Entre la France et l’islam, la séparation devient urgente

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Il en va de même au Québec

C’était pourtant une belle histoire, qu’on nous avait racontée. Une religion d’amour, de tolérance et de paix, qui allait trouver sa place dans notre République. Des disciples qui, à en croire le M. Laïcité du PS, Jean Glavany, le 9 décembre 2011, étaient, pour « 99,9 %, viscéralement attachés à notre modèle laïque ». Et on allait vivre ensemble, dans l’harmonie la plus complète. Sauf que cela ne marche pas…


Dans les faits, notre laïcité recule, sous les coups de boutoir des revendications communautaristes musulmanes dans nos entreprises, nos écoles ou nos cantines.


Le droit des femmes régresse. La multiplication des voiles islamiques dans nos rues est de plus en plus vécue comme une agression contre nos valeurs.


L’assimilation, qui avait permis d’accueillir des millions d’étrangers qui acceptaient nos règles, n’est plus de mise. Nous avons, à sa place, la construction d’un État dans l’État, par des militants qui pensent que les règles religieuses doivent s’imposer aux lois des hommes.


Jusqu’à ce jour, les nouveaux venus n’agressaient pas les habitants du pays qui leur ouvrait les bras. Cela a changé, et chacun sait que, dans nos prisons, l’islam est la religion majoritaire, et qu’on parle de 70 à 80 % de détenus musulmans.


Ce sont toujours des Kelkal, Merah, Nemmouche, Kouachi frères, Coulibaly, Abdeslam qui tuent des infidèles, au nom de leurs textes sacrés. Et à présent, les plus radicalisés viennent égorger des policiers chez eux, et appellent à faire subir le même sort aux journalistes, aux politiques, aux juges et même aux rappeurs…


Les assassinats musulmans se succèdent. Magnanville quelques heures après Orlando, quelques semaines après Bruxelles, quelques mois après le Bataclan, un an et demi après Charlie. Et le patron de la Sécurité intérieure a annoncé à l’Assemblée nationale que le pire était à venir. Bref, la France ressemble de plus en plus, tous les jours, à la femme battue d’un mari violent dont les coups risquent de devenir mortels.


Face à cela, deux solutions. Soit on considère le mariage entre la France et l’islam indissoluble, et on continue à nous enfumer avec l’islam de France. On fait donc du Cazeneuve, et on parle d’État de droit pour justifier que des Abballa soient en liberté. On fait du Valls, qui nous raconte qu’on n’a pas de chance, mais que nos enfants vont connaître une vingtaine d’années de terrorisme avant que les choses ne se calment… peut-être. Et on continue à faire entrer de plus en plus de « migrants » musulmans en France.


Soit on applique le principe de précaution. On se sépare, pour éviter un drame, et on se partage les enfants. La France garde les siens, ceux qui considèrent la loi des hommes souveraine. L’islam emmène les siens, ceux qui militent pour la charia, dans un des cinquante-sept pays musulmans de la planète. La séparation est alors définitive. Il n’y a plus d’islam en France, pour le plus grand bonheur des amoureux de la liberté et des apostats arabo-musulmans. Dans une séparation actée, quand le mari violent refuse de partir, les forces de l’ordre interviennent.


À moins d’être résigné à ce que la France devienne musulmane, je ne vois pas d’autre solution. Plus elle tardera à être mise en place, plus le coût de cette séparation sera élevé, des deux côtés.



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