Faites la guerre, pas l’amour

E8717da94ab7cb0846cc9bf01fa88b74

Les idiots utiles nous mènent à notre perte






Le terrorisme islamiste révèle quelque chose d’étrange sur l’Occident.





Il nous agresse, mitraille des hommes et des femmes qui font la fête dans un club gay, fusille ceux qui sortent en terrasse, poignarde nos policiers et cherche à faire sauter des bombes dans les stades et les églises.


 



Mais toujours, on en trouve pour relativiser le crime. Souvent, on écrit même le mot terrorisme avec des guillemets. Par pudeur ou par lâcheté?




Les uns diront que si l’islam radical se déchaîne autant, c’est que nous l’avons provoqué.




Il faudrait comprendre notre ennemi en se demandant si nous ne l’avons pas provoqué. C’est le grand parti des repentants, des pénitents et des Occidentaux honteux.




Les autres, fascinants candides égarés dans le monde réel, répètent de manière un peu toquée qu’il ne faut pas répondre à la violence par la violence, à la guerre par la guerre.




Imagine




Pour eux, l’amour est plus fort que tout.




Quelqu’un se fait sauter devant nous en hurlant Allahu Akhbar? On lui répond en chantant Imagine ou Give Peace a Chance. Cette candeur est affligeante. C’est celle d’hommes et de femmes qui ont une conviction fondamentale: si les hommes s’entretuent, c’est qu’ils ne se comprennent pas.




S’ils prenaient le temps de se parler, ils se découvriraient semblables et voudraient élever leurs enfants ensemble, dans les mêmes parcs, en jouant à la fête des voisins.




Cette illusion qui nous promet un happy end humaniste, aussi réconfortante soit-elle, nous coupe de la réalité.




Je propose une autre hypothèse: se pourrait-il aussi que de temps en temps, plus les hommes se connaissent, et moins ils s’aiment?




C’est justement parce qu’ils maudissent à la fois notre héritage chrétien et nos libertés que les islamistes veulent nous soumettre et même nous effacer de la surface de la planète.




Nazis




Prenons l’exemple des nazis, au siècle dernier.




Ceux qui les connaissaient de loin s’imaginaient qu’on pouvait pactiser avec Hitler, qu’on s’imaginait comme un homme raisonnable, avec des griefs légitimes, d’autant que son pays avait été humilié par le traité de Versailles.




Mais ceux qui les connaissaient vraiment et qui avaient lu Mein Kampf savaient qu’avec Hitler, ils étaient devant un psychopathe génocidaire résolu à exterminer les Juifs et à étendre sa domination sur l’ensemble de la civilisation européenne.




C’est ce qu’avait compris Churchill, notamment. Il a longtemps crié dans le désert avant qu’on l’entende. On le prenait pour un ivrogne belliqueux aux ardeurs guerrières.




Évidemment, il ne faut pas confondre l’islam et l’islamisme. L’Islam est une religion honorable qui mérite notre respect même si elle s’acclimate très mal au monde occidental et ne fait pas les compromis nécessaires pour s’y faire accepter.


 


Mais l’État islamique est comparable à bien des égards à l’Allemagne nazie: nous sommes devant des hommes fascinés par le mal et emportés par une fièvre de destruction. Il inspire chez nous des vocations terroristes.


Devant un tel ennemi, il ne faut pas une comptine enfantine.




Devant lui, je propose le slogan suivant: faites la guerre, pas l’amour!



 




Laissez un commentaire



Aucun commentaire trouvé