Le banquet du Beaver Club sert de scène pour dénoncer ce régime colonialiste qui depuis près de 250 ans, est imposé au peuple québécois par le conquérant.
Le Temps des Bouffons
20. Actualités : archives jusqu'à 2005
Pierre Falardeau17 articles
Je suis un homme d’un autre siècle. Je chauffe au bois. Je n’ai pas d’ordinateur. J’écris à la main, avec un crayon à mine ou une plume. En art, je crois à la simplicité. Je chasse à l’arc. Je me bats pour la liberté, la liberté sous toutes ses formes, la ...
Cliquer ici pour plus d'information
Je suis un homme d’un autre siècle. Je chauffe au bois. Je n’ai pas d’ordinateur. J’écris à la main, avec un crayon à mine ou une plume. En art, je crois à la simplicité. Je chasse à l’arc. Je me bats pour la liberté, la liberté sous toutes ses formes, la mienne, celle de mon peuple, celles de tous les peuples. Bref, je suis un primitif égaré.
Laissez un commentaire Votre adresse courriel ne sera pas publiée.
Veuillez vous connecter afin de laisser un commentaire.
3 commentaires
Archives de Vigile Répondre
4 octobre 2009Adieu Pierre Falardeau ...
Espérons pour le peuple québécois que quelqu'un suivra ta trace afin de continuer à éveiller les francophones !
Merci de t'être usé le coeur pour nous !
Repose enfin en paix !
Archives de Vigile Répondre
2 juillet 2008Au Québec, le nationalisme est séquestré
« Après 30 ans de débats sur la souveraineté, 18 ans de pouvoir pour les souverainistes et 2 référendums, le Québec n’a jamais été aussi mal préparé pour faire la souveraineté. » Albert Bertrand
Un des aspects les plus révélateurs dans l’exercice démocratique au Québec depuis l’événement de la prise du Pouvoir par le PQ en 1976, est qu’à chaque fois que le nationalisme politique et économique perd ce même pouvoir, les profédéralistes se renforcent exponentiellement par l’action de gouverner et de contrôler l’administration publique en conquérant plus d’espace politico-économique soustrait à ce même nationalisme québécois, espace d’autorité qui sera employé sans égards contre les intérêts généraux des Canadiens français, puisque ce sont eux, en majorité, qui ont fait de ce nationalisme fondamental et anticentraliste fédéral, depuis les années soixante, l’instrument politique indispensable à leur survie collective.
Jean-Louis Pérez
Vive le Québec libre de caciques, de tricheurs de la politique, de traîtres et de pilleurs des ressources fiscales et naturelles
Claude G. Thompson Répondre
2 juillet 2008Je me souviens du jour où je visionnai pour la première fois « Le temps des bouffons ». Quel ravissement d’entendre dit par quelqu’un ce que je ressentais et que je n’arrivais pas à verbaliser. Une sainte et saine colère qui nous mettait en plein visage la réalité de l’adage qui affirme qu’on édifie l’avenir sur les ruines du passé. En plein règne conservateur, tous les vils lèches bottes du pouvoir en place animent une soirée rendant hommage au bon vieux temps et à ce qui ne change pas tandis que tous les amis de l’ancien gouvernement qui ont profité d’avantages pour services rendus participent sans vergogne au banquet des profiteurs qui tirent les ficelles l’air de rien, ne se souciant nullement de couleurs et de partis politiques. C’est normal, l’argent n’a pas d’odeur et la corruption, c’est toujours la corruption, qu’importe les gouvernements.
Claude G. Thompson