Brusque fin de session pour Couillard

Les communications du gouvernement Couillard sont parfois gérées avec tellement de légèreté qu’on a le sentiment d’avoir affaire à un centre d’appels de New Delhi

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Premiers signes de déception dans son propre camp

COUP D'OEIL SUR CET ARTICLE
Philippe Couillard aurait sans doute préféré une fin de session plus favorable. Depuis l’élection du 7 avril, le nouveau premier ministre marchait sur un nuage, heureux et satisfait. L’optimisme était légitime. Les Québécois sont peu exigeants et ont applaudi de bon cœur le budget homéopathique de Carlos Leitao
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