Le mépris et la mauvaise foi (proverbiale) de l'Équipe du Festival d'été de Québec
Dans l'après-midi du 8 juillet 2010, je me suis présenté aux locaux de l'Organisation dudit Festival, rue St-Joseph, en Capitale, parce que désirant exprimer quelques commentaires, concernant celui-ci, auprès d'une personne dûment habilitée à les recevoir, puis à les relayer enfin à la haute direction.
Or en dépit du fait qu'elle semblât fort occupée, la demoiselle à la réception (enveloppée d'une robelette saumon tirant sur l'orange, et qui s'est finalement identifiée, après moult tentatives de ma part, comme étant Marianne Tremblay - identité que j'ai d'ailleurs toutes les raisons d'estimer fictive : alors sans plus tarder je salue d'un premier chapeau le professionnalisme exemplaire des lieux...), me fit comprendre qu'elle était tout ouïe.
Je savais d'entrée de jeu que mon propos tiendrait en deux ou trois minutes. Si on ne m'interrompait pas... Or cette très professionnelle demoiselle, plutôt que d'écouter les desiderata de son vis-à-vis du moment, s'empressa de me couper la parole en permanence à tous les huit ou dix mots que je parvenais à placer. Supposées rectifications, mises en éclairage et/ou, surtout, justifications constantes comme parade à mes « critiques », mes propos, très manifestement, n'avaient pour elle, représentante du FÉQ, aucun intérêt. D'ailleurs, cette personne présumait totalement de mon discours, puisqu'elle l'interrompait sans arrêt.
Il ne s'agissait donc pas, pour cette demoiselle - qui affirmait être pleinement accréditée à colliger mes dires sans détour afin d'en faire ultérieurement un usage constructif auprès des dames Dominique Goulet et autres monsieurs Daniel Gélinas -, de prendre note des commentaires de cet ex-festivalier (ce que je mentionnai d'emblée, d'où ma présence). Il s'agissait, bien au contraire, de faire en sorte que celui-ci s'exprimât le moins possible; et que surtout il éprouvât la plus féroce envie de quitter les lieux dans les plus brefs délais. Car enfin, à force de lui couper la parole et de lui « démontrer » qu'il avait tort avant même de le laisser terminer une phrase, on peut aisément présumer que l'individu, en l'occurrence moi-même, finirait par en avoir marre de se faire traiter comme un malpropre indésirable dans le cadre du respect que l'on porte à un chien de ruelle...
Puis sur les entrefaites, un autre individu est apparu dans le paysage de ce petit portique d'entrée. Il prend aussitôt le relais de la conversation comme si les deux employés s'échangeaient une vague boîte de documents. Ou de bibelots. Or bien que je n'aie toujours pas eu le temps d'exprimer réellement mes idées, ce jeune homme me lança ex abrupto - je cite de mémoire, laquelle s'avère généralement assez fidèle - qu'il comprenait ce que je voulais dire... Une fois de plus, interdiction de s'exprimer ! Le tout pourrait tenir en ce bref discours :
« On sait déjà ce que vous allez dire, mon bon monsieur. Or comme nous avons déjà prévu toutes les parades possibles à toutes les critiques susceptibles de nous être adressées, nous vous demandons de vous taire. Écoutez plutôt, et sans attendre, nos réponses préalablement engrangées sur supports préenregistrés. Bref, nul besoin d'écouter le festivalier puisque nous sommes en mesure de lui répondre sans même savoir de quoi celui-ci désire nous entretenir. CQFD. »
Avec un élément complémentaire, toutefois. Outre que cet individu ait pu tenir, en effet, des propos loufoques jusqu'au ridicule (« Respectez ce que je viens de dire, monsieur ! » - dixit), confondant du coup le respect avec l'accord (obligé) de l'interlocuteur (ce qui derechef témoigne non seulement d'un extraordinaire manque de professionnalisme, mais également d'une mésintelligence de la langue qui donnait l'impression d'échanger avec un enfant de sept ou huit ans), ce garçon m'invita, en lieu et place de la présente en action, à communiquer avec l'Organisation par la voie du courriel... Eh voilà ! L'Équipe du Festival d'été de Québec n'a pas deux ou trois minutes à consacrer à cet ex-festivalier qui désire simplement informer celle-ci des motifs de son éloignement d'un Événement dont il fut autrefois l'un des plus fidèles adeptes. Non point. On lui suggère plutôt, à lui, de perdre de longues minutes (trente, quarante, soixante, voire plus) à mettre par écrit ce qu'on lui interdit fermement d'exprimer rapidement à l'oreille de quelque représentant du Groupe du FÉQ.
Puis enfin, ce fut à la demoiselle du début (la toujours supposée demoiselle « Marianne Tremblay ») à se saisir derechef du bâton du pèlerin. Mais là, vraiment, la mauvaise foi, le mépris et enfin la violence, en finale, ont occupé d'un coup toutes les cases de la stratégie mise en place par ladite Organisation. Depuis l'argument - ô combien facile et fallacieux, et à servir illico à tout interlocuteur ayant quelque sens critique - selon lequel le FÉQ répond tout simplement à la demande (quant à la puissante anglo-défrancisation du Festival depuis plusieurs années : car mon opposition à l'éradication rampante, progressive et constante du français dans la programmation du Festival constituait, en effet, le noeud de mes doléances), jusqu'à celui qui est de justifier l'injure faite à Gilles Vigneault, dont le nom, sur quelque soi-disant neuf (9) grandes pointures (ou présumées telles) en première page du prospectus officiel, apparaissait bien au bas, tout au bas, du lot des personnalités - en ...8e place !
Un seul Québécois, unique francophone qui plus est, relayé à la fin de la liste. Un monument de la chanson d'expression française renvoyé comme un parfait inconnu à la queue de tous ses compagnons de l'heure. Tous anglo-saxons, comme par hasard. Et comment cette dite Marianne Tremblay justifia-t-elle cette extraordinaire gifle à notre chantre national, pensez-vous, ainsi qu'à la langue française de manière générale...? Eh bien, croyez-le ou non, rien moins que par de supposées raisons d'infographies. Gilles Vigneault au fond de la garde-robe pour motifs infographiques !!! Encore un peu, et elle me signifiait qu'on avait procédé en toute neutralité... par simple ordre alphabétique. C'est ce qui s'appelle, on en conviendra sans peine - n'est-ce pas, M. Daniel Gélinas, Mme Dominique Goulet -, prendre ses festivaliers pour de parfaits imbéciles. Et Gilles Vigneault, pour une cloche - et de celles qui n'ont plus rien à voir, n'est-ce pas, avec la grande Édith ou les Compagnons de la Chanson.
Mais encore. Car l'histoire ne s'arrête pas là. Loin s'en faut.
Passant sur quelques autres détails non moins savoureux que je réserverai peut-être pour mes mémoires..., j'en viens au clou de toute cette politique à la soviétique du FÉQ; politique visant très manifestement à l'élimination dans l'oeuf de toute critique à l'encontre de ses décideurs. Décideurs si avisés, d'office, que toute critique, on l'aura d'ores et déjà deviné, s'apparente pour tout un chacun de l'Équipe (de Dominique Goulet à « Marianne Tremblay », par le détour du grand manitou de cet extraordinaire ratage, Daniel Gélinas) à un acte d'hystérie sinon de démence. Il me semble soudain humer les odeurs d'éther des hôpitaux psychiatriques des banlieues de Moscou, lesquels furent expressément construits pour « abriter » - déjantés par définition (ben voyons !) - les opposants aux régimes.
Le voici ce « clou ».
En réaction à ce jésuitisme selon lequel le FÉQ offre une programmation répondant tout bonnement à... la demande, je rétorquai à un certain moment, parmi d'autres contre-arguments, que si un « Tit-cul » de 15 ans ne connaît pas autre chose que la musique et la chanson anglo-américaine, il est certain (le terrible syndrome de la femme battue) qu'il ne réclamera pas autre chose : Il n'exigera certes pas ce qu'il ne connaît point (de l'amour, du respect, de la dignité, en l'occurrence). Compte tenu que sur les ondes, dans les places publiques, dans les cafés, bistrots, bars et tous les commerces, y compris la totalité des supermarchés (la québécoise Metro comprise, ainsi que tous les Brunet et les Jean Coutu que vous voudrez), on n'entend que de la chanson anglo-américaine, en effet, il lui est bien difficile, à ce jeune homme, de se voir sensibilisé à... sa propre Culture.
Même l'ex-chaîne dite culturelle - inculte et incultivée depuis lors - de la radio de Radio-Canada s'est fait fort (ah ! le brillant Sylvain Lafrance, on Her Majesty's Service à la vie à la mort) de la noyer, cette musique et cette chanson française, dans le grand Tout du n'importe quoi : Le Québec, mais c'est les États-Unis : tout le monde sait ça ! Que ça ! Partout et tout le temps. Et bien sûr, nos petits Jean-François Lessard de service (Cyberpresse, 13 juillet 2010 : www.cyberpresse.ca/opinions/201007/13/01-4297905-cinema-quebecois-tierney-na-fait-quenoncer-un-fait.php), du haut de sa charge de cours d'étudiant diplômé (l'un de ces petits Chrétien, Dion, Charest et Coderre de demain, en flagornerie permanente auprès des pouvoirs, et en absence de toute réflexion sérieuse ou crédible hors des sentiers battus et rebattus des lieux communs tout en préjugés des The Gazette et autre National Post, sans oublier La Presse of Mount Real assurément), nous refera la leçon mille fois recyclée : « Nous, Québécois, sommes fermés, obtus et centrés sur notre ombilic » ! Et tous les André Pratte de Gesca ne sont du coup que trop heureux de publier à la chaîne ce type de papier-coller dont ils se font les promoteurs avec grande assiduité. Mais je m'égare. Si peu pourtant, à vrai dire. Revenons tout de même à mon clou. Planté d'un simple mouvement verbal en plein coeur de la bêtise.
Qu'a-t-elle répondu, en effet, à mon « Tit-cul de quinze ans », la demoiselle revêtue de sa robe pêche ? Eh bien qu'en conséquence de mon immonde manque de respect (!!!) à l'égard de l'employé (d'environ 23-25 ans !) situé à quelques mètres de nous, dans un coin du Hall, je devais immédiatement quitter les lieux. La tactique géniale, intimidatrice, policière et marteau de l'Équipe du Festival d'été de Québec : chercher « le » mot dans le discours de l'interlocuteur qui soit susceptible de pouvoir lui être retourné au visage comme opprobre. Et ainsi cautionner la violence sans appel de l'éradication immédiate des lieux !
Rien d'irrespectueux en tout ceci, bien naturellement; et encore moins à voir avec le jeune homme (que je n'avais d'ailleurs jamais remarqué jusque-là) que j'aurais ainsi... apostrophé. Mais tout est bon, semble-t-il, chez les Marianne, Dominique et Daniel, pour mettre à la porte les gens qui ne partagent pas leur aveuglement culturel (et/ou leur autocolonialisme politique ?). Et en l'occurrence, pareille attitude s'appelle bel et bien : violence. En effet. Car c'est « Dehors ! ou la sécurité procédera manu militari ». Vraiment, si je n'avais pas vécu en personnne la monstrueuse mauvaise foi de cette jeune femme (après, souvenons-nous, entre autres manières rhétoriques analogues, l'« argument » infographique concernant le monumental rabaissement de Gilles Vigneault tout au bas de l'affiche), je n'en aurais pas cru mes yeux si j'eusse dû lire pareil témoignage dans un journal... qui ne soit pas de mon propre cru.
Et je passe sous silence, et ce en l'espace de quelques dizaines de secondes destinées de nouveau à mon oreille (on se repasse encore le « client » comme une vieille caisse de bouteilles de bière vides), la reprise en vitesse (non sans jouer la victime de mon « injure »... Non mais quelle comédie !) par ce jeune homme entre 15 et... 25 ans des non-arguments de ses deux collègues ! Décidément, M. Daniel Gélinas et Mme Dominique Goulet ont bien nettoyé les cerveaux de tout un chacun de l'Équipe avant de disposer leurs petits soldats de plomb sur la place publique...
Et c'est également sans compter cette autre façon de nier puis de violer sans vergogne le festivalier par le mensonge le plus cru. En effet, en consultant la riche et exhaustive page de l'Équipe du FÉQ (www.infofestival.com/index.php?lang=fr&page=equipe), on constatera finalement que de Marianne Tremblay, il n'en existe point au sein de cette Organisation. La spécialiste du détournement de sens, de la malhonnêteté intellectuelle, du mépris et du mensonge (celle-là même qui réclame le « respect » à tous vents), eh bien elle se nomme plutôt : Andrée-Anne Poulin (parente des deux autres "Poulin" de l'Équipe...?). Alors je dis Bravo, Andrée-Anne Poulin, pour cette comédie fourbe, malhonnête et d'une perfidie extraordinaire; et qui aura incarné à elle seule, à mes yeux, l'esprit général du Festival d'été de Québec ainsi que de celui de son Équipe de manière générale.
Bref pour le dire en un mot, un seul : Professionnalisme Zéro. Sur toute la ligne.
Festival d'été de Québec, vous avez été pour moi un objet de fierté des années durant. Or aujourd'hui, après tant d'inculture, d'impudence, de dénigrement contourné, de violence, de négation de l'autre et de banalisation sinon de rejet de notre langue (et ce sous mille prétextes, aussi bancals qu'autocolonialistes. Il faut lire l'entrevue de [Mme Dominique Goulet dans Le Devoir du 8 juillet->www.ledevoir.com/culture/musique/292196/la-chanson-francaise-a-peu-d-avenir]. On croit rêver à lire tant de balivernes, vous êtes parvenu à instiller en moi le germe de ce virus que vous propagez à chaque occasion (ou quasi) où l'un de vos innombrables émissaires ouvre la bouche pour s'adresser à un festivalier, qui - par manque de respect à votre égard ! - oserait s'indigner de vos manières à la Big Brother. J'ai nommé et renommé le mépris.
En clair, le FÉQ, s'il était déjà synonyme de déception depuis de nombreuses années (ça remonte même aux années quatre-vingt-dix, alors que nous avions encore droit à des moments bénis de talents à la puissance dix; telle cette soirée sur la scène du "Pigeonnier" où Jacques Bertin, Sylvain Lelièvre et... Gilles Vigneault s'étaient relayés la soirée durant, créant du coup un Événement à la fois magique et inoubliable et, qui plus est, autrement plus émouvant que Paul McCartney, Céline Dion et Rush réunis), il est désormais, quant à moi, associé au déni, à la tricherie et à cet insondable mépris.
Aussi, à moins d'un changement radical, et de la direction et de ses équipiers spécifiquement choisis à l'aune de ces « valeurs », qu'il faut bien qualifier d'infectes, le Festival d'été de Québec, c'est pour moi fini. Pour la vie.
Marcelin Gélinas
Québec, le 16 Juillet 2010
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41 commentaires
Archives de Vigile Répondre
23 juillet 2010Monsieur Jean-François-le-Québécois!
Je ne suis pas un interlocuteur anonyme. Mon nom n'apparaît pas pour je ne sais quelle raison. C'est sûrement un problème technique. Je n'ai pas l'habitude de me cacher lorsque j'envoie un texte à VIGILE. J'assume!
Denis Julien de Lotbinière
Jean-François-le-Québécois Répondre
21 juillet 2010À mon interlocuteur anonyme:
«Vous ne trouvez pas curieux et suspects à la fois, que des gens comme Labeaume, Gélinas, Verner, Dumont et Gourde n’aient jamais dénoncé les propos souvent xénophobes, racistes, homophobes et sexistes de la radio-poubelle ? La réponse est pourtant simple, cette radio fut leur haut-parleur.»
Écoutez, j'habite Québec, alors je n'y ai trouvé rien de suspect, non. Pourquoi? je crois que l'explication a une saveur électoraliste...
Vous voyez, les gens vivant ailleurs au Québec, nous voient comme un gros village homogène. C'est pourtant faux: il se trouve, notamment, que les ignares qui écoutent religieusement les radios-poubelles, et croient ce qu'on y raconte, auront beaucoup plus tendance à avoir des valeurs rejoignant le «Thik big, 'stie» Grattonien caractérisant si bien Labeaume, comme le côté réactionnaire et anti-intellectuel des conservateurs, tout comme le côté simpliste, banlieusard et «pas dans ma cour» adéquiste. Question de clientèle.
Et différentes clientèles radiophoniques, voteront différemment aux élections. Par exemple, la radio universitaire CHYZ, attire des jeunes qui ont souvent des vues altermondilaistes et écologistes... un univers différent, quoi!
Oui, Fillion et compagnie ont toujours ou presque dénigré nos artistes, et dit des âneries du genre «la langue française nous empêche d'évoluer» (sic)... je crois que face à un tel cas, il faut comprendre le pourquoi d'une telle attitude. Et chercher à qui elle profite...
En creusant un peu, on se rend compte que l'une de ces deux radios-poubelles, appartient aujourd'hui à des propriétaires canadiens anglais... Pour l'autre, je ne sais pas; elle a récemment changé de mains.
Tout se tient.
Je dois dire, hélas, que les citoyens de mav ille, sont nombreux à me désoler quelque peu. Car quand vous dites que les radios-poubelles déshonorent les gens de Québec... Comment dire? Tout le monde à Québec n'écoute pas ces deux usines à immondices verbales; mais il existe une demande pour la chose, sinon ni CHOI ni CJMF ne survivrait.
En ce qui concerne la rivalité Québec-Montréal, maintenant: le phénomène en question existe bel et bien, je crois. Cependant, les artisans de la radio-poubelle, de façon très démagogique, ont su l'amplifier, et miser dessus, pour arriver à certaines fins... ou aux fins, des propriétaires des dites stations de radio.
Archives de Vigile Répondre
21 juillet 2010J'avais abordé la question des chiffres biaisés dans la manif des Cols rouges
http://www.vigile.net/Le-point-sur-la-manif-des-cols
Archives de Vigile Répondre
21 juillet 2010J'invite monsieur Noël à lire à la rubrique Carrefour des lecteurs du journal Le Soleil de Québec du 21 juiller 2010, l'intervention de monsieur Jacques Noël portant le titre suivant: L'enflure des foules.
Il nous éclaire sur la surévaluation des foules dont entre autre, la fameuse marche des ''X'' à Québec, le Red Bull ainsi que celle des gens qui manifestèrent contre le budget Bachand.
Il est évident de par sa démonstration mathématique qu'on nous manipule et qu'on oriente depuis quelques années à Québec,l'opinion publiques avec des chiffres erronés afin de faire passer une certaine idéologie.Il y a là, la recherche d'un but précis.On s'occupe bien d'un certain électorat.Cela achève!
Un ami me disait hier par courriel,que tout cela va finir avec une enquête publique sur entre autre, la gestion des fonds publics alloués au Festival d'Été de Québec. Si on nous ment sur une chose; on peut nous bourrer de menteries sur bien d'autre chose.
Archives de Vigile Répondre
20 juillet 2010Monsieur Jean-François-le-Québécois!
La rivalité Québec-Montréal est une pure construction ou création de la radio-poubelle de Québec, d'Arthur à Bouchard en passant par Jeff Fillion. Elle se traduisit par une forte députation provinciale adéquiste et une non moins imposante députation fédérale conservatrice.
Observez les nombreux groupes musicaux anglophones qui se sont produits au festival d'Été de Québec. Tous sans exception jouaient à coeur de jour à CHOI-FM. Fillion et ses truands n'ont eu de cesse de dire que la chanson francophone, ça n'intéressait personne et que les cotas francophones du CRTC devraient être mis à la poubelle.Cette radio n'a jamais cessé de dénigrer et de salir la musique d'ici ainsi que ses artisans.
Vous ne trouvez pas curieux et suspects à la fois, que des gens comme Labeaume, Gélinas, Verner, Dumont et Gourde n'aient jamais dénoncé les propos souvent xénophobes, racistes, homophobes et sexistes de la radio-poubelle? La réponse est pourtant simple, cette radio fut leur haut-parleur. Le mépris n'aura qu'un temps monsieur Jean-Françaois-le-Québécois. Cette radio déshonore les gens de Québec. Il est temps que la capitale retrouve une radio qui s'adresse à leur intelligence et non à leurs bas instincts et leurs réflexes tribaux.
On commence du côté des organisateurs du Festival d'Été de Québec à nous mentir sur beaucoup de choses dont,les assistances réelles et les retombées économiques véritables.Gélinas commence à creuser sa tombe!
Jean-François-le-Québécois Répondre
20 juillet 2010J'habite Québec, et s'il est vrai que depuis deux ou trois ans, la participation à notre festival estival de «gros» groupes rock anglophones, donne une place importante à la langue anglaise, il serait faux de dire qu'il est tout ou presque tout anglicisé. À ce stade-ci, en tout cas.
Il est vrai qu'avec le petit Régis comme maire, les choses changent, à Québec. C'est un peu le syndrome Elvis-Grattonien du «think big, 'stie», dont les conséquences se manifestent...
Les gens de Québec, plus souvent qu'autrement, ne réagissent que peu à ce phénomène. Je crois que c'est en partie parce que notre population, ici, ne se sent pas autant menacée par la progression de la langue anglaise chez nous, que celle de la métropole.
En passant, pour ce qui est d'être un maire anglicisateur, j'ai l'impression que Gérald Tremblay n'a rien, ou pas grand chose à envier, à Régis Labeaume...
Il y a environ dix ans, le Festival d'été, sous le maire Lallier, était fort différent; on faisait beaucoup dans la programmation pour les «citoyens du monde» (sic), avec beaucoup de musique(s) du monde, folklore africain, choeurs bulgares, etc.
Une partie de la population, se plaignait de ne pas se «retrouver», en de telles formes d'expression musicale... Aujourd'hui, le festival fait plus populaire, plus comme une suite de spectacles rock en plein air.
Remarquez bien que dans le passé, le festival d'été de Québec, était un peu plus huppé, plus «culturel», mais il reste que dans le cas par exemple de chanteurs chantant en des langues telles que l'arabe ou le swahili, le caractère francophone était, déjà à l'époque, assez dilué, disons!
C'est sûr que le Festival ne doit pas s'angliciser davantage; ce n'est pas le festival d'été de Boston ou de Chicago! Mais on pourrait parler aussi, de ce qui se passe présentement à Montréal, soit ce gros «party» sous le signe de l'humour, et bilingue, organisé par l'insupportable Rozon... Là aussi, on veut faire «Big!», on veut faire américain. N'est-ce pas?
C'est sûr que la comparaison, sur Vigile, de ces deux festivaux, soulève des passions, car elle touche de près, à la rivalité Québec vs Montréal!
Archives de Vigile Répondre
20 juillet 2010Pour l'instant Québec me rappelle la Fable de Lafontaine de la grenouille qui voulait se faire plus grosse que le boeuf!
Des villes comme Paris, Pragues, Madrid et Berlin attirent le tourisme mondial pas parce qu'elles font venir des groupes d'heavy métal d'ailleurs, mais pour ce qu'elle sont, des cités riches en art, en histoire et en culture.Pas en faisant semblant et en tentant d'être autre chose!
Si Québec est incapable, ce que je ne crois pas, d'attirer les touristes pour ce qu'elle est, y a un gros problème!
Archives de Vigile Répondre
20 juillet 2010Gélinas tente de nous faire croire que Québec est devenue comme par magie,internationale, par le seul fait qu'on fait venir des groupes de punk-rock et de métal anglophones.
Québec sera internationale lorsque sa population assumera pleinement le rôle de sa capitale nationale, que sa culture francophone unique en Amérique du nord attirera le tourisme et qu'on pourra y entendre à son Festival d'Été, des artistes de Chine, de l'Inde. Là on pourra parler d'internationalisme, pas avant! D'ici là, on a des croûtes à manger!
Archives de Vigile Répondre
20 juillet 2010Il semblerait qu'il y ait une baisse d'assistance au Festival d'Été de 2010. La tendance va se confirmer lorsque des gens sérieux se pencheront sur la question.
En effet, sur les 150,000 bracelets vendues; plusieurs le furent que pour un ou deux spectacles. C'est à suivre!
Je suis représentant sur la route depuis plus de 25 ans. Je connais beaucoup de monde. Personne de mes connaissances n'ont assisté au Festival d'Été 2010 ni de membres de ma famille qui m'ont dit que cela ne les intéressait plus.
La tendance se confirme que cet évènement n'intéresse que des gens de la périphérie de Québec, les banlieues et les régions limitrophes. Il intéresse une certaine catégorie des 25 à 35 ans qui viennent au centre-ville faire un gros happening point! Le même phénomène se produit avec la Saint-Jean qui est devenu une beuverie pour commencer l'été.
Lorsque les gens d'affaire cesseront de croire de façon aveugle leurs deux gourous Think big Labeaume et Kid Gelina's, il y aura des lendemains qui chantent! Je ne crois pas ce qu'on nous raconte dans les journaux à Desmarais et Pélado.Tout cela n'est que du pain et des jeux!
Archives de Vigile Répondre
20 juillet 2010Dans les années ''60'', nous allions avec nos parents en Nouvelle-Angleterre. On y retrouvait des communautés francophones qui étaient encore bien vivantes. On entendait parler français partout.
Bideford,Sanford, Lewiston, Waterville (Maine)
Manchester (New-Hampshire)
Lowell (Massachusetts)
Woonsuckets et Pathuckset, vous m'excuserez si je fais des fautes dans le nom de ces villes. (Rhode-Island)
Quelques décennies plus tard; tout cela est terminé. Je suis allé à la Kermesse Franco-Américaine de Bideford en 1997. Il y avait environ 20,000 personnes dans les rues pour assister au défilée et aux spectacles. Toute cette foule parlait en anglais sauf quelques personnes âgées qui se souvenaient.J'ignore ce qui nous attend au Québec mais on est mal parti!
Archives de Vigile Répondre
19 juillet 2010Toutes sociétés ont besoin d'une élite. L'élite n'est pas là pour abaisser et mépriser le peuple;elle est là pour lui permettre de s'élever.Moi monsieur Noël, je souhaite le meilleur pour les miens!
En 2008, j'ai entendu des gens affirmer qu'ils étaient déçus que Céline n'ait pas chanter en anglais sur les Plaines. On fêtait quoi au fait en 2008? On fêtait 400 ans de présence française en Amérique. On fêtait ce peuple qui s'acharne contre vents et marées à vivre dans sa langue alors que les organisateurs ont tout fait pour faire oublier le sens profond de la fête pour en faire un gros happening où toute la question identitaire était évacuée.
C'est ce comportement profondément colonisé voir inconscient qui me désole chez les gens de Québec.
Archives de Vigile Répondre
19 juillet 2010Vous avez une vision un peu élitiste de la culture. C'est d'ailleurs ce que reprochait la radio-poubelle au Festival d'Été et ce qui a amené les changements des dernières années.
On ne peut pas demander des subventions au peuple et rien lui offrir en retour sous prétexte qu'il n'a pas les neuronnes pour apprécier la vraie culture, celle de la "haute-ville". C'est méprisant pour le peuple et anti-démocratique.
Moi ca ne me gêne pas du tout Rammstein sur les Plaines. 80,000 personnes ont voté hier. Nous, on a voté pour Ferrat à l'Agora. Mais on était seulement 5000.
Archives de Vigile Répondre
19 juillet 2010Y'avait 80,000 spectateurs hier soir pour voir Rammstein sur les Plaines.
http://www.ledevoir.com/culture/musique/292846/delire-metal-sur-les-plaines-isabelle
Et environ 5,000 pour voir Hommage à Ferrat à l'Agora. Nous, on a choisi Ferrat. Plus doux pour les tympans, et les sièges de l'Agora sont si confortables...
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J'ai oublié deux noms dans la liste ci-haut mentionnée: Sylvain Cossette et Yann Perreault
En tout, 70 chanteurs francophones ont chanté au Festival d'Été. Festival d'Anglos?????
Archives de Vigile Répondre
18 juillet 2010Monsieur Noël!
Le hotdog est un met populaire en Amérique du Nord. Cela signifie-t-il que c'est un bon aliment pour la santé?
Cela signifie-t-il que son goût est meilleur qu'un magret de canard ou un coq au vin bien fignolé? Y a -t-il une différence entre un époasse de Bourgogne, un roblochon de Haute-Savoie et du fromage Single de Kraft? OH! je vous vois venir, vous allez me taxer de snobs et de frais-chiés! Pourtant, je souhaite à tous les québécois d'avoir la chance de découvrir ces merveilles.
Non monsieur, les choses ne sont pas toutes égales!
Dans la vie; il y a la qualité et la quantité.
Je regrette mais Les Violons du Roy, ne vous en déplaise, ce n'est pas Kiss. Une Ford escort, ce n'est pas une Volvo. Patrick Huard et Louis Josée Houde ne seront jamais Sol. (Marc Favreau)Dans la vie, y a des gens qui s'élèvent et d'autres qui restent au ras-des-pâquerettes. Moi ce qui m'intéresse chez le peuple québécois, c'est l'excellence.
Archives de Vigile Répondre
18 juillet 2010À la fin de ce Festival d'été 2010, nous n'aurons plus qu'à mettre de gros signes de piassses, à la fin de Québec, Capitale nationale$$$$$ et ajouter de gros Saxons anglais, américains et allemands pour compléter le portrait.
Notre Capitale nationale ne reçoit-elle pas déjà des subventions justement à ce titre ? Devrons-nous demander à notre bon gouvernement de lui retirer toutes ces subventions puisque Gélinas et Labeaume sont les grands argentiers ouverts sur le monde anglo-saxon ?
Archives de Vigile Répondre
18 juillet 2010@ Gilles
Et avec leurs enfants que les médias interrogeaient. Et les parents bien fiers de leur progéniture, béats d'admiration devant leurs rejetons.
Quelle misère ! Et quelle insignifiance !
Archives de Vigile Répondre
18 juillet 2010«Le Festival d’Été doit-il d’abord montrer au tourisme notre spécificité francophone»
Il le fait: Gilles Vigneault, Loco Locass, Maxime Landry, Roch Voisine, Arianne Moffat, Coeur de pirate, Diane Tell, Elisapie Isaac, Damien Robitaille, Krakaw, les Vulgaires Machins, Daniel Boucher, Laurence Jalbert et Patrick Norman ont tous chanté au Festival d'Été. On est loin du Festival all anglo que vous décrivez.
Mais est-ce que ces chanteurs peuvent intéresser un touriste ontarien ou japonais? J'en doute (la grande faiblesse des chanteurs francophones c'est la musique, ce qui rend l'attrait difficile pour les non-francophones). Une chose est sûre: on ne peut compter sur eux pour attirer les touristes non-francophones. Maxime Landry et Diane Tell sur une affiche d'autobus à Toronto n'amèneront pas le moindre touriste à Québec. Rammstein, oui. The Black Eyed Peas oui.
Le Festival d'Été n'a jamais été exclusivement francophone. Je me souviens d'avoir vu Paulo Conte, les Gypsie King et le Zoulou blanc dans les années 80. Parce que le Festival répond d'abord au goût des Québécois. Et le goût des Québécois ne se limite pas aux seuls chanteurs francophones.
Je ne sais pas quel âge vous avez mais pour un ado de 15 ans, Vigneault (81 ans) c'est un être préhistorique! C'est un peu comme si dans ma jeunesse (je suis boomer) on m'avait demandé d'aimer Maurice Chevalier ou Edith Piaf, les idoles de ma mère! Déjà pour moi, Elvis était passé date (je suis de la Génération Beatles).
Y'avait 120,000 personnes sur les Plaines pour voir les Black Eyed Peas, dont un bon quart de moins de 18 ans. C'est vraiment pas mon genre de musique -j'ai 3 fois cet âge là et le hip up chu pas capable- mais c'est quand même l'un des groupes les plus hots au monde présentement.Si ça plait aux jeunes c'est quoi le maudit problème? La venue de gros groupes permet de vendre beaucoup de laissez-passer qui permettent d'inviter des chanteurs québécois qui, eux, attirent beaucoup moins de spectateurs. On est gagnants sur toute la ligne.
Alors, qu'est-ce que vous suggérez? De ne plus inviter ce genre de groupe? Parce qu'ils chantent en anglais?Parce qu'il faut mettre nos chanteurs à l'affiche, quitte à vendre 50,000 macarons comme jadis plutot que 150,000?
Inviter juste des artistes qui chantent en français? Parce qu'on est à Québec et que Québec c'est franco à 97%?
Ils ont essayé au début du siècle avec la dérive africaine. Z'ont fait patate. Les Québécois n'aimaient pas. Les touristes non plus. Depuis que Gélinas a pris le contrôle et qu'il invite des anglos, le Festival connait des records d'assistance: 150,000 macarons vendus dans une ville de 800,000 personnes c'est comme si on en vendait 500,000 à Montréal! C'est phénoménal.
C'est drôle qu'on se scandalise que les gens de Québec aiment la musique anglaise alors qu'on ne se scandalise jamais que Montréal soit totalement anglicisée. Car le problème est là beaucoup plus qu'à Québec. On demande à Québec de faire ce que Montréal ne fait plus: défendre l'identité québécoise. Etre les derniers Gaulois.
Les Nordiques s'en viennent. J'entends déjà les gens dire que ça nous prend des francophones alors que Montréal n'en a plus depuis 10 ans.
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Le Moulin à images et le Cirque du Soleil sont gratos pour les spectateurs. Vous le savez très bien.
Archives de Vigile Répondre
18 juillet 2010Vous êtes carrément dans le champs avec le financement du Festival d'Été de Québec. Des entreprises comme Hydro-Québec, Loto-Québec et plusieurs autres sont des entreprises d'état donc des fonds publics.
Archives de Vigile Répondre
18 juillet 2010Le Festival d'Été de Québec 2010 n'est rien d'autre que le triomphe de la radio-poubelle de Québec. Cette radio fut le relais de l'ADQ et du Parti Conservateur. Elle fit élire à une élection complémentaire, Légaré dans Vanier qui est aujourd'hui un échevin de Labeaume. Cette radio qui conspua pendant des années tout ce qui était de nature progressive à Québec et qui fit la promotion active du tout au privé et qui fit l'apologie du militarisme et des valeurs de l'amercican way of life. Tout y passa, les intellectuels, les fonctionnaires, les enseignants, les gais et lesbiennes, les souverainistes, les bs, les gens de la haute-ville, les maudits français etc...
Quelle musique jouait à CHOI-FM? Tous les groupes qu'on entend aujourd'hui en majorité au Festival d'Été de Québec.
LIBARTÉ, je crie ton nom partout!
Au fait; qui connaissait dans cette faune inculte, Paul Éluard?
Messieurs de la radio-poubelle dont celui qui prit la relève de Jeff Fillion et j'ai nommé Sylvain Bouchard du 93,3, Paul Éluard était un grand pacifiste français. Il écrivit en 1918, Poèmes pour la paix. Toute sa vie fut consacrée au service de la justice et de la paix.
Ca vous surprend! Pas moi! Parce que la radio-poubelle est la radio de la désinformation et du mensonge.
Archives de Vigile Répondre
17 juillet 2010Dans l'optique de monsieur Noël, je suggère l'abolition du Conseil des Arts et des Lettres du Québec,l'abolition du Ministère de la Culture du Québec, la fermeture des Conservatoires de Musique et d'Art dramatique du Québec.Tout cela est out et n'intéresse plus personne.Désormais, seule la culture anglosaxonne intéresse le monde.La chanson n'est qu'une marchandise comme les autres. C'est comme les hot dog, plus les gens en mangent et plus les gens les aiment. Vigneault, Léveillée, Ferland et Leclerc ce sont des ratés puisqu'ils n'ont jamais attirés 200,000 personnes sur les Plaines d'Abraham. La culture; c'est un happening uniquement en anglais point à la ligne, n'est-ce pas?
J'invite tous les artistes et les aspirants-artistes du Québec à se mettre à l'apprentissage de l'anglais et à faire une carrière en anglais parce que c'est là qu'est l'avenir.Cessez de perdre votre temps à créer en français. Ca n'intéresse plus personne!
Blague à part; j'invite les artistes et les créateurs du Québec à monter aux barricades afin de mettre fin au détournement du festival d'Été de Gélinas au service des niveleurs par le bas, propagandistes d'une culture mondialisée uniformisée.La richesse de notre monde passe par sa diversité.
Archives de Vigile Répondre
17 juillet 2010Je regrette monsieur Noël mais le Moulin-à-Images et le Cirque du Soleil; ce n'est pas GRATOS comme vous le dites. C'est payé avec les fonds publics, l'argent des contribuables québécois. Aussi, lorsqu'on fait venir Kiss et d'autres; c'est toujours avec l'argent des contribuables et à ce que je sache, notre argent doit d'abord contribuer au développement de nos artistes d'ici, de notre musique et de notre chanson.C'est ce qui se passe partout ailleurs d'ailleurs!Y a rien d'anormal à ce que notre argent serve aux nôtres d'abord.
Jean-François-le-Québécois Répondre
17 juillet 2010@ O:
«Le NOMBRE, voilà ce qu’il nous manque, descendants de Nouvelle-France et associés.»
Entre nous, je pense que dans bien des cas, la volonté nous manque aussi.
Archives de Vigile Répondre
17 juillet 2010Vous ne répondez pas à la question essentielle voir existentielle. Le Festival d'Été doit-il d'abord montrer au tourisme notre spécificité francophone? Il ne s'agit pas d'exclure ce qu'il n'a jamais fait. La question est pourtant claire. Doit-il s'inscrire d'abord dans la francophonie? Nous ne sommes pas dans une ville ordinaire monsieur Noël. Nous sommes pas à Trois-Rivières, à Rimouski ou à Saguenay. Nous sommes dans la capitale nationale du seul état francophone d'Amérique. Vous excellez dans le mélange des genres.
Aussi, répondez donc vous-même à la question suivante: ''Pourquoi les coupures dans les autres festivals culturel francophones dont les Francofolies et pas au Festival d'Été de Québec?'' Je vais vous la donner la réponse. C'est parce que ce festival, celui de Gélinas fait l'affaire de la gang de facho d'Harper. Parce que tout est bien rôdé pour maintenir son électorat, bien lessivé par la radio-poubelle qui conspue à chaque jour les souverainistes, la francophonie, les fonctionnaires, les enseignants, les syndicats, les tapettes, les intellectuels et qui tient un discour xénophobe, homophobe et militariste.
Archives de Vigile Répondre
17 juillet 2010Expplication politicienne :
« 3 – À défaut d’élargir sa base au Québec, le Parti conservateur consolide depuis deux ans la dizaine de circonscriptions qui lui appartient à coups de subventions. Aux dernières élections fédérales, le ministre Jean-Pierre Blackburn s’était même indigné publiquement à l’idée qu’il pourrait perdre son siège de Jonquière après y avoir déversé des millions en fonds fédéraux.
4 – La région de Québec est le noyau dur de la présence conservatrice fédérale au Québec et cela même si les députés gouvernementaux qui la représentent sont, à une modeste exception près (Josée Verner), loin d’avoir le profil de vedettes parlementaires.
5 – Dans la guerre de dates entre festivals de l’été dernier, on peut affirmer sans se tromper que les sympathisants conservateurs québécois étaient davantage acquis à la cause du maire Régis Labeaume et du Festival d’été de Québec qu’à celle du maire Gérald Tremblay et des FrancoFolies. »
Chantal Hébert
http://www2.lactualite.com/chantal-hebert/2010-05-11/subvention-refusee-aux-francofolies-la-revanche-de-quebec/
Archives de Vigile Répondre
17 juillet 2010Y'a eu une dérive africaine au début du siècle; ça vous plaisait peut-être mais ça ne plaisait pas aux X et aux Y en ville. Festival d'Été rimait alors avec musique plate.
On a changé l'orientation ces dernières années, on a anglicisé.
Résultat: y avait plus de 100,000 personnes hier sur les Plaines. Record absolu du Festival (y'a eu 200,000 à Céline et 270,000 à Sir Pau, mais ce n'était pas dans le cadre du Festival).
La venue de gros groupes anglos permet de vendre beaucoup de macarons: 150,000 à 50$ c'et 7,5 millions. C'est énorme dans une ville de 800,000 habitants (incluant les enfants)
Quant aux subventions gouvernementales, elles ne représentent plus que 8% du budget total.
Le Festival d'Été est devenu un énorme festival qui se finance tout seul. Le budget est de 18 millions et les retombées sont de 62 millions.
On est loin de cela aux Francos de Montréal!!!
Archives de Vigile Répondre
17 juillet 2010Vous avez raison monsieur Hasting!
Toutes ces foules du style de celles qui assistent au Red Bull Ice Crash sont supposées être une manne pour l'économie de Québec. Tout cela n'est que de la bouillie pour les chats.
Le soir de la grande descente; je me trouvais au centre-ville. J'avais une réunion sur la rue Couillard dans le Vieux-Québec. Il y avait environ 20,000 personnes dans les rues. Cette foule provenait effectivement des banlieues de Québec dont une grande partie était venue par autobus.Et bien figurez-vous que lorsque je suis sorti de ma réunion, deux heures plus tard, il n'y avait plus un chat dans les rues de Québec. Tout ce beau monde était rentré chez-eux sans avoir dépensé un rond, même pas un paquet de gomme. Parlez-m'en de la manne laissée!Parlez-en aux restaurateurs de Québec!
Archives de Vigile Répondre
17 juillet 2010La chute du tourisme est partout au Québec. Ca n'a absolument rien à voir avec le Festival de Québec. Au contraire, s'agit de lire le forum du Festival d'Été pour voir qu'en fin de semaine ça vient de partout dans le monde pour voir Ramstein.
Le tourisme est en baisse pour un tas de facteurs:
1) La crise énomique qui frappe partout mais surtout aux USA, notre première clientèle étrangère
2) La parité de la piasse avec le dollar
3)La compétition avec les nouvelles destinations
4) L'offre pas assez diversifiée.
S'il y a une destination qui se surpasse présentement pour combler le visiteur c'est bien Québec avec les Festival d'été, le Cirque du Soleil gratos, le Moulin à images gratos.
http://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/291953/chute-brutale-du-tourisme
«Depuis 2002, le Québec a perdu 40 % de touristes américains et 28 % de touristes canadiens. L'industrie connaît pourtant une croissance marquée partout ailleurs dans le monde. Autopsie d'un problème»
Archives de Vigile Répondre
17 juillet 2010Les festivals de par le monde sont une fenêtre ouverte qui permettent aux peuples qui les organisent de montrer aux autres leur culture. Le Festival d'Été fut toujours de cette philosophie.Le volet québécois en occupait la plus grande place enrichi en deuxième lieu, d'artistes francophones de d'autres pays puis il y avait une fenêtre de d'autres langues dont l'anglais, le poutugais et l'espagnol. C'est ce qui nous permit de connaître Johnny Clegg and Savouka d'Afrique du sud, Cesaria Evora du Cap-Vert sans oublier le louisiannais Zacharie Richard.
Quel bonheur avons nous eu à chanter et danser sous les musiques des groupes africains du Cameroun et du Togo.Nous avions l'impression de faire partie d'une grande famille qui avait en commun la connaissance et l'usage de la langue française.
J'entend déjà certains me taxer de fermeture d'esprit concernant les artistes anglophones, n'est-ce pas monsieur Noël? Je voudrais leurs répondre qu'à une certaine époque; j'ai été un grand ''fan'' de musique disco. Que je suis allé voir Donna Summer à Miami. J'ai aussi assisté aux spectacles de Cyndi Lauper et de David Bowie au Colisée de Québec mais qu'un festival d'été comme celui de Québec qui se tient dans une ville à 97% francophone et qui reçoit des milliers de dollars en subvention avec l'argent d'une population francophone doit s'inscrire d'abord dans une visibilité francophone.
Nous assistons depuis 2008,à un détournement de festival. Ce détournement en est un de politique. Il y a une idéologie en arrière de cela. Dis-moi qui te finance, je te dirai qui tu sers!
J'aimerais poser la question suivante aux organisateurs du Festival d'Été de Québec?'' Pourquoi le financement des Francofolies de Montréal n'a-t-il pas été renouvellé par le gouvernement fédéral et pourquoi le leur l'a été? Poser la question, c'est y répondre!
Archives de Vigile Répondre
17 juillet 2010Festival d'été de Québec
Une commandite de la SAQ et de Santé-Canada/Québec:
« Un petit peu de liqueur d'anis pour octobre '70 pis on retombe dans la bière
pour les défaites référendaires. Une petite shot de Porto pour la nuit des longs couteaux,
une petite shot de Bailey's en souvenir de mononcle Médée, une petite shot, encore une shot,
pour tous les patriotes. On pourrait faire un drame de la défaite des plaines d'Abraham
mais on continue à boire pour ceux qui verront la victoire...
Et pis une shot de crème de menthe pour tous nos mononcles et pis nos matantes.
Amis, amis passons la bouteille...
ARCHAMBAULT, Stéphane (1970-)
Référence:
MES AÏEUX, 2000, Ça parle au diable!, Montréal, Les Disques Victoire
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17 juillet 2010M. Julien a raison.
Le Vieux Québec c'est surtout un Labeaume and Gelinas Circus pour jeunes "Preps and Fresh" banlieusards qui mangent souvent de la poutine et couchent chez papa, mon oncle ou dehors.
« Les punks de la place d'Youville se disent harcelés par les policiers qui «exercent une discrimination injuste à leur endroit» alors que les «Preps» et les «Fresh», qui boivent et consomment de la drogue sur les Plaines d'Abraham, «ne se font jamais écoeurer ».
Journal de Québec, 1990, 25 juillet, p. 2
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17 juillet 2010Monsieur Noël! Il y a une chute importante du tourisme étranger à Québec cette année. Je connais des gens de la restauration et de l'hôtellerie qui commence à ressentir sérieusement cette baisse. La nouvelle mouture du Festival d'Été actuelle aura des lendemains qui chantent.
Gélinas et sa clique se sont fait un happening sur mesure dont les spectateurs sont des auditeurs de la radio-poubelle. On n'a qu'à écouter les gens interwievés dans la rue pour s'en convaincre.
Ce sont les gens d'affaire de Québec qui sortiront bientôt dans l'espace public. Cette clientèle ne mange pas dans les restos de Québec et ne couche pas dans ses hôtels.
Je regrette mais il est faux de prétendre que cela a mis Québec sur la mappe.La ville de Québec était déjà sur la mappe comme vous dites pas parce que Kiss ou Osborn y chantent mais parce qu'on y retrouvait un peu de l'Europe, parce qu'on y parle français et que nos tables sont exceptionnelles. C'est cela qui attire les touristes américains et canadiens-anglais et pas autre chose. Lorsqu'ils ne ressentiront plus cette atmosphère particulière, ils resteront chez-eux ce qu'ils ont commencé à faire. Alors lorsqu'on nous dit qu'enfin Québec s'ouvre au monde c'est tout à fait le contraire qui arrive. Québec, petite capitale provinciale recroquevillée sur elle-même et dont une grande partie de sa population refuse d'assumer le statut de capitale d'une nation reconnue.
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17 juillet 2010J'en ai oublié:
Véronic Dicaire
Michel Delpech
Chimène Badi
Catherine Lara
Zaz
Corneille,
Catherine Major,
la Troupe Starmania Haïti.
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17 juillet 2010Le mépris des fédéralistes est illimité car il attire l'argent d'Ottawa plus de 60 % de chanteurs anglophones dans notre Capitale Nationale à 97% francophone en dit long sur l'avance mortelle de la colonisation. Ils ont vendus les billets d'avance pour pouvoir tromper la population et imposer l,anglicisation .
Un tel mépris en français à Tpronto aurait causé une véritable révolution violente
L'ignorance de la population Québecoise est mur à mur
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17 juillet 2010Ont chanté, en français, cette année au Festival d'Été:
Gilles Vigneault
Lara Fabian
Loco Locass
Enrico Macias
Maxime Landry
Roch Voisine
Arianne Moffat
Coeur de pirate
Michel Fugain
Nicole Croisille
Diane Tell
Gérard Lenorman
Elisapie Isaac
Sanseverino
Damien Robitaille
Krakaw
Vulgaires Machins
et demain y'a un hommage à Jean Ferrat avec Daniel Boucher, Laurence Jalbert et Patrick Norman
Faudrait arrêter de penser que, parce qu'on a invité des gros noms anglos, le Festival est devenu un festival anglo!
Avec 300 spectacles en 11 jours, avec 150,000 passes vendues, avec des foules de 50 à 100,000 spectateurs chaque soir, le Festival d'Été de Québec est maintenant dans les ligues majeures. C'est un bijou sur le Cap Diamant, un objet de fierté pour tous les Québécois. Je ne vois pas pourquoi on capote autant pour quelques groupes anglophones (Ramstein chante en allemand et ne parle même pas anglais! Z'ont eu besoin d'un traducteur) qui attirent beaucoup de monde et permettent la vente de macarons (50$) qui viennent financer les groupes et chanteurs québécois qui attirent moins de monde
Archives de Vigile Répondre
17 juillet 2010Je sais je suis probablement hors circuit, complètement dépassé, mais enfin c'est qui ça les black eyed peas... ?
Première fois de ma vie que j'entends ce nom. Et il y a 100 000 personnes qui se sont précipitées sur les Plaines ?
Labeaume et Gélinas ont une longue, très longue carrière devant eux. Et Marianne Tremblay itou.
Archives de Vigile Répondre
17 juillet 2010Grâce à quoi ? Leur journal le plus important (le plus lu) est La Vanguardia, un journal monarchiste, nationaliste, de centre-droit, et supporteur du parti conservateur chrétien, Convergence et Union. Ce journal fut capital pour le rassemblement des ce million de Catalans.
Nous, ici, le mouvement indépendantiste est envahi par la gauche radicale, supportée par une des journaux les moins lu, Le Devoir. Un nationalisme radical républicain, cosmopolite, anti-chrétien, anti-ethnique.
Le succès du couple Vanguardia-Convergence et Union est leur ouverture aux idées progressistes de gauche et aux propositions autonomistes. Mais ce qui rejoint la population catalane globalement c'est sa position identitaire forte.
Rien de tel ici.
Archives de Vigile Répondre
17 juillet 2010Y'avait 5,000 personnes hier soir au Pigeonnier pour voir Maxime Landry, grand gagnant de Star Académie (il a ouvert avec la version francaise de Sound of Silence!)
Pis y'avait plus de 100,000 personnes (record absolu du Festival d'Été) sur les Plaines pour voir les Black Eyes Peas...
Vox Populi
http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/dossiers/festival-dete/201007/17/01-4299064-black-eyed-peas-piste-de-danse-a-ciel-ouvert.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B4_en-manchette_2238_section_POS1
http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/dossiers/festival-dete/201007/17/01-4299066-festival-dete-pot-pourri-landry.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B4_en-manchette_2238_section_POS2
Archives de Vigile Répondre
17 juillet 2010Les fachos adéquistes et conservateurs ont produit une cassure de génération à Québec. Cette cassure est dangereuse à plus d'un point de vue. Elle résulte d'une incapacité de notre génération à transmettre ses valeurs à celle des 20-35 ans.
Quelles sont ces valeurs? Ce sont celles que l'autre existe, que nous vivons dans une société et que la liberté des uns finit où celle des autres commence.Ce sont nos valeurs de défense de notre identité, de notre culture et de notre langue, de l'amour du français. Ce sont nos valeurs sociales-démocrates et notre pacifisme. J'en entend déjà conspuer et nous dire que nous avons hypothéqué leur avenir. Ils sont la première génération à avoir profité pleinement des soins de santé et d'éducation qui font d'eux la génération la plus instruite dans toute l'histoire du Québec et leurs enfants bénéficieront d'un système de garderie unique en Amérique du Nord. Je trouve leurs critiques injustes.
Leurs valeurs à eux parlons-en! Tout doit être festif. L'autre n'existe pas. Ils ont toujours raison. Ils ne peuvent souffrir la moindre contrariété. Ils savent tout et ne veulent pas apprendre.Ils ne lisent pas, n'écoutent pas la radio préférant s'abrutir en permanence l'écouteur entre les oreilles. Ils ont le téléphone portable en permanence dans les mains on ne sait pourquoi comme s'ils étaient des automates téléguidés.Vous leurs parlez et ils ne répondent pas. Ils sont archi-individualistes et matérialistes. Ils n'argumentent pas; ils rouspètent de façon constante et surtout lorsqu'ils ont tort.Ils ne veulent aucune loi, aucune règle. Voyez-les nous montrer le doigt au volant de leur voiture lorsqu'ils ne font pas les arrêts ou nous dépassent à 140 sur l'autoroute.Je suis représentant depuis 25 ans et le constate chaque jour.Dès que vous leurs indiquez qu'ils ont tort, ils entrent dans des colères violentes et vous envoient carrément chier.
Alors après cela, comment voulez-vous qu'ils ne deviennent pas un terrain fertile à la radio-poubelle qui n'est autre chose que le haut-parleur des démagogues,des affairistes et des militaristes de tous acabits. Cette radio-poubelle qui véhiculent jours après jours le discours de l'enfant-roi. Il faut voyager pour voir que la ville de Québec constitue un cas d'espèce.C'est épeurant!
Archives de Vigile Répondre
16 juillet 2010Bravo pour votre beau et bon texte. Les demi-civilisés et demi-instruits radios poubelliens de Québec adeptent du "marché" méritaient tout à fait vos propos voltairiens.
Archives de Vigile Répondre
16 juillet 2010La nouvelle mouture gélinesque du Festival d'Été de Québec est à détruire le tourisme américain et canadien-anglais qui venait à Québec parce qu'il y retrouvait un petit peu de la France, un petit peu de l'Europe.
Qui ne se souviens pas de ces gens du Connecticut, du Rhode Island et de l'état de New-York qui avait la chance de baigner dans cette ambiance de la francophonie, une véritable immersion pour eux. Ils se promenaient comme nous d'ailleurs d'une scène à l'autre pour entendre des artistes du Sénégal, du Liban, de Belgique, de France et du Québec qui étaient tous unis par une langue commune.
Imaginez leur surprise lorsqu'ils débarquent à Québec et qu'ils entendent durant 10 jours chanter en anglais. Je pense qu'ils ne reviendront plus parce qu'ils ne retrouveront plus cet émerveillement qui était le leurs lorsqu'ils choisissaient de passer leurs vacances ici.
Quelle tristesse!
Archives de Vigile Répondre
16 juillet 2010Ouf!
J'espère au moins que ça vous a fait du bien. Car voyez-vous, votre cours d'expression littéraire, même réussi à 100%, ne vous aura peut-être pas mérité de nombreux lecteurs jusqu'à la fin. Sans vouloir vous offenser, qui écrit encore comme ça depuis le XVIIe siècle? Les phrases complètes perdent désormais le lecteur, même en France.
D'aller tenter d'admonester de la sorte, de vive voix, de simples mercenaires de la clique labeaumienne relève de l'instinct suicidaire... Nous sommes une dizaine de peuples en lutte au monde qui cherchons à nous faire entendre au niveau international, pour éviter l'extinction. Des groupes organisés tentent de réunir nos forces en vue d'une plus grande efficacité d'action. L'expérience prouve qu'il faut économiser ses munitions. Ne pas tirailler ainsi par initiative isolée. Ça use le moral des troupes et ça vend la mèche à l'ennemi qui se sert de nous comme informateur innocent.
Por favor, voyez les Catalans, sur la Grande Place à Madrid le 10 juillet: un million! Ils ne se sont pas tous fait pousser à coups de matraques dans le panier à salade comme les quelques Québécois insultés à Toronto, purs veaux sacrificiels.
Le NOMBRE, voilà ce qu'il nous manque, descendants de Nouvelle-France et associés.