des Aussant, Beaudouin, Curzi et Lapointe. S’ils s’imaginent avoir tout l’été pour redresser la situation, elle va se redresser sans eux, à leur détriment. Ils sont en mode « sauve-qui-peut » s’ils ne le savent pas déjà, et ils seront de toute façon bien chanceux s’ils parviennent à circonscrire les dégâts que leur absence de flair leur a déjà infligés…]”
    Qui eut cru qu’il y avait là quelque chose de prophétique?!
    Les prises de position des derniers jours du PQ et de Mme Marois suite au témoignage de M. Duchesneau sont des plus révélatrices à cet égard. Ce qui me navre le plus, c’est le manque de flair politique et l’apparence plus que douteuse de la crainte de voir certaines choses être révélées sans qu’on ait pu avoir le temps d’en circonscrire le contenu exact pour mieux en contrôler les éventuelles retombées.
    Rien n’est clair dans l’attitude de Mme Marois, ni dans ses affirmations, ni dans ses décisions, ni dans ses prises de position. Être péquiste, je ne serais pas rassuré. En tant que citoyen, je suis déçu de voir le plus ancien parti indépendantiste, celui dont nous avons tant attendu, celui auquel nous avons donné notre confiance pendant plus de quarante ans, celui qui devrait être le point le ralliement de tous les indépendantistes en ces heures sombres, se comporter comme les libéraux, le plus insipide et le plus injurieux des adversaires de notre nation, et tâcher de sauver la face alors que rien n’est joué et que de simples affirmations relatives à un rapport sur la corruption dans le financement des partis politiques dont la commission Charbonneau prendra connaissance afin d’en déterminer le bien-fondé n’ont même pas encore été l’objet d’une étude approfondie par les commissaires de ladite commission.
    D'aucuns me diront que le PQ a cessé d’être indépendantiste depuis longtemps. Là n’est pas la question. L’essentiel est la raison d’être de son existence et s’il s’avérait qu’effectivement des intérêts ploutocratiques l’ont noyauté, la preuve devrait en être faite irrévocablement. Pour l’heure, je préfère exercer mon droit d’opinion et d’adhésion envers Option Nationale, un parti qui ne joue pas sur les mots et dont le chef fait montre de respect et d’écoute auprès de ses membres et de tous ceux qui désirent sincèrement et activement comprendre le pourquoi et le comment de notre émancipation nationale.
    Merci pour le travail titanesque que vous avez accompli depuis deux ans. J’ai une très bonne idée des efforts et de la patience dont vous avez dû faire montre, ayant moi-même publié quelques ouvrages touchant des domaines forts éloignés de ceux que vous avez explorés, mais qui m’ont demandé des heures et des heures de recherches et de fouilles laborieuses.
    Claude G. Thompson

  • Stéphane Sauvé Répondre

    22 juin 2012

    @ André Vincent,
    Oui pour Charest aux prochaines élections ! Minoritaire, on s'entend.
    ...pour qu'il démissionne une fois élue, et pour que Marois tire sa révérence.
    Course à la chefferie au PQ, avec Aussant au commande , on rallie Amir, on s'allie Roméo Bouchard, on fait reprendre du service à Le Hir et on trouve des femmes de tête et de coeur avec du courage à revendre et on se lance dans l'aventure.
    C'est le meilleur des scénarios.
    PQ majoritaire ? Nop... Monsieur Lachapelle a bien raison. Madame Marois donne toutes les impressions d'avoir un patron. Son époux ? Possible. Et qui est le patron de C. Blanchet ?
    Les carriéristes ont fait leur temps au PQ. Le PQ est mort...vive...

  • Jean-Pierre Bouchard Répondre

    22 juin 2012

    S'il est vrai que le PQ a moins reçu d'argent des entreprises par les prêtes noms que le PLQ. Que le -70% des partis (sans distinction de Duchesneau) se finance par de l'argent sale- mérite nuance.
    Il est vrai que le sens de l'orientation politique de P.Marois est déficient, qu'elle est toute aussi charismatique qu'une planche à repasser, qu'elle a tout d'un chef politique qui a besoin de son équipe de députés pour paraître mieux. Le mandat donné à l'avocate du PQ de cibler Duchesneau comme une avocate libérale pourtant homme populaire relève d'une bêtise inqualifiable!
    Sans oublier que Marois ne domine pas le parlementarisme de sa personne politique, elle laisse le parlementarisme, la bulle politique du parlementarisme dominer ses perceptions pour créer le gâchis de 2011 et sa dernière gaffe là tout en se faisant insulter souvent à l'assemblée par Charest.
    Ce que demande M.Lehir à ce stade est radical, le départ de mme Marois à un mois d'un déclenchement électoral.
    La notion d'Équipe Marois n'est pas miraculeuse donne tout de même une des fenêtres à ouvrir avec une chef sans grand relief et perspicacité.
    Tout peut arriver dans cette élection. Les Québécois voudront peut être répéter mai 2011 en faisant gagner les libéraux par défaut en voulant plébisciter par exemple la CAQ à la fois contre le PLQ et contre le PQ qui lui se retrouverait avec 5 sièges au parlement. Même QS peut rêver partiellement à un meilleur sort au rythme des gaffes ou maladresses de Mme Marois. Sans oublier que la machine du NPD en croissance au Québec pourrait donner un coup de main à QS que ce soit à 15% ou 25% ou plus. Qui aurait penser en 2011 que le NPD passerait d'un siège au Québec à 59!
    Bref, la direction péquiste actuelle n'a pas médité mai 2011. Tout est possible pour la prochaine élection! Pas seulement un incertain gouvernement péquiste probablement au mieux minoritaire et impuissant. QS pourrait franchir selon la conjoncture comme le NPD précédemment une croissance électorale surprise devant le fiasco électoral possible et de F.Legault et de P.Marois en même temps si advenant.
    La prochaine élection sera celle de la volatilité et de l'infidélité électorale et ce n'est pas une bonne nouvelle pour le PQ de P.Marois. Un parti péquiste qui a balancé entre 20% et 33% des voix depuis un an, indicateur s'il en est de la fragilité de l'opposition officielle actuelle qui fait face à deux rivaux dans l'électorat francophone, deux rivaux qui pourraient prendre la place du PQ: la CAQ et QS sans omettre Option Nationale qui en est à des balbutiements pour la prochaine élection.
    Le rapport au carré rouge depuis mars sans avoir pesé le pour et le contre de cette identification très étroite du PQ aux étudiants, la réaction hyper agressive de l'avocate péquiste devant les généralités de M.Duchesneau sur les partis et l'argent sale.
    De quoi donner des sondages heureux à La Presse.

  • Archives de Vigile Répondre

    22 juin 2012

    La population québécoise doit se rendre compte des désastres causés par Jean Charest et les Libéraux. Les dernières élections partielles m’ont laissé un goût amer dans la gorge. La population doit prendre conscience aussi que Pauline Marois avec ses Péquistes « suiveux » ne passent pas non plus, dans le sens qu’elle n’a pas capitalisé face aux déboires libéraux. Elle devrait être en haut du palmarès des votes dans les sondages. Que reste-t-il? Québec solidaire avec Amir Khadir et ses revendications et arrestations? Les gens n’ont pas confiance et ont peur! Son programme n’est pas mauvais en soi, mais… Il ne reste qu’Option nationale avec Jean-Martin Aussant et son programme clair et précis, avec le LIT (nos lois, nos impôts et nos traités). Voilà l’alternative qui nous reste. L’électorat québécois est-il prêt à des changements impliquant autonomie, fierté, loyauté et détermination? Les prochaines élections nous le diront.

  • Archives de Vigile Répondre

    22 juin 2012

    Quand même, nous sommes en 2012, le22 juin 20012, messieurs Frappier / Le Hir, à quelques heures des élections, ou un peu plus. Et vous êtes toujours là, à vous acharner, à vouloir à tout prix que Charest reprenne le pouvoir pour un autre mandat.
    C'est à se demander si ce site est encore indépendantiste !
    Quelle tristesse !
    André Vincent

  • Archives de Vigile Répondre

    22 juin 2012

    Pauline Marois fait exactement ce que le clan Desmarais lui dit de faire.Elle est là pour retarder le plus possible la souveraineté du Québec.Elle et Bouchard sont les 2 plus grands traitres et hypocrites qui ont le plus endormis et nuis aux québécois.Elle se fout de se faire battre aux élections,son mandat aura été rempli et Paul sera bien fier d'elle.

  • Archives de Vigile Répondre

    26 juin 2011

    ''Avec chaque jour qui passe, Pauline Marois et son PQ s’enfoncent.''
    Non! S'enfoncent par nos divisions. La faute au PQ? La faute à Pauline? La faute à personne, la faute à tout le monde.
    On perd du monde par les deux bouts, ceux qui veulent ralentir, sinon arrêter la marche, et ceux qui veulent courir vite.
    La démarche en place était pourtant une position commune et majoritaire chez ceux qui veulent un pays. Une position centriste sur l'échiquier radical-modéré, donc de matière à ce que les troupes restent soudées.
    J'écrivais ceci au début de la crise, plusieurs textes d'opinion depuis font que je peux le maintenir et le soutenir:
    9 Juin 2011, sur Vigile.net: On tue le PQ avec une surproduction d’attaques venant de ses principaux adhérants...en principe. Le monde regarde ça aller et va se tourner ailleurs si une masse critique d’indépendantistes dit que le parti ne vaut rien. S’en suivra une désaffection de l’électorat qui sera suivi d’autres attaques. Et à la fin, les attaquants diront qu’ils ont et qu’ils avaient eu tout vrai.

  • Marcel Haché Répondre

    25 juin 2011

    Le déni, ça consiste à brasser et re-brasser la vieille incantation selon laquelle 40-45 et peut-être même 50 % de l’électorat serait en faveur de la souveraineté. Que si on tient compte du seul électorat francophone, nous serions 60 et sans doute, allez, allez, 70% de souverainistes parmi l’électorat, et qu’à la moindre crise fédérale-provinciale—ah une bonne crise--, notre score pourrait bien monter, allez, allez encore, à 90 %. Si le mauvais P.Q. de la méchante Mme Marois pouvait comprendre maintenant qu’une bonne pédagogie pourrait même nous faire gagner les 10% qui manquent, nous serions prêts, que dis-je, nous sommes prêts à déclarer l’indépendance demain matin.
    Allez, bonne nuit. Dormez bien.

  • Archives de Vigile Répondre

    25 juin 2011

    Le Parti Québécois s'est enferré dans le piège mortel de l'étapisme .
    L'étapisme qui disait élisez nous d'abord pour gouverner ce qui as été récupérer par les fédéralistes de Trudeau qui ont aussitot clamer que le parti Québécois avait strictement élu non pas pour faire la séparation mais pour ètre un bon gouvernement .
    Pour les fédéraliste etre un bon gouvernement signifie administrer le Québec dans le giron des limites stricte de la constitution du Canada et de ne meme pas chercher a mettre en oeuvre l'autre volet de sa raison d'etre qui est de faire la souveraineté du Québec
    Le parti québécois as été victime du piège de l'étapisme qui as été transformé ensuite par les fédéralistes de Trudeau en celui de l'élection d'un bon gouvernement.

    Puis pour eux un bon gouvernement c'était un parti Québécois provincial qui administre le Québec comme une province et non un pays.
    Le parti québécois s'est litéralement enfermer dans ce role du bon gouvernement affubler par ses adversaires fédéralistes qui ont tout de suite saisie les limites d'un bon gouvernement pour une formation comme le parti québécois qui proposait plus que l'alternance perpétuel entre deux partis fédéralistes.
    A partir du moment ou un parti politique forme un gouvernement il ne peut satisfaire tout les groupes de la sociétée et petit a petit il devient de plus en plus contesté au sein de la population avec les années qui passe.
    Nos adversaires fédéralistes qui refusaient d'identifier le parti québécois a sa mission de faire l'indépendance ,ne se contentant que de l'identifier comme ayant été élu que pour etre un bon gouvernement n'avait qu'as laisser le temps et la lassitude faire son oeuvre.
    Faire son oeuvre veut aussi dire être l'alternance le moment venu et ne pas rechercher le pouvoir pour le pouvoir en ayant ensuite les 2 mains attachés dans le dos pour l'exercer.
    Vous dites :
    Combien de fois faut-il le répéter ? Le PQ ne peut pas être autre chose qu’indépendantiste et social-démocrate, quitte à rester dans l’Opposition.
    Il faut le dire et le répéter jusqu'as ce que les dirigeants actuels du PQ l'ai compris.

  • Archives de Vigile Répondre

    24 juin 2011

    Comme le précise M. Bataille, la souveraineté est encore populaire chez nous. Ce qui ne l'est plus ce sont la manière de s'y prendre du PQ qui oublie son option première et l'inutilité d'un BQ qui ne fait plus avancer la cause à Ottawa simplement parce qu'il n'y a plus de cause. Les sondages le disent et le plus clair fut celui du 2 mai lorsque la position du BQ fut jugée futile alors même qu'il recevait l'appui de Mme Marois, une non-indépendantiste, et de son parti d'indécis et d'opportunistes. N'était-ce pas un autre exemple du génie du Québec : capable de dire non aux options chétives du PQ tout en disant non au reste du Canada.
    Chez nous, au Québec, l'option souverainiste est toujours très vivante. Ailleurs? je n'en sais rien. Cette option compromise, que dis-je, galvaudée par la classe politique. Eux préfèrent leur programme à celui de la population. Ils ne savent pas déchiffrer le message pourtant clair qui leur est envoyé : "Parlez-nous de nous! Pas d'économie (que vous ne contrôlez en aucune façon) ni de péréquation. Pas de gaz de schiste ni de pétrole, que nous parviendrons à contrôler si nous le voulons. Non! Parlez nous de notre pays, de notre langue, de notre culture. Le reste se fera tout seul."
    La question n'est pas de gagner des voix dans Québec. Elle n'est pas de prendre le pouvoir et de bien gouverner. Elle n'est pas de savoir si ou quand aura lieu le prochain référendumb (sic). Elle est et restera de fonder un pays sur le territoire que l'on habite, de constituer une nation qui se connaît déjà et connaît sa culture et de reprendre et protéger ce qui nous appartient : les lacs et les rivières, "l'énergie qui s'empile" et qu'on pille, "des territoires coulés dans nos veines" pour enfin pouvoir "se marier avec l'hiver".
    Dieu! l'avons-nous assez dit!

  • Archives de Vigile Répondre

    24 juin 2011

    J'en ai marre d'entendre que la souveraineté "ne pogne pas". Dans les derniers sondages, la souveraineté était à 45% avec la question dure. Malgré les insignifiants comme Duhaime qui répètent Ad Noseam que ça n'intéresse plus personne, la souveraineté à 45% est pas mal plus populaire que le PQ. Alors changez de disque SVP.

  • Stéphane Russell Répondre

    23 juin 2011

    Tout le monde perd de vue l'essentiel, qui est l'indépendance. On s'en fou qu'elle soit faite par la droite ou la gauche. L'économie n'est qu'un instrument après tout, mais on en fait une religion.
    À cause de l'opportunisme de la gauche, le débat s'est déplacé et je surprend de plus en plus de souverainistes prêt à sacrifier l'indépendance et le Québec pour avoir une chance de planter la droite. Et si les électeurs votent pour ou contre l'indépendance en fonction du fais que la cheffe pogne ou pogne pas, ça dénote un inquiétant problème de discernement.

    Mais le système oligarchique est ainsi fait. On abruti la population pour la convaincre que son confort et ses petits bonheur sont son bien le plus précieux. "Ce que veut le peuple, c'est du pain et des jeux" disait l'empereur Claude, si je me souviens. Qu'il deviens facile alors de nous manipuler comme du bétail!
    Pour ma part, je ne suis pas d'accord avec le programme du PQ, mais je suis prêt à leur donner leur chance. Il y a ceux qui prennent des initiatives et se trompent parfois, et il y a les spectateurs qui huent.
    Ceci dit, bonne St-Jean à tous.

  • Archives de Vigile Répondre

    23 juin 2011

    Le succès de Legault lui vient de ce qu’il dit : c’est la souveraineté qui pogne pas.
    Il ne passe pas son temps à rodoter que c’est Marois qui pogne pas.(Marcel Haché)

    Pourquoi diable le futur chef du parti CAQ encouragerait le PQ à changer sa chefe qui pogne pas ?
    Devant de tels raisonnements bancals de péquistes on ne s'étonne plus de leur débâcle actuelle.

  • Archives de Vigile Répondre

    23 juin 2011

    Et les démissionnaires auront donné raison à Jean Charest contre madame Marois.

  • Archives de Vigile Répondre

    23 juin 2011

    Lorsque j'entends Bernard Drainville dire que le PQ doit tenir un référendum dès son premier mandat, mon dieu que pour moi c'est déconnecté.
    C'est comme ne pas réaliser les dégats que le PLQ a fait depuis huit ans auprès de milliers d'entre nous.
    C'est comme penser que nous sommes en 95 et que hoops,ce coup-ci çà va marcher sans tenir compte des nouveaux quota d'immigrants qui ont prêté serment d'allégeance au Canada même en débarquant au Québec.
    C'est comme oublier le projet de loi 103(devenue 115)de la ministre St-Pierre qui permet de s'acheter le droit de faire de sa descendance une nation anglophone en territoire québécois.
    C'est comme oublier l'absence d'intérêt du PLQ pendant huit ans au sujet de la défense de la loi 101 pour ainsi séduire l'électorat anglophone et allophone qui ne jurent que par l'anglais au Québec.
    C'est comme oublier les ravages prolongés de l'absence d'encouragement à être fier d’être des québécois francophones d'Amérique du Nord ayant su passer à travers les siècles d'un océan anglophone prêt à nous engloutir pour de bon.
    Bref M. Drainville vous ne devriez même pas parler de référendum maintenant car nous avons été blessés dans notre identité sous ce gouvernement de corrompus qu'est le PLQ. Vous devriez plutôt comprendre par compassion ce qui nous arrive en notre âme et en notre coeur avant de brandir un mot qui présentement est plus un épouvantaille qu'un signe de ralliement.Il faut agir en réparant les pôts cassés sciemment brisés par le PLQ et enfin trouver le moyen de refaire vibrer le Québec à nouveau avec des arguments vérifiables pour qu'il y trouve son intérêt à devenir une nation indépendante affranchit de ce pays-guerrier et pollueur qu'est devenu le Canada,copie-conforme des E.U.
    Est-cela que veut devenir le Québec?
    Après,et seulement après,vous pourrez poser votre question,mais pas avant.Mais çà peut prendre des années avant de guérir,oui,j'ai bien dit guérir.
    Dans le désert actuel des huit ans fabriqué par le PLQ,
    de grâce M.Drainville,ouvrez-vous les yeux et pensez à nous apporter à boire d'abord.Sinon ce sera un schéma de l'esprit sans empathie,cette espèce de froideur que sentent les gens en présence de madame Marois.Parlez-nous.
    Rejoignez- nous dans notre coeur et dans nôtre âme.
    La Vie vous répondra ensuite.

  • Archives de Vigile Répondre

    23 juin 2011

    Et dans une société-spectacle où les politiciens professionnels sont des "vedettes" médiatiques, cela ne pardonne pas.
    Malheureusement on en est rendu a ce niveau.
    Regardons le cas Jack Layton.
    Quel spectacle vide .
    Prenons une des phrases clé qu'il as répété tout au long de la campagne électorale avec le sourire.
    Moi, Jack Layton je vous offre a vous les québécois.
    Les Québécois ont eu comme l'impression de se faire offrir personnellement quelque chose par ce genre de boniment de vendeur astucieux .
    Mais ne leur demandez pas quoi ,ils ne pourrait vous dire quoi exactement .
    En fait ce qu'il se sont fait offrir en réalité c'est la défaite du bloc qui était le seul parti qui défendait sans compromis l'intéret du Québec a Ottawa.
    Ils ne savent tellement pas quoi que dabs certain contés qu'ils se sont jetter les deux yeux complètement fermés dans les bras de la première candidate unilingue anglophonne venue de l'Ontario qui s'est présenter a eux en espérant savoir quoi au juste le bon Jack avait tant a leur offrir .
    A moins que ce soit déja l'effet assimilatoire du temps qui commence faire son oeuvre.
    L'image et la perception est plus importante que le fond chez beaucoup d'électeurs.
    Malheureusement l'image de Pauline Marois ne passe pas .
    Il y as eu une tres longue campagne négative médiatique faite sur elle durant des années et sur son image par les médias fédéralistes .
    Les médias fédéralistes ont eu beaucoup de temps pour la discréditer contairement a Lucien Bouchard qui n'as pas trainer dans l'opposition .

    Tout y as passé dans son cas sur les blog de Gesca alimenté quotidiennement par des matantes de l'Adq qui se disaient épouventablement scandalisé par sa toilette silencieuse de 400,000 piasses et des fédéralistes pervers qui viennent radotés sous le couvert de l'anonymat de soit disant simples citoyens indignés qu'elle est hautaine ,qu'elle as une grosse maison et qu'elle porte du beau linge ce qui laisse entendre qu'elle est loin des préocupations du petit peuple.
    Me semble que quand tu est un fédéraliste avec tout ces milliards en impot que tu arrache aux Québécois pour servir les chiottes et les priorités du roc, que tu doit pas être tellement scandalisé.
    C'est certain que si on voyait dans les médias madame Marois s'habiller chez Croteau ou se farcir deux roteux en souriant a la belle province ou faire filmer comme Jack en train de boire deux draft dans une brasserie qu'elle serait percu comme une personne qui ressemble au peuple.
    Mais soyez certain que les médias fédéralistes de Gesca ,Péladeau Rdi trouverait le moyen d'écrire que ça fait cheap son affaire .
    Les médias fédéralistes qui controlent sans partage l'information n'en aurons toujours que du bien a dire pour un fédéraliste et que de la moquerie pour un indépendantiste dans les mêmes circonstance car leur information n'est basé que sur l'image positive qu'ils veulent produire a tout prix aupres de la masse dans le cas d'un chef fédéraliste et négatives dans le cas d'un indépendantiste.
    Jetter un coup d'oeuil pour vous en convaincre sur le blog poubelles de Boisvert de Gesca.
    C'est assez évident qu'avec son blog de fédéraliste poubelle que Boisvert aspire a etre reconu par Gesca comme un petit jaune fédéraliste et gagner du galon dans l'organisation de la grosse presse fédéraliste.
    Malheureusement pour lui ,apres avoir connu son heure de gloire il vas finir comme Lysiane Gagnon avec aucun lectorat digne de ce nom a part les quelque fidèles de sa chapelle de colonisés fédéralistes radicaux et fanatiques.

    Ici au Québec on aime s'identifier a des gens comme Bourassa qui couchait dans des motels pour sauver de l'argent ,qui mangent dans la vaissaille de carton avec leur invités de marque et qui comme Lucien Bouchard ont refusé de loger a la résidence officielle du chef de l'opposition a Stornoway .
    Mais les fédéralistes qui colportent ce discours de l'effacement pour les représentants du peuple québécois ne pensent pas comme cela quand il s'agit de bien représenter par des symboles leur option et ceux qu'ils représentent.On ne lésine pas et on ne regarde pas a la dépense et au prestige quand il s'agit de représenter le peuple canadien .Il n'y as pas de prix assez haut dans leur cas car le peuple canadien méritent d'etre représenter dignement.
    L'image que les médias fédéralistes en font en est une de prestige et non de gens loin du peuple

    Ce misérabilisme du colonisé ..les fédéraliste s'en font les propgandistes sur toute les tribunes ,des blogs poubelles de Gesca et des médias fédéralistes en utilsant les petits colonisés qui ont épousés leur cause , leur vues et qui se charge de les retransmettrent fidèlement .
    On as eu la résidence de fonction de 400,000 dollards de Parizeau qui as été ériger en scandale et alimenter par la petite presse de journaleux ultra cheap et les petits médias fédéralistes qui ont raclés le fond des caniveaux dans cette affaire qu'ils ont appeller l'élysette.C'était épouventable de dépenser cela pour une résidence de fonction pour le pm du Québec .
    La radio poubelle as fait son beurre la dessus comme c'est pas possible
    Une demeure de fonction pour le premier ministre du Québec qui aujourd'hui vaudrait probablement quelque millions avec la monté de l'immobilier.Dans la vie il y as voir petit et voir tres petit .Mais dans ce cas c'était voir tres petit .
    C'est affaire as entre autre démontré le misérabilisme du colonisé québécois qui en bon fédéraliste accepte sans rechigner ,sans se poser de question, approuve et trouve normal de payer les visites royales, de payer les résidences des pm canadiens et des chefs d'opposition a Ottawa a même nos impots envoyé a Ottawa pour des résidences officielles a Ottawa mais qui trouve honteux,disgracieux et scandaleux une seule petite résidence de fonction pour le premier ministe du Québec qui représente le peuple québécois dans ses fontions officiels.
    Cette mentalité est véhiculer par la presse et les médias fédéralistes qui entretiennent ce comportement lilipucien et miteux chez les québécois a chaque occasion qui se présente pour eux .
    Pour être apprécier il faut faire comme Bouchard as fait :refuser la visibilité,se cacher ,disparaitre et refuser ce qui lui revenait de droit c'est a dire habiter Stornoway et la visibiliter que cela impliquait pour un chef indépendantiste a Ottawa ,ou mieux encore faire comme Bourassa :s'exposer a la caméra des journalistes devant deux hot dog sur un plateau et les moqueries de Trudeau qui ont suivis sur ti-pit le mangeux de hot dog .
    Regardez avec quel basse démaguogie les médias ont attaqué longtemps Pauline Marois en parlant de sa toilette silencieuse qu'elle avait fait instaler pour 400,000 piastres .
    Des intervenants fédéralistes en parlent encore aujourd'hui sur les bolgs de Gilbert Lavoie chez Gesca aussitot qu'il est question de Pauline Marois a la différence que les comères fédéraliste qui se font passés mensongèerement encore pour de simple citoyen indigné parle de 160,000 au lieu de 400,000 dollards .
    Mais entre temps ces salisseurs et ces démaguoques fédéralistes ont eu toute grande ouverte les portes de la presse fédéraliste pour mentir la dessus et lui faire le plus de tord possible avec cette histoire qui as été exagéré a l'extrême dans le seul et unique but de créé la perception et l'image que Pauline Marois était une égoiste dépensière sans coeur qui n'avait pas a coeur les intérets du petit peuple
    En fait créé un image malsaine de Pauline Marois.

    Toujours des attaques des fédéralistes non sur le fond des idées mais pour la fabrication d'une perception dans l'opinion publique.
    Finalement l'image que le politicien québécois doit rechercher pour être populaire est assez simple et c'est celle qui doit tourner autour de l'image a succès du vendeur de char usagé qui as soit disant quelque chose a vous offrir de neuf et qui est personnifier par les temps qui courrent par Jack Layton.
    Le contenu n'as pas tellement d'importance auprès d'une large partie de l'électorat québécois .
    La perception véhiculée par les médias fédéralistes qui les alimentent chaque jour en informations biaisés et partisanes est plus importante pour eux que le fond .

    Entre être et paraitre,le québécois choisit habituellement contrairement au roc le paraitre plutot que d'être et d'exister comme peuple .

  • Archives de Vigile Répondre

    23 juin 2011

    C'est vrai les sondages de "La Presse" peuvent être pris avec des pincettes mais nous avions entendu ou lu les mêmes remarques avant le 2 Mai 2011 avec les résultats que l'on sait maintenant....dans le contexte actuel, un balayage électoral du Québec par Francois Legault n'est pas improbable.
    Nous vivons que nous l'aimions ou pas dans la société du spectacle (relisez Guy Debord et les situationistes...) et que nous soyons d'accord ou pas Pauline Marois ne plaît pas à l'électorat, son empressement à vouloir devenir premier ministre a tout prix transpire en permanence...
    Reste à savoir si l'on préfère perdre dans l'honneur...fidèle à ses idées...ou gérer au quotidien une province.
    Je ne vois pas, s'il veut retrouver un semblant de crédibilité, comment le PQ pourra maintenant écarter de son programme électoral l'obligation de tenir une consultation populaire pendant un premier mandat, une option ou obligation, qui n'est pas la tasse de thé de notre Pauline...cela sera t-il suffisant ou n'est-il pas déjà trop tard ?

  • Marcel Haché Répondre

    23 juin 2011

    Le succès de Legault lui vient de ce qu'il dit: c'est la souveraineté qui pogne pas.
    Il ne passe pas son temps à rodoter que c'est Marois qui pogne pas.

  • Archives de Vigile Répondre

    23 juin 2011

    On ne veut vraiment pas comprendre que c'est justement parce que le PQ est au centre de l'échiquier politique qu'il s'écroule.
    La gauche et la droite se polarise chacun de leur coté et lorsqu'il y a polarisation du vote, le centre ne canalise plus le vote, il s'isole.
    C'est les centristes qui sont en train de tuer le PQ et ils vont finir seul, sans la gauche, ni la droite.
    Maintenant, il s'agit de voir si la gauche qui s'affirme et celle qui s'ignore vont arriver à se coaliser sur le terrain politique car la droite semble déterminé à se regrouper autour de Legault.

  • Archives de Vigile Répondre

    23 juin 2011

    M. Bousquet,
    Au delà de toute la rhétorique politique provinciale partisane qu'on lit souvent ici sur Vigile, il y a un fait brut inéluctable et irréfutable qui nous saute tous et toutes aux yeux, à moins d'être aveugles : Pauline Marois ne passe pas dans la population du Québec. Avec elle, cela ne lève pas. Renseignez-vous dans votre entourage et vous allez le constater rapidement. Qu'elle soit molle, dure, souverainiste, compétente, bonne gestionnaire, politicienne habile, ELLE NE POIGNE AVEC LE MONDE! Est-ce clair?
    Et dans une société-spectacle où les politiciens professionnels sont des "vedettes" médiatiques, cela ne pardonne pas. C'est cela la réalité et c'est aussi simple que cela.
    Pour employer une image forte, si on était au hockey, cela fait longtemps que Pauline Marois, comme "entraineuse" ou comme "joueuse", aurait été échangée. Demandez-le à n'importe lequel amateur et il vous le dira.
    Les militants vont bien finir par s'en rendre compte.
    Pierre Cloutier

  • Archives de Vigile Répondre

    23 juin 2011

    M. Bousquet, si ça n'a rien à voir avec Marois alors ça n'a rien à voir avec les critiques contre elle.
    Le péquiste Legault ne manque pas de critiques non-plus. Et pourtant, lui qui saborde le PQ avec un nouveau parti, a la cote des péquistes ! Il est maintenant leur chouchou.
    Dites encore que ce n'est pas Marois le problème.

  • Archives de Vigile Répondre

    23 juin 2011

    Le PQ doit se séparer le 25 % de séparatistes avec Québec solidaire. 17 % pour le PQ et 8 % pour Québec solidaire, quand la CAQ de Messieurs Legault et Sirois entre dans le paysage pour les sondages.
    Les autres 13 % de souverainistes mous de la constitution désirent voter pour le parti à être formé par Legault et compagnie plus les fédéralistes des autres partis pour un grand total gagnant de 40 %, 50 % si fusionné avec l'ADQ de M. Deltell.
    Ça n'a rien à voir avec Mme Marois, c'est juste une faiblesse de l'option souverainiste sans association ou partenariat malgré les sondages où s’expriment les mous de la souveraineté, prêts à essayer l'asymétrie du NPD ou l'économie en premier de M. Legault avec la souveraineté dans 2 ou 3 générations...peut-être.
    Vous vous acharnez sur le mauvais coupable. Trop de souverainistes poignarde Mme Marois, ce qui aide le plus M. Charest.