Mauvaise foi

Éditorialiste au Devoir du Québec

Les incohérences du Devoir

Ee3e1efac9ffd543fa4dce61bb2e1526

Tribune libre

Environnementaliste de circonstances le Monsieur ou simplement en «devoir»



Le 28 Septembre 2018 fin de campagne.


https://www.ledevoir.com/opinion/editoriaux/537883/fin-de-campagne-coups-bas


Dernier paragraphe,



Ces attaques nous éloignent des véritables enjeux de la campagne : l’éducation, la santé, l’économie, la justice sociale et plus globalement, l’avenir de la nation. Triviales et mesquines, elles témoignent surtout de l’absence de vision des protagonistes.



Je ne retrouve pas l'environnement dans les «véritables enjeux» de Monsieur Dutrisac à 3 jours du vote.



Le 3 Octobre 2018 2 jours après qu'ils soient élus le caquistes.


https://www.ledevoir.com/opinion/editoriaux/538213/la-caq-au-gouvernement-les-defis-de-francois-legault


Au centre de l'édito,



C’est en matière d’environnement que la vacuité de la CAQ est criante, «ça frappe». À une question sur le sujet mardi, François Legault a cité son projet d’exportation d’électricité pour remplacer les centrales nucléaires de nos voisins et évoqué des mesures de protection de l’environnement sans les préciser. C’est bien court et bien vague. Les trois autres partis disposaient de plateformes environnementales étoffées. S’il est vrai qu’il veut représenter aussi les électeurs qui n’ont pas voté pour la CAQ, il aurait intérêt à s’inspirer de ces propositions, d’autant plus que sur le plan économique, la cause de l’environnement se défend très bien.



Ça commence à prendre forme son côté environnementaliste.



Le 19 Octobre 2018


https://www.ledevoir.com/opinion/editoriaux/539456/premier-conseil-des-ministres-l-obligation-de-resultat



Mieux vaut tard que jamais : nous devons saluer le fait que François Legault ait ajouté à « ses grandes priorités » l’environnement. « On a bien reçu le message de la population pendant la campagne », a-t-il dit. Souhaitons que cette tardive prise de conscience se traduise dans les faits.



Ça s'en vient et peut-être remplacera-t-il le futur député libéral fédéral à la tête d'Équiterre.



Le 24 Octobre 2018, là ça fesse dans le dash, il est soudainement devenu écologiste dans l'âme l'édito.


https://www.ledevoir.com/opinion/editoriaux/539729/legault-et-l-environnement-l-heure-du-reveil



Bien que tardif, ce réveil — osons espérer qu’il s’agit d’une prise de conscience — est évidemment le bienvenu. Il était incongru qu’un parti aspirant au pouvoir au Québec fasse l’impasse sur cet enjeu crucial.  


Eu égard aux défis que représentent les changements climatiques et les menaces à la biodiversité, la protection de l’environnement doit être au centre de l’action gouvernementale. Et puisqu’il suppose un profond changement dans les habitudes et le mode de vie des citoyens, cet enjeu de société, car c’en est devenu un, doit faire l’objet d’une mobilisation nationale que seul un gouvernement volontaire — et sincère — peut lancer.



Il faut lire l'article complet car ça semble écrit par un dirigeant de «Greenpeace»



Le 14 Novembre 2018 suivant le fameux «PACTE»


https://www.ledevoir.com/opinion/editoriaux/541271/pacte-pour-la-transition-l-enjeu-de-la-mobilisation


Une suite à cette prise de conscience.



Le 24 Novembre 2018, Oups! une attaque en règle,


https://www.ledevoir.com/opinion/editoriaux/542150/usine-polluante-a-becancour-le-naturel-revient-en-hummer



S’il se souciait vraiment de l’environnement, le gouvernement Legault éviterait de donner sa bénédiction à un projet de cette nature avant même que le BAPE ne produise son rapport. Quoi qu’il en soit, il devra nous dire comment ce projet est compatible avec l’atteinte de ses objectifs de lutte contre les changements climatiques. C’est sa crédibilité environnementale qui est en jeu.



55 jours au pouvoir et si je regarde tous les articles qui exigent, critiquent, démonisent et j'en passe la CAQ...Ouf!, une chance qu'ils ne sont pas minoritaires comme l'a été le PQ des 18 mois de 2012 à 14.



Ces bassesses dirigées ne servent-elle pas à influencer, voir programmer l'opinion publique et alimenter le «bashing» ambiant qui n'a rien de comparable à ce qu'il se passe en France, eux au moins ils savent défendre leurs convictions pendant que nous de ce côté-ci de l'Atlantique, on se les fait dicté par des éditorialistes. 


Dire que Trudeau va subventionné les médias avec nos argents, ça me laisse un goût sûre dans la bouche. On vas-tu finir par la faire cette république là.



Laissez un commentaire



Aucun commentaire trouvé