Gérald Larose qualifie Harper de «danger public»

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Élection fédérale 2008 - le BQ en campagne



Estimant que la situation du français s'est aggravée au cours des dernières années, l'ancien président de la Commission des États généraux sur la situation de la langue française, Gérald Larose, s'est joint aux candidats bloquistes Vivian Barbot et Jean Dorion, mardi, pour revendiquer une fois de plus que les entreprises de compétence fédérale soient soumises à la Loi 101 au Québec.
M. Larose affirme que le français a reculé, tant au Québec qu'au Canada, depuis qu'il a tenu ses États généraux sur la situation de la langue française, en 2000-2001.
Reconnu pour son langage coloré, M. Larose ne s'est pas gêné pour s'en prendre à ceux qu'il appelle les «sépulcres blanchis», qui disent reconnaître la nation québécoise, mais refusent de reconnaître la langue officielle de cette nation dans les entreprises fédérales.
Aujourd'hui président du Conseil de la souveraineté du Québec, M. Larose a également qualifié le chef conservateur Stephen Harper de «danger public», lui reprochant ses positions sur diverses questions sociales et économiques.


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