La place du français aux JO de Vancouver: c'est quoi le problème?

Tribune libre

Le Canada est un pays anglais et multiculturel. Quoi? Vous en doutiez?
Cessons de demander à genoux aux Canadians de respecter le français dans leur pays faussement bilingue.
Pour assurer la pérennité de ce que NOUS sommes, dont notre langue nationale, le français, il n'existe qu'une solution: faire du Québec un pays libre et indépendant de langue française.
Cessons de NOUS plaindre et déclarons notre indépendance par un vote majoritaire de notre Assemblée nationale!
Pour un pays bien à NOUS, pour NOUS et par NOUS, joignez les rangs du P.I.
Éric Tremblay
Chef du Parti indépendantiste
www.parti-independantiste.org


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9 commentaires

  • Jean-François-le-Québécois Répondre

    18 février 2010

    @ Héléna:
    Je vais me permettre un petit rappel (quitte à ce qu'on me trouve politiquement incorrect)...
    «L’insignifiance des protestations de Charest...»
    John James MacDonald Charest, de son vrai nom, peut bien trouver le fait français d'importance relative. Car après tout, même s'il a tenté de le nier, son vrai nom, ce n'est pas Jean; c'est John!

  • Archives de Vigile Répondre

    17 février 2010

    Ce courriel reçu d'un ami :
    "J'ai entendu le massacre de l'hymne national du cacanada aux Jeux des Anglais...ça m'a donné le goût de devenir citoyen du côté obscur de la lune....ne jamais être associé de près ou de loin à cette connerie....
    Entendu aussi certains commentaires de représentants du peuple de couillons à propos du français aux jeux :''...Pas faire une tempête dans un verre d'eau''... "Après tout la langue (quand elle est française ) ce n'est pas si important..''Une pacotille comparer à la réussite des jeux''. L'insignifiance des protestations de Charest et des pépéquistes...je ne m'étends pas plus sur le sujet ...j'ai peur de devenir complètement sénile, fédéraliste ou anglais.... ça doit ben s'atrapper c'te c... de bêtise humaine.......
    Falardeau me manque...."

  • Archives de Vigile Répondre

    17 février 2010

    « Les Québécois sont plus intéressés par leur vie individuelle que par leur destin collectif. » par Carole Beaulieu, rédactrice en chef de L'actualité
    L'ancien premier ministre Lucien Bouchard croit que le Québec doit embrasser un nouveau rêve, trouver «le tremplin de notre nouveau départ». Mais ce n'est pas la souveraineté: ce projet n'est pas une solution puisqu'il n'est pas réalisable.
    Lucien Bouchard participait à un forum sur les 100 dernières années de vie politique au Québec, organisé à Québec le 16 février 2010, par l'Institut du Nouveau Monde dans le cadre du centenaire du Devoir.

  • Archives de Vigile Répondre

    16 février 2010


    La vérité qui fait mal à une très petite minorité.
    Une très forte majorité de québécois ne veulent pas sortir le Canada du Québec.Les convaincus peuvent continuer d’en jaser entre eux.Ça ne changera rien à la situation.
    Une élection (2013 ou 2014) ça se gagne par du travail de terrain,rue par rue,électeur par électeur,dès 2010.De manière underground.L’ennemi n’ayant rien vu venir à sa défaite.

  • Maria Teresa Pérez-Hudon Répondre

    16 février 2010

    Tres bien Eric!
    ''Cessons de demander à genoux aux Canadians de respecter le français dans leur pays faussement bilingue.'' Plus clair que ca, tu meurs!
    Il n'y a d'autre solution que l'INDÉPENDANCE!
    Maria Teresa Pérez-Hudon

  • Archives de Vigile Répondre

    16 février 2010

    Les lecteurs qui fréquentent ce présent site, sont sûrement très majoritairement convaincus de ce que vous dites. Cependant, il est inacceptable que les militants indépendantistes se divisent entre eux car c'est faire le jeu des fédéralistes. C'est un devoir que nous avons de nous réunir, nous n'avons pas le choix. Pour le moment, ce qui est important n'est pas d'avoir raison sur les autres mais bien d'être avec les autres. Un seul parti indépendantiste au Québec finira bien par avoir le dessus sur la corruption libéro-conservatrice fédéraliste dictatoriale. Alors, empressez-vous de vous enfermer dans un "lac à l'épaule" avec l'obligation d'en sortir qu'une fois unis.

  • Jean-François-le-Québécois Répondre

    16 février 2010

    @ Éric Tremblay:
    «Cessons de NOUS plaindre et déclarons notre indépendance par un vote majoritaire de notre Assemblée nationale !»
    C'est que malheureusement, en face, tout en ne nous aimant pas, ils ne veulent pas nous laisser partir. Nous sommes prisonniers, pour le moment.
    Il faudrait d'abord l'élection d'un parti indépendantiste, puis une déclaration unilatérale d'indépendance.
    Car autrement, ils trouveront encore un moyen de nous voler un référendum, comme en 1995.

  • Ouhgo (Hugues) St-Pierre Répondre

    16 février 2010

    Monsieur Tremblay,
    Personne ne peut contredire votre affirmation: "Pour assurer la pérennité de ce que NOUS sommes, dont notre langue nationale, le français, il n’existe qu’une solution : faire du Québec un pays libre et indépendant de langue française."
    Si nous voulons des Jeux en français, devenons pays éligible et tenons les Jeux, s'il reste quelque intérêt à cette orgie de la consommation.
    Comment devenir ce pays? Le PQ ne le proposant pas, il ne pourra le faire une fois élu. Au PI d'exercer sa séduction auprès d'une nation dénationalisée à dessein...

  • Archives de Vigile Répondre

    16 février 2010

    Avis à tous les propriétaires de "guenilles rouges" qui veulent s'en défaire (Est-ce que ça vous rappelle certaines paroles de Bernard Landry?); faites-les parvenir au RRQ, eux, ils sauront quoi faire avec elles.
    André Gignac le 16/2/10