Lysiane Gagnon y est allée d’inflation verbale envers l’action du député Amir Khadir qu’elle traite de fanatique dans une de ses chroniques. La pute de la rue Saint-Jacques qu’est la grosse Presse a toujours pu compter sur son lot de portes-queues à gage, bien servile pour diffuser l’idéologie des maîtres. Lysiane Gagnon est une ceux-là. C’est la mère supérieure de ce torchon. Mais ça grouille tellement sous la jupe de cette frustrée, que quand elle donne ses leçons de sémantique et de démocratie, on pisse dans nos culotte. Non sans blague, on croirait lire un roman Arlequin écrit par Polpot et préfacé par Idi Amin Dada en personne. Faut donc en laisser seulement et ne pas trop s’en faire avec ça. C'est d'ailleurs à se demander pourquoi il y a encore du monde qui lisent ses niaiseries?
De toute façon, c’est à ça que ça sert ce monde-là. À faire la sale besogne des autres. Ils sont le derrière qui sert de chandelier, d’où pensent-ils, la lumière de Desmarais fait reculer les ténèbres. Mais c’est dans le trou que ça s’enfonce. Un trou noir béant et grand comme celui que le César de Sagard finance en Alberta avec ses actions dans la pétrolière française Total. Ça dégouline de bitume, ça pleut le fric dans les paradis fiscaux, ça détruit l’environnement, ça se tricote des lois pour se protéger et se conforter, ça s’achète des gouvernements cash tout autant que des journaux d’ailleurs pour diffuser leurs éructations idéologiques en pensant qu’il y aura toujours du monde assez caves pour les acheter et les lire, ça refuse le droit des peuples à l’autodétermination ça appauvrit le monde, ça s’enrichit sans vergogne en même temps et ça sème la déstabilisation sociale à tout vent. Finalement, ça se fait donner des médailles de Grand Chevalier de l’exploitation et de la corruption par des ti-culs.
C’est ce monde-là qui vient traiter Amir Khadir de fanatique. Y’a pas à dire ! Cette grenouille de bénitier qu’est Lysiane Gagnon crache dans la soupe pour en faire plus, citant même le dictionnaire dans sa réplique. C’est vrai qu’à la Presse travailler « by the book » on connaît ça. On sait qui a écrit le livre des ordres courants. Ces batraciens empoisonnent l’information pour la rendre gluante, baveuse, bien dégoûtante et tordue. L’idéal c’est de se servir de ce journal que pour avoir la raie nette (sans jeu de mots).
Pour ma part, il y a longtemps que je boycotte tous ces faux-prêtres et pisseuses. Et je recommande à Monsieur Khadir ainsi qu’à tous d’en faire autant. Quand plus personne ne les lira, ils comprendront. Et entre vous et moi, pour informer, internet fait pas mal mieux que la Presse et ses chroniqueurs.