Le cha-cha-cha des convergents

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Lisée «tend la main, comme d’habitude, pour rien»





Allégeons quelque peu l’atmosphère puisque cela est encore possible en cette ère de censure latente et d’épuration politique.


Retournons à la chronique du pays qui se fait et se défait au rythme de la «convergence» des increvables forces souverainistes.


Non, ne riez pas. Ne pleurez pas non plus. L’idée du pays tient toujours. Ça reste une idée, mais c’est déjà mieux que rien. Surtout au PQ où bientôt, au départ de Martine Ouellet, on choisira entre le deuil ou le 5 à 7...


Danse


Chez Québec solidaire, c'est le quant-à-soi habituel. On flaire qu’un vent nouveau donnera bientôt l’élan qui manquait aux partisans de la dépense humanitaire.


Méchant problème pour le PQ qui n’a de cesse de jouer de la harpe sous les balcons solidaires.


Car pour converger, il faut être deux. La convergence, c’est comme la danse. Mais d’après ce que l’on voit depuis deux ans, on doit parler de cha-cha-cha même s’il n’y a pas encore de musique. Deux pas vers l’avant et vers l’arrière, des pivots et des jeux de jambes...


Dans Gouin, les célèbres «forces souverainistes» se la jouent plutôt en chiens de faïence.


Le fric...


Chef du club optimiste, Jean-François Lisée voit tout de même une occasion de plaire. Il tend la main, comme d’habitude, pour rien.


Françoise David étant abonnée à la pension de vieillesse, l’establishment solidaire veut son propre chemin des victoires.


Surtout dans Gouin où les fédéralistes sont moins à battre qu’à dénombrer. Peut-être ont-ils d’ailleurs tous disparu! On dit qu’il y a là-bas plus d’ambiance au jour du Souvenir qu’à la fête du Canada.


La vérité est que QS n’a pas besoin du PQ. Quant au PQ, s’abstenir dans Gouin aurait l’avantage de ne pas lui coûter un sou. Ça montrerait un esprit de conciliation, mais, en vérité, ce serait surtout une bonne nouvelle pour son comptable...




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