L'islam libéral

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Pee-Wee jusqu'au trognon





Sept Québécois ont été tués en Afrique par des terroristes. Le Québec est sous le choc. Alors que la nouvelle faisait la manchette partout, le premier ministre du Canada, toujours dans le rôle de Saint-François-d’Assise, est allé faire un tour dans une mosquée.


Une mosquée qui avait été la cible d’incendiaires. C’est pour réconforter les musulmans que le premier ministre du pays s’est rendu là, ce dimanche.


Cet attentat l'avait bouleversé et il avait promis de faire du Canada «des communautés plus acceuillantes, plus ouvertes, où vous serez chez vous».


En septembre, portant l'habit traditionnel musulman, M. Trudeau est allé prier dans une mosquée de Colombie-Britannique. Il avait dit alors que les valeurs du Ramadam étaient des valeurs canadiennes. Autrement dit, l'islam aussi est libéral...


Mais on devrait le voir à Québec, à Laval, réconforter les familles de ceux qui sont morts. Morts en tentant de faire le bien. Morts aux mains de barbares contaminés par l’islamisme radical.


Sept morts, ça vaut bien une mosquée incendiée...


On dira qu’il faut faire la différence entre l’islam et l’islamisme. D’accord, mais quelle différence? L’islam est une religion qui inculque la soumission. La soumission des femmes d’abord. Une religion qui les force à l’absence. À l’exclusion de l’espace public. C’est pour ça qu’en Grande-Bretagne, on ne tolérera plus que les femmes musulmanes ne parlent pas l’anglais.


Un des imams de la mosquée où est allé notre rigolo PM a tenu des propos bien pires que ceux qu’a pu dire le pauvre Marcel Aubut durant toute sa carrière.


D’ailleurs, cette mosquée fait de l’enseignement religieux. Elle enseigne le Coran, à des enfants et à des adultes. Pas en anglais. En arabe. Ça donnera quoi ça dans vingt ans? Des ghettos comme en Belgique, comme en France, comme en Hollande. Des sociétés fracturées où les tensions sociales fleurissent dans la haine prônée par la même religion dont les factions dévastent la Syrie, l’Irak, le Yémen, etc. L'islam carbure à la soumission; trouvez-moi une démocratie en ces pays.



Le Canada ne sera pas épargné parce qu’il est dirigé par un sentimental... amateur de lieux communs. Condoléances, phrases d'usage, du vent dans le vocabulaire...

Il dit quoi notre PM lorsqu'on lui demande si le Canada ne devrait pas poursuivre les attaques contre les islamistes radicaux en Syrie ou en Irak?


Il ne répond pas. Comme pour le déficit.... Il fait des bulles. «C’est un moment extrêmement difficile pour eux et pour le Canada»...


Qui ça eux? Les familles, les amis, les proches, les gens ordinaires qui ne prient pas à l’autel du multiculturalisme et qui n’en reviennent pas de voir leur PM jouer de la harpe avec les mots?


Femmes agressées par centaines en Allemagne, en Suède, en Suisse, en Autriche. Partout où affluent les réfugiés. Tiens donc, l’amalgame serait-il indéniable? Bien sûr qu’il l’est! Et nos élites sont incapables d’en parler... Idem pour Justin Trudeau.


D’ailleurs la télévision d’État a pris des jours avant d’en parler. Quant aux intellectuels et aux habituels commentateurs, préférant parler seuls, ils évitent le débat sur ce sujet...


Enfin, qu’est-ce qu’il dit, Saint-François-D’Assise, quand on lui dit que les gens estiment que le Canada n’en fait pas assez pour lutter contre les terroristes islamiste?


Il ne dit rien, il fait des bulles.


«Nous allons faire tout ce qu’on peut»... «Nous allons nous engager de manière intelligente et de façon responsable et... euh, enthousiaste!»...


Il aurait un «plan militaire»... Il ne dit pas lequel mais le sait-il? 


En attendant, les fous d’Allah tuent partout. En Europe, en Asie, en Afrique. L’islam est en guerre. Contre la civilisation occidentale. L'islam déploie ses frappes partout. Il s'épanouit dans l'instabilité qu'il crée...


Nous, on est ailleurs, dans une sorte de «no man’s land» théorique, à attendre que ça nous pète à la gueule.


Pendant ce temps, notre PM va à la mosquée. Il enlève ses souliers, se soumet aux règles...


Devant le danger, on a l'air de jouer aux cons...




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