La haine des hommes

29c7776dea35cb25bc7521417f14f039

Le délire écolo-féministe de la gauche québécoise


 Je voudrais revenir sur deux textes qui ont été publiés dans La Presse hier.  


 Le premier : « Les garçons à l’école des femmes », d’Anne-Emmanuelle Lejeune, « enseignante et féministe universaliste ».  


 LES GARS SE PLAIGNENT POUR RIEN  


 En voici des extraits.  


 « Je suis stupéfaite par le nombre d’articles truffés d’hyperboles sur les difficultés scolaires des garçons.  


 « En réalité, l’école ne broie pas les garçons. Je vois autant de filles en mal d’école que de garçons.  


 « Adapter l’école aux besoins et intérêts des garçons fait partie de solutions qui amenuisent les problèmes des filles et qui nuisent à l’égalité entre les sexes.  


 « La réussite scolaire serait entravée par une certaine identité masculine.  


 « Le Québec est aux prises avec un discours masculiniste organisé, présent dans les médias de masse, qui retient l’attention de certains faiseurs d’opinion et de responsables dans les milieux scolaires. »  


 En d’autres mots, il est faux que les garçons tirent de la patte à l’école.  


 Tout ça est une invention des masculinistes.  


 Les gars se plaignent la bouche pleine.  


 LES GARS SONT MÉCHANTS  


 Deuxième texte : «Ta génération sera implacable», du documentariste Hugo Latulippe qui s’est présenté pour le NPD aux dernières élections.  


 En voici des extraits.  


 « J’ai l’impression que la transition écologique de notre économie sera opérée par des femmes. Je pense que les hommes sont trop ontologiquement liés au système qui nous dévore.  


 « J’ai été entouré de femmes durant cette campagne et cela m’a profondément inspiré. Je pense bel et bien que vous êtes mieux placées pour enfanter une pensée adulte et bienveillante à l’heure des changements climatiques. »  


 En d’autres mots, le monde sera sauvé par les femmes. Car les hommes sont des tapons égoïstes incapables de faire preuve de compassion et d’avoir une pensée adulte.  








Sophie et Richard ne sont pas bons aux fourneaux, mais ils savent cuisiner leurs invités! Invitez-vous à la table de Devine qui vient souper? une série balado originale.





 « Il faut sortir de la masculinité », écrit Hugo Latulippe (qui, à ce que je sache, est un homme, à moins qu’il ait des nouvelles à nous annoncer) à la fin de son texte.  


 Ça a le mérite d’être clair.  


 HARO SUR LES HOMMES  


 Tout ça dans une seule journée.  


 On est chanceux, il y aurait pu aussi y avoir un texte de Martine Delvaux, cette féministe qui passe son temps à vomir sa haine et son mépris des hommes.  


 Si un homme hétérosexuel disait le quart du tiers du dixième de ce que dit Martine Delvaux sur les hommes à propos de n’importe quelle minorité, il serait barré des médias à vie.  


 Mais madame Delvaux, elle, est invitée partout.  


 Faut croire que le sexisme est répugnant, sauf quand il vise les hommes.  


 Que le racisme est dégueulasse, sauf quand il vise les blancs.  


 Et que dévaloriser un individu sur la seule base de son orientation sexuelle est horrible, sauf quand on cogne sur un hétéro.  


 Ben coudonc.  


 BALANCE TON VIEUX  


 Récemment, sur les ondes de QUB radio, le politologue Christian Dufour m’a dit qu’il avait participé à un débat sur la réforme du mode de scrutin.  


 La jeune femme qui débattait contre lui n’avait pas beaucoup d’arguments, m’a-t-il dit.  


 Pour discréditer la position de Christian Dufour, elle lui a donc dit que « de toute façon, il pensait comme un homme blanc de plus de 50 ans ».  


 Voilà. Nous en sommes rendus là.  


 Nous vivons une époque formidable. 


  




 


 

 


 


 






-->