Débusquer les accointances et copinages à punir

Enquête publique - un PM complice?

Mario Laprise - «L'ancien chef de la police de New York à l'époque où Rudolph Giuliani était maire, Bernard Kerik, inculpé en 2007 de fraude et corruption, a plaidé coupable jeudi devant un tribunal.»
«Pendant les années Giuliani (1994-2001), Kerik avait d'abord été le chauffeur du maire, puis son garde du corps, avant d'être promu et de devenir chef de la police de la Ville en 2000.»

Chauffeur, garde du corps pour trôner en chef de la police de la Ville de New York! Y aurait-il erreur quelque part ou, tout simplement, un laxisme qui navigue dans la complaisance, une idéologie qui carbure à la corruption institutionnalisée?
Au moins, toute bancale que soit la société états-unienne, quand elle attrape un bandit, elle y va à fond. Sans toutefois enquêter sur l'environnement qui permet de semblables excès... Tout comme notre bon ami M. Charest qui craint comme la peste de lever le couvercle de la marmite où grouillent et gargouillent des liens et des relations qui, probablement, nous coûtent très cher, à nous, qui payons, sans broncher de très lourdes taxes et d'importants impôts. Une enquête publique pourrait peut-être nous révéler des accointances, des copinages à bannir, à punir. Qui sait?
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Mario Laprise, Québec, le 5 novembre 2009


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