Et si nous avions droit à une campagne du vrai monde après celle des « vraies affaires »

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Tribune libre

Cette semaine nous avons eu droit à la sortie d'une infirmière qui nous a expliqué ce qu'il se passe à son travail, suivi d'une sortie groupé des infirmières qui sont épuisé.


Réponse du docteur en chef premier ministre, qu'avez-vous a proposé comme solution, nous nous sommes dépassé par les événements.


J'attends impatiemment une sortie semblable du corps enseignant ainsi que tous les autres intervenants de notre société qui vivent l'enfer de 15 années de pouvoir libéral, de relâchement de la raison première d'un bon gouvernement, soit celle d'assuré la sécurité sociale de TOUS les citoyens qu'ils représentent et le bon fonctionnement de l'état avec une utilisation optimale des finances de celui-ci.


Nos politiciens ne semblent plus être en mesure de prendre le poul de la situation sociale du Québec. Tout ce qu'ils nous rabâchent depuis des années c'est l'économie, la création de richesse, l'argent, l'argent, l'argent. Ils ont tous ou presque la recette magique pour nous élevés au sommet du monde économiquement mais pendant ce temps là nous avons dégringolé dans l'échelle sociale car la situation ambiante partout sur la planète n'est que mensonge et tricherie. Il ne se passe une journée sans que l'on soit accablé par de nouvelles écoeuranteries totalement immorales, en faîtes est-ce que ça existe encore la morale dans une société qui a rempacé l'enseignement religieux par les sciences sociales et morales.


Des exemples de cela il y en a partout et tellement que ça devient impossible de ne pas les voirs, en entendre parler ou en être directement impacter.


Parue cette semaine dans les infos et ce n'est pas la première fois que c'est dénnoncé;


https://planetes360.fr/80-medicaments-ne-servent-a-rien-pr-philippe-even/


Et celle-ci encore relier à la santé;


http://www.rts.ch/info/economie/9298357-la-suisse-impuissante-face-a-la-collusion-presumee-des-pharmas.html


Tout cela sans parler de la dérive sexuelle de notre société avec tout ce que l'on entends, lit et voit, mais ''i yousse'' qu'on s'en va. Va-t-il falloir vivre enfermer pour être en sécurité et laisser les déviants en liberté s'entre déchirer entre eux.


Il ne faut pas seulement blâmer les gouvernements pour tout cela car comme citoyens nous avons notre très grandes parts de responsabilités pour avoir laisser faire faute de temps car bien trop absorber par nos problèmes personnels, notre ti-moi très important.


Et si tout cela était l'oeuvre d'un système d'éducation et d'instruction pas à la hauteur des attentes de la société qu'on rêve tous un peu sans y mettre le prix personnel. Car les gens qui sévissent dans notre société présentement ne sont pas tombé du ciel juste comme ça, il a bien fallu qu'ils fassent leurs apprentissages dans leurs familles respectives et nos instituts d'enseignements, donc (...).


On parle souvent d'états généraux du système d'éducation. Mais pourquoi pas des États Généraux sociétales au Québec, demandez par les citoyens à ceux qui prétendre être en mesure d'assumer la fonction de gouverneur de notre état, républicain à venir.


Nous sommes peut-être due pour un GROS changement dans les façons de faire au Québec et au Canada mais ça viendra surement pas de certains NONOS qui sévissent au pouvoir. Pourquoi sévir, bien ce n'est surement une façon louable de gouverner quand tu impose tes façons de faire et de voir les choses au lieu d'y aller par conscensus avec toute le population que tu représente. Quel pourcentage de la population avait voté pour la légalisation précipitée du canabis...quel pourcentage de la population avait voté pour l'austérité drastique des derniers trois ans et demi pour recevoir des bonbons qui ne répareront pas les dommages causés par cette façon de faire de la politique archaïque contre la population pour laquelle tu devrais être aux services.


Nous avons huit mois devant nous pour décider à qui nous allons accordé notre confiance pour les quatre prochaines années à NOUS représentés. Et pendant ces huit mois j'espère sincerement que les éditorialistes et chroniqueurs feront leur travaille de bien informer la population sur les programmes des partis politiques qui aspirent au pouvoir de façon à aider la population qui s'informe à prendre une décision éclairée. Ensuite il restera à celle-ci de lire entre les lignes de ceux-ci ainsi que les campagneux qui vont se promener partout pour solliciter notre confiance.



Mesdames et Messieurs qui aspirent au pouvoir, NOUS sommes une MINORITÉE en Amérique et la grande mode en ce moment sur la planète est de prendre la défense de celles-ci donc commencez donc par chez nous, simple question de logique, économique en plus, pas besoin de faire trop de millage pour ce faire, on est juste ici.




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7 commentaires

  • Yves Corbeil Répondre

    3 février 2018

    Une autre réflexion en lien avec nos valeurs morales pâlit et notre système d'éducation familiale et institutionnel amincit. Et je fais parti de ceux qui sont vite sur le gun pour dénoncer, mea culpa, mea culpa mais ce n'est plus suffisant, ça prends un gros coup de barre dans cabane.


    http://quebec.huffingtonpost.ca/claude-aubin/le-contrat-social-ca-donne-quoi_a_23351387/?utm_hp_ref=qc-blogues



    Vous pouvez tous les reliés car j'en ai écrit pas mal ce matin.



  • Yves Corbeil Répondre

    3 février 2018

    Une autre opinion intéressante pour la suite des choses dans l'amélioration de notre société en prévision des élections à venir. Des solutions, des idées, il y en a plein suffit de trouver les politiciens à l'écoute de leurs citoyens.



    http://quebec.huffingtonpost.ca/jacques-benoit/soigner-c-est-prendre-le-temps_a_23347105/?utm_hp_ref=qc-blogues


  • Yves Corbeil Répondre

    3 février 2018

    Quand je parle de gros changements dans notre société et spécialement avec le système d'éducation niveller vers le bas depuis des décenies c'est ce genre de suggestion dont je veux faire mention.


    http://quebec.huffingtonpost.ca/ariane-warlin/on-devrait-tous-sinspirer-des-danois-qui-apprennent-lempathie-a-lecole_a_23351932/?utm_hp_ref=qc-blogues



    Nos dirigeants dépassés par les évenements, nous demandent soudainement des solutions comme si il n'y en avait jamais eu des solutions. Ce qu'il faut retenir de tout cela, c'est qu'une grande partie de ces hommes et femmes qui se lance en politique y vont avec des intentions nobles de changements et améliorations mais que la tentation de faire durer leur plaisir du pouvoir l'emporte sur le gros bon sens qui lui n'est pas toujours populaire pour une réélection auprès de ceux qui financent la politique donc leur campagne.


    Une autre suggestion qui passera sûrement dans le beurre mais qui devrait attiré l'attention car d'actualité dans notre contexte économique très mouvant.


    http://quebec.huffingtonpost.ca/josee-scalabrini/une-vision-coherente-pour-la-formation-professionnelle_a_23351634/?utm_hp_ref=qc-blogues



  • Yves Corbeil Répondre

    3 février 2018

    Une autre dénonciation a affiché sur Vigile. On a connu une campagne fédérale passée, Si la vie vous intéresse, bien justement oui la vie nous intéresse et c'est ici présentement que ça se passe, pas en Syrie ni en Libye.



    http://quebec.huffingtonpost.ca/louise-chabot/ca-ne-peut-plus-continuer-ainsi_a_23349495/?utm_hp_ref=qc-blogues




  • Yves Corbeil Répondre

    3 février 2018

    http://quebec.huffingtonpost.ca/joannie-roy/c-est-toi-le-medecin-en-chef_a_23351676/?utm_hp_ref=qc-blogues



    Un autre pour toi mon Barrette. Et toi Couillard, je pense que nous sommes parti pour toute une campagne citoyenne, le genre de campagne du vrai monde dont toute la classe politique va se rappeler, longtemps, longtemps, longtemps.



    Lâchez pas, nous en avons encore pour huit mois à dénoncer tout ce qui fait défaut dans cette gouvernance qu'on nous a imposé.


  • Yves Corbeil Répondre

    3 février 2018

    Québec pose des limites à la solidarité sociale


    Des milliers de personnes vulnérables sont privées de la hausse de 73$ par mois annoncée par le ministre François Blais


    Le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale, François Blais, donne un chèque que la Régie de l’assurance maladie du Québec s’empresse de réclamer.
    Photo: Jacques Boissinot La Presse canadienneLe ministre du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale, François Blais, donne un chèque que la Régie de l’assurance maladie du Québec s’empresse de réclamer.


    La hausse marquée des prestations de solidarité sociale passe sous le nez de milliers de personnes handicapées.



    Le ministère du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale a haussé le 1er février la prestation mensuelle versée aux adultes ayant des contraintes sévères à l’emploi de 73 dollars. Or, les personnes handicapées hébergées par une ressource intermédiaire ou ressource de type familial n’ont pas touché un sou. C’est que la Régie de l’assurance maladie du Québec (RAMQ) a haussé de 73 $ la « contribution » exigée des prestataires de solidarité sociale pour défrayer en partie les coûts de leur hébergement.



    Tout résident — peu importe s’il a des contraintes, temporaires ou permanentes, à l’emploi ou non — continuera de recevoir l’« allocation de dépenses personnelles ». Celle-ci est fixée à 215 $ depuis le 1er janvier, soit trois dollars de plus comparativement à l’année 2017.



    « Le gouvernement donne d’une main et reprend de l’autre », dénonce Nicole David dans un entretien avec Le Devoir. Elle reproche au gouvernement libéral de l’avoir « leurrée ».



    La curatrice privée avait accueilli avec enthousiasme le Plan d’action gouvernemental pour l’inclusion économique et la participation sociale en décembre dernier. Elle croyait que son protégé, Jean-Pierre (nom fictif), pourrait dorénavant mettre de côté un montant d’argent afin d’acquitter les frais d’inscription à un camp d’été ou encore procéder à l’achat d’une paire de chaussures orthopédiques. Elle avait tort.



    Mme David a déchanté en prenant connaissance d’une lettre de la RAMQ informant que le loyer exigé à son proche, dont elle assure la protection depuis plus de 20 ans, passe de 747 $ à 820 $ par mois à compter du 1er février.



    « Nous faisons un geste concret afin de faire reculer la pauvreté », avait déclaré le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale, François Blais, à la mi-décembre, tout en pointant le Plan d’action gouvernemental pour l’inclusion économique et la participation sociale. « Grâce à l’ensemble des investissements qui sont liés à ce plan, le Québec atteindra progressivement les rangs des nations industrialisées comptant le moins de personnes pauvres », avait-il ajouté.



    « C’était de la poudre aux yeux, lance Mme David. Ça me choquait d’entendre le ministre dire cela. Avec trois dollars de plus par mois, [Jean-Pierre] ne peut pas se payer plus de choses qu’avant. »



    Jean-Pierre est « très vif », malgré une forme grave d’autisme qui le laisse muet. Le pied bot restreint sa mobilité. « Un examen du cerveau l’a laissé avec une boiterie très sévère, qui a augmenté avec les années. Il s’est retrouvé dans un fauteuil roulant — il y est la plupart du temps —, alors qu’il est né normal et courait dans les champs », relate Mme David.



    Jean-Pierre utilise son « allocation de dépenses personnelles » de 215 $ pour s’acheter des médicaments, des crèmes et des produits d’hygiène à la pharmacie. La facture oscille autour de 80 dollars. À celle-ci s’ajoutent les frais demandés pour assurer ses soins d’hygiène corporelle — rasage, coiffure — par le centre de réadaptation dans lequel il se trouve.



    « De temps en temps, il faut ajouter un montant pour acheter des vêtements et des petites affaires », explique-t-elle. Au rayon des « petites affaires », elle donne en exemple un ventilateur qu’elle a acheté puisque la chambre de Jean-Pierre n’est pas raccordée à un système de climatisation. « Il est à la limite depuis tout le temps. On ne peut pas mettre de côté de l’argent », résume-t-elle.



    Nicole David prête main-forte à son protégé lorsqu’il est temps de l’inscrire dans un camp d’été, d’acheter de nouvelles chaussures orthopédiques ou encore un nouveau manteau d’hiver. « Moi, je le paie. Il n’est pas capable de s’acheter un manteau d’hiver, sauf une affaire dans laquelle il aurait gelé. Parfois, il attend dans un fauteuil roulant sur le bord du trottoir », souligne-t-elle. « Dès qu’une affaire dépasse, je la lui paie. »



    Nicole David se préoccupe du sort des personnes handicapées sous curatelle publique, qui n’ont pas un membre de leur famille en mesure de signer un chèque lorsque la situation le commande. « [Jean-Pierre], lui, il est “chanceux” parce que je suis sa curatrice privée, mais ceux qui font énormément pitié là-dedans, ce sont ceux qui sont sous la curatelle publique. Eux, ils n’auront pas plus qu’avant. La curatelle publique ne paie pas pour des dépenses additionnelles. Donc, les pauvres vont rester tels quels », déplore-t-elle.



    Le départ de Jean-Pierre pour le camp d’été lui brise le coeur. Les protégés de l’État, eux, ne peuvent y aller, faute de moyens, fait-elle remarquer. « C’est ce que je trouve le plus déchirant », laisse tomber la dame à l’autre bout du fil.



    La Confédération des organismes de personnes handicapées du Québec (COPHAN) appelle le gouvernement libéral à entreprendre des « actions significatives », qui permettraient aux milliers de personnes vulnérables en ressources intermédiaires, en ressources de type familial et aux adultes de moins de 65 ans hébergés en CHSLD à « avoir une vie décente ». « On s’attendait à ce qu’il y ait une cohérence dans les actions gouvernementales », affirme la présidente de la COPHAN, Véronique Vézina.



    Le PQ et QS s’indignent, la CAQ étudie le dossier



    En dépit de l’« annonce en grande pompe » du gouvernement libéral, « rien ne va changer pour les personnes vulnérables hébergées dans les ressources intermédiaires », se désole le député péquiste Dave Turcotte. « Le Parti québécois, lui, va valoriser les ressources intermédiaires et l’extraordinaire travail qui s’y fait. Il va soutenir le développement du réseau, lui donner des moyens, tout en s’assurant qu’il demeure à dimension humaine », soutient-il à huit mois des élections générales.



    « Est-ce que le gouvernement libéral souhaite réellement sortir le monde de la pauvreté ? » se demande aussi la porte-parole de Québec solidaire Manon Massé. « Ce qu’il donne d’un côté aux prestataires de solidarité sociale avec le revenu de base, on l’enlève de l’autre à ceux et celles qui vivent dans une ressource intermédiaire. C’est indécent, surtout lorsque le gouvernement a des surplus. Pendant que les plus riches et les entreprises ont des baisses d’impôt, les gens les plus pauvres du Québec ne reçoivent rien », ajoute-t-elle.



    De son côté, la Coalition avenir Québec s’est abstenue de tout commentaire. « Il faut prendre le temps d’analyser le dossier », a indiqué un attaché de presse. Vendredi soir, après plus de 36 heures, la réflexion du parti politique donné favori pour remporter les prochaines élections générales se poursuivait toujours.



    Il est temps d'innonder les réseaux de façon à éveiller les consciences citoyennes face à tous ces scandales d'échelles humaines inacceptable pour une société comme la nôtre.


  • Yves Corbeil Répondre

    3 février 2018

    https://www.ledroit.com/opinions/votre-opinion/les-infirmieres-haussent-le-ton-a0855300a134dc7fee258f510c638742



    Je ne suis pas sur les réseaux sociaux mais je lis et entends quand même passablement de choses qui y circule. Et je trouve merveilleux ce que l'infirmière disait sur ''RDI Week-end'' un autre intrus dans notre langue. 


    Un mouvement comme #moi-aussi et autres de dénonciations. Un mouvement citoyens et travailleurs, enfin la sortie du peuple pour dénoncer la mauvaise gouvernance et la situation déplorable des mesures sociales négligées au fil des années et l'impact sur la sécurité physique et mentale des gens.


    Quand je disais une campagne du vrai monde, bien c'est ça que je voulais dire et j'espère que ça va se propager à tous les domaines sociaux. Personne ne va sortir pour son salaire, bien oui on en voudrait toujours plus et c'est normal, mais là n'est pas la raison du mouvement, la raison de ce mouvement est la dénaturalisation de la gouvernance au Québec.


    Où ce situe vraiment la population dans leurs prises de décisions? Comme si tous les intervenats de ces milieux-là n'avaient jamais mentionné ce qui ne va pas et ce qui pourait être fait. Fonctionnaires, ministres, premier ministre, ALLO! SOS ALLO!



    Merci à tous ceux qui ont et auront le courage de sortir pour dénoncer, vous pouvez être sûr d'avoir le support de la population car c'est nous, un frère, une soeur, un ami, un cousin, une voisine, une cousine qui sont affecté par ce phénomène sociale ambiant qu'on a subit en silence trop longtemps.



    HUIT MOIS POUR DÉCIDÉ DE LA SUITE DES CHOSES AU QUÉBEC ET AVEC QUEL PARTI.



    Le vieux dicton dit qu'on est jamais mieux servi que par soi-même, pensons-y.