Impôt aux « riches », pourquoi?

Tribune libre

Impôt aux « riches », pourquoi? L’un de mes correspondants m’a posé la même question. Ma réponse va comme suit : Bonjour Monsieur… Le Québec a deux têtes, la plus grosse empêche la seconde de se développer. Ça ne pourra se faire que dans un Québec indépendant. Charest a remplacé la plupart des revenus des Québécois par des dépenses. La perte de 50 milliards de la Caisse de dépôt n’a pas pu être récupérée en deux ans, dans des placements, perdre 50 milliards c’est facile, mais les récupérer aussi vite qu’en un an, c’est tout à fait farfelu. On découvrira probablement un jour que Charest a liquidé une bonne partie de nos actifs les plus rentables en un jeu comptable afin de donner l’impression d’un renflouement de caisse. Les 150 milliards $ d’origine de la Caisse de dépôt ont été ramassés grâce à Pariseau qui a fondé la Caisse afin de ne plus avoir à emprunter à l’étranger pour construire nos grands travaux. Comme ce fut le cas pour construire la Manic ou Lévesque a dû emprunter à New York les milliards qu’Ottawa refusait systématiquement de débloquer. Charest a travesti les objectifs québécois de la caisse dans des projets à risque et volontairement étrangers à nos intérêts. Dans le protocole d’entente du traité de l’approche commune, Charest nous exproprie de nos territoires cédés aux Amérindiens. Comme les Amérindiens sont sous la tutelle d’Ottawa, nos territoires deviennent fédéraux et nous tous devenons des squatters chez nous, c’est l’équivalent d’Hitler qui envahi la Pologne ou la France sous Pétain, on ne tardera pas à s’en rendre compte bientôt, par exemple tous les actifs de notre Hydro se retrouvent sur des territoires qui nous ont été retirés, ils tombent sous la gestion des fédéraux, Dans le plan nord, nos territoires étant devenus fédéraux, Charest impose l’anglais dans le nord et n’autorisera que 25 % de parlants français sur nos territoires, en plus, il nous fait payer les travaux d’infrastructure sans aucun retour sur notre investissement, une très mauvaise affaire. C’est un vol par détournement et conditionnement médiatique des citoyens désinformés. Pour Gentilly 2, outre les milliards du coût de réfection, Charest savait depuis plus d’un an déjà que la centrale nous coûterait plus de 250 millions par années en déficit d’opération. C’est-à-dire que l’électricité produite se fera aux dépens de centrales conventionnels qu’on devra fermer à cause des surplus. Une centrale nucléaire ne peut pas être économiquement arrêtée. C’est un gros éléphant blanc à la Mirabel. Cessons les dépenses, une météorite importante qui tombe dans les environs immédiats de la centrale causerait des dommages pires que ceux de Tchernobyl. Jouer au nucléaire, c’est se prendre pour Dieu, les déchets prendront 25,000 ans pour se dégrader de moitié seulement. C’est un cadeau empoisonné à laisser à nos enfants. Charest a détruit la plupart de nos rapports de forces nous permettant de progresser économiquement, en commençant par notre culture. C’est elle, la culture qui protège nos actifs, si on laisse l’anglais continuer de nous envahir, on perd nos droits au profit de l’autre culture, ex. À l’arrivée de Charest, la dette du Québec était de 138 milliards de dollars, aujourd’hui, notre dette est de 253 milliards, c’est hallucinant et planifié dans des investissements qui n’ont rien à voir avec nos intérêts communautaires et sociaux. Charest à redistribué nos richesses au privé, par exemple, Charest à abandonné nos droits sur l’exploitation nos ressources hydrauliques. Les centrales de Rio Tinto Alcan créent une perte de rapport de force pour nous, ainsi, RioTinto peu maintenir un lock-out ou une grève tout en nous revendant notre énergie. À Alma, la grève a rapporté 50 millions à la Compagnie en vente de surplus, rachetés par l’Hydro. Ce sont donc tous les Québécois qui ont fait les frais de la grève des employés. Pire, quand il y a des surplus d’électricité, l’énergie est perdue parce que non utilisée. Charest a distribué l’électricité produite à bon marché à ses amis, c’est celle des vieille centrale à 4 ou 5 cents le kilowatt. Les nouvelles centrales comme la Romaine nous coûtent 11 à 14 cents le Kilowatt, on doit donc s’attendre à voir doubler voir tripler nos comptes d’électricité, ces augmentations sont des subventions directes aux amis corporatifs et une réduction du pouvoir d’achat de tous les citoyens. Monsieur, si l’on s’occupait tous nos affaires en protégeant nos avoirs contre l’envahisseur, la question des impôts aux mieux nantis ne se poserait même pas. On baignerait dans les surplus au lieu de déficit. Monsieur, seulement sous l’île d’Anticostie, il y a pour 4000 milliards de réserves de pétrole. De quoi donner congé d’impôt à tous nos citoyens, l’école gratuite à tous nos enfants de la prématernelle au doctorat et liquider nos dettes en seulement quelques années… En voulez-vous des projets après cela… Je m’arrête là… Pour la suite, lire http://saglacweb.blogspot.com, des centaines de textes explicatifs vous y attendent, recherchez entre autres : La dette du Québec en direct http://www.ameriquebec.net/actualites/2009/12/14-vivre-libre-ou-disparaitre.qc http://saglacweb.blogspot.ca/2012/02/rien-ne-se-perd-rien-ne-se-cree.html http://www.ameriquebec.net/actualites/2011/05/19/trensquebec-un-monorail-revolutionnaire-base-sur-le-moteur-roue-6209.qc Et bien d’autres. En conclusion, si on veut que la baignoire se remplisse, il faut remettre le bouchon. Merci d’être là. Jean-Pierre Plourde. http://saglacweb.blogspot.com



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3 commentaires

  • Jean-Pierre Plourde Répondre

    18 octobre 2012

    Réponse à M. Frédéric Mercier
    C'est un gros contrat de vous faire comprendre tous les méandres de l'évolution de la planète, en voici un résumé.
    Je vous invite en premier lieu à comprendre le fonctionnement de l'organisation de toute société dite normale.
    Pour qu'une société se développe elle doit avoir le contrôle de son territoire définit par des frontières reconnues par ses voisins.
    Lire le court texte suivant:
    http://www.ameriquebec.net/actualites/2009/12/14-vivre-libre-ou-disparaitre.qc
    J'ai un texte en préparation qui démontre que le problème de l'expropriation des peuples est beaucoup plus étendu que celui représenté par le graphique du double triangle que vous aurez lu dans le texte précédent.
    En fait dans le schéma Canada-Québec du texte précédent, il existe une autre entité, internationale celle-la, qui agit et implique toute la population planétaire par ses actions et décisions. Le déversement de 1 milliard de litres de pétrole dans le gulf du Mexique implique la faune et tous les habitants de la terre, les lobbys des pétrolières et de nos gouvernement devraient tous être surveillés par l'ensemble des citoyens de la planète parce que nous en subissons les conséquences, voir:
    http://saglacweb.blogspot.ca/2012/02/rien-ne-se-perd-rien-ne-se-cree.html
    Je suis donc favorable au phénomène de la révolution spontanée du type "Printemps Étudiants" au Québec. Les élus doivent sentir qu'ils sont sous surveillance et que le patron c'est le peuple et non pas l'élu.
    L'éducation doit devenir indépendante de l'état et à l'abri des interventions médiatiques de l'état. Un mécanisme de contrôle citoyen devrait en assurer la direction culturelle de ceux qui ont construit cette nation. La culture francophone au Québec est seule garante de la sauve-garde de nos actifs. On doit reprendre nos avoirs et mettre à la porte les Sabia et autres membres des conseils d'administration de société d'état qui ne nous ressemble pas culturellement, sauf bien sur pour les succursales étrangères ou la gérance est bilingue et sous le contrôle de la maison mère.
    Un état doit protéger les intérêts de ses habitants comme les droits culturels et le respect des droits de propriété des habitants qui ont développés les territoires, c'est ce que René Lévesque a chercher à nous inculquer avec l'Hydro-Québe et qu'on a pas encore compris. Ce respect, Ottawa est en train de le détruire au Québec....
    Cette troisième entité s'appelle le groupe "Bilderberg", un troisième triangle s'ajoute qui englobe les deux premiers en une figure hiérarchique "Builderberg-Canada-Québec", ou, plus généralisé, "Builderberg-Pays-Province". Les citoyens du monde, qu'ils soient Canadiens ou Américains sont dans ce processus sans le savoir. Nous nous dirigeons vers l'éclatement des fédérations. elles sont le résultat de la destruction de la "con"fédération à l'origine de la création de la première, avec la fédération des états, disparait le respect du partenariat des états membres. Aucun état n'a le droit de retenir prisonnier un état membre contre son gré comme le fait médiatiquement et par tricherie Ottawa contre Québec.
    Si ce mécanisme de dépossession mondial n'est pas arrêté, on court vers des problèmes sociaux mondiaux pouvant aller jusqu'à la troisième guerre Mondiale.
    Sur la planète, la diversité culturelle est garante de la diversité des opinions. Cette diversité est nécessaire afin de s'opposer aux décisions unilatérales d'élites aux intérêts strictement capitalistes.
    Sans opposition culturelle, la planète entre dans la dictature d'une élite restreinte.
    Builderberg, c'est la rencontre régulière des membres influents de la planète. Ce groupe comprend les multi-nationales, la CIA, les Poutines, Desmarais, et financiers de ce monde y sont tous membres, Google vient d'y adhérer il y seulement quelques semaines.
    C'est très inquiétant pour l'avenir des peuples. Les Bilderberg ne travaillent pas à renseigner les peuples sur le contrôle de la surpopulation parce que cette surpopulation est la source de leur profit.
    Bilderberg mettra fin à la démocratie ou les peuples contrôlent les territoires. Cette démocratie sera remplacée par une oligarchie ou le capital investi représenté par une élite mondiale restreinte aura priorité sur le droit des citoyens à disposer d'eux-mêmes. Le contrôle des territoires change de main. Le plan nord de Charest suit précisément cette direction. Une étude de L'Institut de recherche économique de Montréal le démontre très bien.
    Dans l'approche commune, Charest a nommé pour nous exproprié, nul autre que M. Yves Fortier, un avocat, président du groupe Alcan, et membre actif du groupe Option Canada lors du référendum de 1995.
    Cette nomination entre en conflit d'intérêts certain contre les intérêts du Québec et de ses habitants, la Compagnie Alcan étant un utilisateur privilégié de nos territoires. C'est lui, M. Fortier qui a reçu de Charest le mandat d'élaborer notre expropriation par le protocole dit "d'entente de principe" négocié et signé exclusivement entre sympathisants fédéraux.
    Québec devient l'équivalent de la Pologne envahi par Hitler, ou de la France sous le gouvernement Pétain, au lieu des Juifs, c'est la culture française qui est attaquée et dépouillée.
    Les accommodements raisonnables sont la suite logique de ce protocole d'entente, ils nous inculquent médiatiquement le sentiment de locataire de nos actifs.
    On nous demande de nous effacer et de faire de la place à une autre culture qui elle deviendra le gestionnaire de nos avoirs. On nous déprécie au point de se croire inférieur et incapable de survivre "seul" et libre dans un monde en pleine évolution. On nous veut soumis. Les pressions de l'apprentissage de l'anglais en bas âges est une confirmation de la perte de nos droits à se développer comme nation francophone. Ça ne signifie pas que je m'oppose à l'apprentissage d'autres langues, loin de là. Après l'apprentissage du respect de soi, c'est ma seconde priorité. Assumons nous d'abord dans ce que nous sommes.
    Le traité de l'approche commune lui-même n'est pas signé et ne le sera jamais, ce qui l'est cependant c'est ce qu'on appelle, le protocole d'entente, celui qui dit que tous les Québécois acceptent de céder leurs territoires aux Amérindiens. Après cela, la signature du traité lui-même est de la poudre aux yeux, parce que les Amérindiens sont et resteront sous la tutelle d'Ottawa, donc, en cédant nos territoires, on hérite de la tutelle que détient Ottawa sur nos territoires et ressources. Le but recherché par Ottawa est atteint. On nous exproprie.
    Tous les Québécois deviennent sans exception sous la tutelle d'Ottawa. Ottawa pourra donc annuler toute loi décrétée par nos élus Québécois, définir la langue de travail sur nos territoires ou exproprier les citoyens d'un territoire sans tenir compte des intérêts de ceux qui les ont développé.
    Dans le plan nord, Charest a décrété l'anglais comme langue de travail. Avec une telle arnaque, le trois quart du Québec sort de notre juridiction, on perd nos actifs de l'Hydro qui sont dessus, des centaines de milliards et on renverse notre démocratie d'orienté francophone pro-Québécoise vers anglophone pro-Canadienne.
    Recherchez d'autres de mes textes comme:
    http://www.ameriquebec.net/actualites/2008/09/24-montreal-le-traite-de-lapproche-commune-va-te-faire-mal-2.qc
    Promenez-vous sur mon site:
    http://saglacweb.blogspot.com
    Consultez aussi mes textes sur amériquebec.net et vigile.net
    Je ne me contente pas d'être pessimiste. Vous découvrirez plusieurs de mes textes qui indiquent quel chemin on devrait prendre tous ensemble.
    Recherchez mes textes sur le monorail, l'importance de reprendre le contrôle de nos firmes d'ingénieurs détournés par Charest vers l'étranger. La plupart furent forcées à se soumettre à des multinationale par Charest, ce phénomène à influencé les magouilles décrites par la commission Charbonneau.
    C'est un travail ardu de faire comprendre tous ces éléments à l'ensemble de la population, tout est inter-relié et mon rôle est d'expliquer comment? Quels sont les jeux d'intérêts à défendre et qui donnent un sens à la vie?
    Merci d'être là.
    Jean-Pierre Plourde,
    http://saglacweb.blogspot.com

  • Tremblay Sylvain Répondre

    2 octobre 2012

    Monsieur Plourde a raison, tous les équipements d'Hydro-Québec sur la Côte-Nord passeront sous contrôle fédéral avec le Projet de Traité de l'Approche commune, les Premières nations des réserves en cause étant elles-mêmes sous contrôle fédéral. Ce n'est pas vrai la propagande qui dit qu'ils vont s'émanciper et ne plus dépendre éventuellement du Fédéral ni de l'apport provincial; l'Entente dit tout le contraire, littéralement. Et ce n'est pas vrai non plus l'autre propagande qui prétend qu'on ne leur donne à gérer que quelques territoires qui leur seraient propres, car c'est le contrôle politique exclusif de tout le territoire des 9 bandes qu'on leur donne, ce qu'ils appellent leur Nitassinan, qui comprend tout ce qui bouge et qui grouille entre Québec et le Labrador jusqu'aux frontières des Inuits et des Cris. Avec le temps et la renégociation régulière permanente du Traité, toujours en faveur des Premières Nations, c'est écrit comme tel dans l'Entente, ces dernières vont toujours élargir leur terrain jusqu'à ce qu'il n'en reste plus du tout pour les autres.
    Dans un commentaire que j'ai déjà fait il y a longtemps à ce sujet, j'avais dit:
    - Faut-il être niaiseux pour avoir signé ça!
    Celà m'amène au commentaire de m. Mercier, pour lui dire qu'il n'y a pas de oups là-dedans. Les gouvernements qui ont signé cette entente l'ont fait en toute connaissance de cause, c'est-à-dire transférer progressivement toute la Côte-Nord, le Saguenay Lac-St-Jean et le Moyen-Nord au Fédéral par le biais des neuf bandes Innues qui les couvrent entièrement, en disant que c'est pour leur bien, ce qui est un mensonge éhonté. D'où le nom d'Approche commune, une expression à deux faces qui laisse croire à une entente commune entre les Innus et les citoyens de ces régions, pour la propagande, alors que la signification réelle est une entente commune entre l'ensemble des bandes en regard de leurs revendications territoriales face au Fédéral.
    Le jeu du Fédéral et du Provincial se fait à l'intérieur de ces balises. Profitant du fait que les Innus veulent régler leurs revendications territoriales, on y a inclu toutes sortes d'affaires qui ne relèvent plus du tout du droit et de la fierté de ce peuple ancestral du Québec. L'Entente, c'est ça, un peu des affaires que le Fédéral veut avoir, de même pour le Provincial, le reste pour les Innus et à peu près rien pour les gens, les organismes et les gouvernements municipaux des régions concernées. En fait, les Innus auront le contrôle politique de tout, les régionaux n'auront absolument rien à dire car ils n'auront aucun accès aux gouvernements des Innu assi, un gouvernement de type occupationnel comme le dit si bien m. Plourde, avec les exemples qu'il donne.
    Certains disent,
    - on s'occuppera des Indiens après l'Indépendance!
    Celà fait partie de la stratégie d'évitement des propagandistes du Projet de traité, même si ceux qui disent celà en sont complètment inconscients, car c'est une idée qu'on leur a inculqués.
    - Ceux qui sont contre l'Approche commune sont des fous, vous n'avez qu'à leur dire qu'on va s'occuper des Indiens après l'Indépendance et ça va leur clouer le bec. Pour le reste, on s'occupe de tout, vous n'avez pas besoin de lire l'Entente, de comprendre quoi que ce soit, tout est correct, on vous le dit, alors votez pour nous et tout va aller bien.
    En fait, c'est présentment que ça se passe, la négociation des modalités de l'Entente se fait toujours en cachette, ce depuis l'an 2000 et avant. si bien que c'est un simple citoyen, Russel Bouchard, historien régional, qui a révélé au monde la signature de la première ébauche en cette année-là. Alors, les affaires de "on va s'occuper des Indiens après l'Indépendance", on sait que ce n'est que de la poudre aux yeux qu'on nous fait subir de la part de gens qui ne sont au courant d'absolument rien, et qui votent les yeux fermés et le nez bouché pour les partis qui se servent justement de ces Indiens pour pour nous faire perdre ce qu'il nous reste de pays.
    Quand il ne nous restera plus que l'Île d'Orléans, si on est chanceux, pour faire la Souveraineté, ce ne sera plus le temps. C'est maintenant qu'il faut s'occuper des Indiens, et eux, c'est un peu nous, aussi, en fait. S'occuper des Indiens, c'est s'occuper de nous, de nos affaires, et il n'y a pas d'après l'Indépendance seulement là-dedans.
    En terminant, j'aimerais référer m. Mercier, le commentateur précédent, aux textes de m. Plourde qu'il essaime un peu partout depuis le début de l'affaire de l'Approche commune. C'est la principale source de renseignements, avec ceux de Russel Bouchard, mentionné plus haut. Il y a aussi Vigile, qui conserve toutes les archives de la Commission parlementaire sur le Projet de Traité de l'Approche commune, qui a eue lieu en 2003. Également, il y a aussi des mouvements d'opposition au sein même des Premières nations innues, qui ont laissé des textes, archivés un peu partout. Ceci dit, en marge de ce que répondra m. Plourde, à qui il pose la question, ce n'est pas pour répondre à sa place, juste mentionner un peu ce que j'en sais. L'apport de tous est requis, surtout quand on est peu.

  • Archives de Vigile Répondre

    1 octobre 2012

    Pourriez-vous nous en dire plus sur le traité d'Approche commune?
    On dirait qu'il n'y a que vous qui en parle.
    De quand date-il?
    Est-il signé? Si oui quand? Par qui?
    J'ai du mal à croire qu'un accident surviendrait, du genre "oups, en signant ce traité je viens de donner accidentellement les 2/3 du Québec ainsi que les barrages d'Hydro, payés par 7 millions de citoyens, à 150 000 autochtones".