Indépendance nationale

À toute rédemption un sacrifice est nécessaire

L'indépendance peut se faire sans le PQ

Tribune libre

La cause indépendantiste doit passer par une forme de rédemption pour regagner de l’appui et de la notoriété publique : qu’est-ce qui me fait dire une telle chose? La conclusion du Congrès de la Convergence nationale le 26 mai 2013 à Montréal, où visiblement une certaine forme de malaise était perceptible chez plusieurs devant l’absence d’un engagement profond et formel de la part du principal et, en apparence incontournable PQ et de sa chef, absente!
Mais qui dit rédemption, dit sacrifice (c’était d’ailleurs le sens de la dernière phrase de mon texte en lien d’avant le Congrès de la Convergence nationale).
Depuis qu’il a pris le pouvoir en septembre 2012, le PQ avec ses multiples trahisons, sa gouverne souverainiste avec balbutiement d’intention de modification de la constitution canadienne, avec une chef qui n’a jamais eu, n’a pas et n’aura jamais un jugement de la raison critique que tout chef d’État se doit d’avoir, le PQ est devenu le sacrifice que requiert la rédemption de la cause indépendantiste. Tout ce que l'on dit, tout ce que l'on fait, et tout ce que l'on ne fait pas dans ce gouvernement de Pauline Marois, fait un tort incommensurable à la notoriété de la cause de l'indépendance nationale du Québec.
Certains se refusent de voir ce parallèle, mais plus le taux d'insatisfaction grimpe à l'égard des contre-performances de ce gouvernement Marois (à près de 70% selon une tendance ascendante dans les sondages), plus l'appui à la cause de l'indépendance a tendance à suivre un courbe descendante. Toujours selon des sondages les plus récents, l'appui à l'indépendance du Québec oscillerait actuellement autour de plus ou moins 30%. Au printemps 2005 l'appui était à 54% alors que Bernard Landry était chef du PQ.
Grimpez dans les rideaux, criez au scandale, faites toutes sortes de pirouettes : à la fin du jour, c’est devenu une vérité qui crève le regard serein de toute personne ayant le sens du réalisme, et j'en suis.
N’invoquez pas à la défense du PQ qu’il est un gouvernement minoritaire, c’est peine perdue comme argument en ce qui me concerne : ni la CAQ ni le PLQ n’étaient (et ne sont toujours pas) en position de précipiter le Québec en une élection hâtive.
Le PQ avait (et a) toujours le loisir de défendre les idées fondamentales de son programme (à la limite de l’acceptable pour une partie de la gauche de l’électorat) tout en bâtissant une véritable « fièvre » indépendantiste, surtout avec tous les dossiers du gouvernement conservateur qui nuisent carrément à tous les québécois. Mais non, une véritable stratégie de terre brûlée est pratiquée par ce gouvernement, le plus médiocre de toute l’histoire de ce parti. René Lévesque doit être train de fumer 10 paquets de cigarettes par jour dans sa tombe de Sillery tellement c’est honteux à sa mémoire tout ce que fait le PQ depuis le 4 septembre 2012.
Je l’affirme avec force et vigueur : le PQ doit être sacrifié pour que la rédemption de la cause indépendantiste soit possible, sans quoi oublions-ça mes amis, s’en est fait de la nation québécoise comme pays indépendant!
Il est temps qu’un réveil brutal soit provoqué et c’est ce que je veux faire de manière ultime!
Il est minuit moins cinq, réveillons-nous en sortant de nos illusions!

Squared

Normand Perry126 articles

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On pourrait le décrire comme un grand passionné de communication, de philosophie, de politique, d'histoire, d'astronomie, de sciences, de marketing, de musique classique et d'opéra. Normand Perry mène une vie publique bien remplie, toujours avec des projets plein la tête et des rêves à réaliser.

Après avoir obtenu un premier diplôme universitaire en philosophie au milieu des années ’90, Normand Perry débute sa vie publique comme pamphlétaire, exprimant ses opinions librement, ces dernières étant publiées régulièrement dans les journaux régionaux, les quotidiens et divers sites Web.

Depuis avril 2004, il travaille chez [Soleil communication de marque->http://www.soleilcom.com/], agence de publicité montréalaise, où il est au développement des affaires, en veille stratégique et aux relations publiques.

Depuis juillet 2010, il s’est vu confié un projet radiophonique à [l’antenne de Radio Ville-Marie->http://www.radiovm.com/index.aspx] où il conçoit, réalise, anime et supervise le montage d’une émission portant sur l’orthodoxie chrétienne au Québec : [Voix Orthodoxes->http://www.voixorthodoxes.org/].

Sa plume va le conduire en politique active.

Après s’être fait connaître comme pamphlétaire à partir du début des années 2000 dans sa région du Suroît, il se fait remarquer, et on lui propose la présidence de circonscription au Parti Québecois dans Soulanges au début 2005. Suite à la démission inattendue de Bernard Landry en juin 2005 comme chef de cette formation politique, Normand Perry appuie d’emblée la candidature de Louis Bernard tout en s’opposant farouchement à l’élection d’André Boisclair. Lorsque ce dernier remporte la chefferie du PQ en novembre 2005, Normand Perry démissionne de sa présidence et quitte le PQ sur-le-champ.

A l’automne de la même année il se fait élire au conseil municipal à Les Coteaux dans la circonscription de Soulanges au Québec. Il se voit confier notamment les responsabilités du comité des loisirs, où conçoit et implante un programme de subvention à l’activité sportive pour les jeunes; il occupe la vice-présidence du HLM, il aussi responsable de la sécurité publique et participe activement à la fondation de la Régie inter municipale des Pompiers du Lac-St-François (fusion des services des incendies de Les Coteaux et St-Zotique).

Lors de la création du nouveau parti politique Québec solidaire en février 2006, il en devient membre et participe au congrès de fondation à Montréal. Il se porte candidat aux élections provinciales de mars 2007 pour cette formation politique dans la circonscription de Beauharnois.

Après ces quelques années en politique active, il poursuit son œuvre de réflexion pamphlétaire, notamment sur le [Blogue de Normand Perry->http://normandperry.blogspot.com/] tout comme sur Vigile et bien d’autres médias québécois





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12 commentaires

  • Archives de Vigile Répondre

    31 mai 2013

    Le PQ ne fera jamais l'indépendance et la notoriété de la cause indépendantiste devra trouver sa bouée de sauvetage ailleurs.
    Quand bien même qu'on me sorte trois mille cinq cent pages d'arguments, personne ne peut se battre contre l'écoeurement de l'électorat à l'endroit du PQ qui entraîne dans sa chute aux abîmes la cause de l'indépendance nationale, qui ne cesse de s'accentuer s'accentuer vers le bas aussi depuis le 12 septembre 2012.
    Je laisse le soin au temps donner raison à ce que j'ai écris et que j'assume entièrement!
    Faites-en ce que vous en voulez, moi je suis ailleurs tout comme Jacques Parizeau l'a fait soit dit en passant!

  • Yves Rancourt Répondre

    31 mai 2013

    Je vous remercie, monsieur Perry, d'avoir donné suite à mon commentaire. Ça me permet maintenant de mieux comprendre votre cheminement et surtout l'agressivité que vous semblez éprouver envers le PQ. Je dois dire que vous en mettiez épais sur le dos de ce parti: "multiples trahisons", "stratégie de la terre brûlée" et quoi d'autres. Et vous terminiez en disant que le PQ "doit être sacrifié", ce grand parti de René Levesque, de Bernard Landry et de Louis Bernard pour qui vous semblez éprouver une certaine admiration. Je suis sûr que les deux derniers ne souhaitent pas la disparition de ce parti, eux qui lui ont consacré tant d'années et d'efforts pour faire avancer notre cause nationale.
    En tout respect pour vous, je ne peux vous suivre sur la voie que vous proposez, soit celle de détruire et de tenter de rebâtir ensuite. Vous avez oublié que ça prend des années pour bâtir un parti crédible aux yeux de la population, surtout quand on doit se battre contre des médias hostiles.
    Mes salutations.

  • Serge Jean Répondre

    31 mai 2013

    Sommes-nous parfaits chacun de nous ?...Non!Eh bien unissons-nous dans l'imparfait de l'indicatif « Droit devant le soleil de la libération »
    Serge Jean

  • Archives de Vigile Répondre

    31 mai 2013

    Réponse à Yves Rancourt 2/2
    L'avant est situé à 1985. J'étais un nationaliste comme la grande majorité des québécois, avec un préjugé favorable sur la souveraineté.
    En 1985 j'étais depuis un an aux études à l'Université Saint-Paul d'Ottawa où je résidais.
    Deux évènements. 1- Une série de frustrations face à des "redneck" du Canada anglais à Ottawa; 2- Une rencontre avec René Lévesque qui était en tourné de lancement de son livre "Attendez que je me rappelle". Une rencontre non planifiée, ni même espérée. Je passais devant une librairie où je voyais une file de gens attendre à l'extérieur, pour apercevoir à l'intérieur René Lévesque dédicaçant son livre à des lecteurs. Je décide alors de me placier en dernier et de le rencontrer.
    Cette rencontre m'a marqué, très fortement. Nous n'avons pas eu l'occasion de bavarder très longtemps lui et moi, mais suffisamment pour que les quelques paroles qu'il m'a adressé marque ma mémoire à jamais.
    Je suis revenu au Québec l'année suivant totalement transformé: j'étais un indépendantiste et les évènements entourant le rejet des ententes du Lac Meech ont radicalisé mes positions face au ROC.
    Maintenant que je vous ai raconté tout ça monsieur Rancourt, observez tout ce que je viens de vous décrire et je vous demande: que voyez-vous aujourd'hui à la lumière de ce cheminement?
    Je vais vous le dire: un indépendantiste qui cherche là où se fera et au plus sacrant la réalisation de notre pays! Rien de plus, rien de moins.
    C'est ce que je vois à Option nationale d'abord et Québec solidaire aussi : le germe très vivant de cet espoir. Et en ce qui concerne Québec solidaire, prenez donc la peine de relire le programme "Pour un pays de projet", il m'apparaît beaucoup plus clair, plus précis et plus décidé que celui du PQ. De plus je suis depuis toujours un social-démocrate, ce qui explique ma sympathie à l’égard de QS.

    Vais-je un jour me représenter en politique active? J'en ai franchement pas le goût à la lumière de toutes les saletés qui font jour actuellement à la Commission Charbonneau et des autres saletés dont j'ai été témoins les années où j'ai milité activement dans un parti sur le terrain.
    Donc s'il y a un intérêt que je puisse avoir présentement c'est de voir la réalisation de l'indépendance du Québec. Et dans ma perspective s'appuyant sur nombre d'années d'expérience, j'affirme ne plus croire que le PQ réalisera ce projet et c'est l'unique certitude que je puisse avoir en ce moment. Et prenez note qu’une très grande partie de l’électorat au Québec a répudié le PQ à tout jamais, surtout depuis le 4 septembre 2012.
    Salutations cordiales.
    ...2/2

  • Archives de Vigile Répondre

    31 mai 2013

    Réponse à Yves Rancourt 1/2
    Monsieur Rancourt je vais vous répondre car vous avez démontré beaucoup de diplomatie et que votre propos semble dénudé de quelque forme de partisannerie que ce soit.
    Quiconque me connaît sait que je ne suis pas le genre d'individu pour cacher quoi que ce soit à propos de ma pensée et mes actions liés à la vie politique.
    Dans ma perspective des choses: ou Option nationale ou Québec solidaire ont dans leur programme respectif les assises nécessaires pour faire du Québec un pays, le «tataouinage» du PQ en moins.
    J'ai été candidat de Québec solidaire en 2007 et je ne m'en suis jamais caché d'ailleurs.
    Je fus président de circonscription du PQ de Soulanges en 2005, jusqu'à l'élection d'André Boisclair à la tête de ce parti, ce qui à l'époque avait provoqué mon divorce avec le PQ, et ce de manière très fracassante.
    Durant la campagne à la chefferie de 2005 je m'étais rangé derrière Louis Bernard, l'indépendantiste le plus transparent et le plus clair que l'on retrouvait parmi la douzaine de candidat à l'époque. On ne refait pas l'histoire, mais j'ai l'intime conviction que s'il avait été élu chef, le Québec serait un pays aujourd'hui.
    J'ai eu et aie toujours une admiration sans borne pour Bernard Landry: un patriote dont la vie publique est sans tache et dont la ferveur indépendantiste est indiscutable à mon sens. Certains péquistes en 2005 ont grenouillés pour provoquer sa sortie inattendue lors du Congrès de juin 2005: j'étais là assis face à sa tribune dans les premières rangés. J'ai reçu sa démission surprise comme une véritable gifle dont je ne me suis jamais remis d'ailleurs!
    Sauf pour la période Bouchard et Johnson à la tête du PQ, j'ai aimé passionnément ce parti, vous me comprenez bien monsieur Rancourt, je l'ai aimé passionnément!
    Et s'il y a un seul motif pour comprendre la dureté dont je peux faire preuve à l'égard du PQ aujourd'hui, c'est à cette passion de jadis qu'on doit l'attribuer. Voir ce que l'on a fait de ce parti politique aujourd'hui est une trahison en soit pour ces années glorieuses sous René Levesque d'avant la période du "beau risque", et une trahison de l'âme ou essence de sa fondation!
    Maintenant que cela est dit, je vous ai tracé dans les lignes qui précèdent, une chronologie d'aujourd'hui à hier en ce qui me concerne face au PQ.

    ...1/2

  • Yves Rancourt Répondre

    30 mai 2013

    Monsieur Perry,
    Vous conviendrez avec moi qu'il y a des gens sur ce site qui s'en prennent au PQ par pure partisanerie. Ce n'est peut-être pas votre cas mais un fait demeure, vous frappez très fort et souvent injustement sur le PQ et de plus vous avez été candidat de Québec solidaire en 2007, ce qui peut laisser planer des doutes sur vos motivations. Il est d'ailleurs difficile à comprendre que quelqu'un qui affirme aujourd'hui avec autant de force ses convictions souverainistes se soit alors joint à un parti politique aussi mou sur la question nationale. Encore aujourd'hui, on remarque d'un sondage à l'autre qu'à peine 50% de ceux qui donnent leur appui à ce parti sont en faveur de la souveraineté, contre plus de 85% au PQ et à ON. Et que dire des dirigeants de QS qui se cachent presque pour ne pas avoir à parler de souveraineté?
    Je n'ai jamais été membre du PQ mais, tout comme monsieur Le Hir et d'autres ici, je crois que la patrie est en danger et qu'il faut encore donner notre appui à ce parti aux prochaines élections, car il est encore le seul qui peut barrer la route aux libéraux et garder ouverte la route vers notre indépendance nationale.
    Salutations.

  • Archives de Vigile Répondre

    30 mai 2013

    Monsieur Pomerleau le «brand» du PQ est brûlé!
    Ôtez-vous de la tête que le PQ peut encore faire de quoi avec l'indépendance, la seule qu'il réussit à faire avec c'est de l'entraîner dans les abîmes.
    Comme je l'ai déjà dit ailleurs, ce n'est pas le PQ qui a besoin de rédemption, c'est la cause de l'indépendance nationale du Québec qui a ce besoin. Le PQ est bon pour les livres d'histoires. Et tant que le PQ sera dans le portrait concernant l'indépendance, votre et notre pays nous ne l'aurons jamais!
    C'est clair, net et précis!

  • Stéphane Sauvé Répondre

    30 mai 2013

    Monsieur Pomerleau, nous sommes sur la même longueur d'onde.
    Pas de problème avec le bateau. Quant au capitaine, il reste à espérer que vous ayez raison, et que la transition se fasse avec cette célérité, ce calme et cette sagesse que commande une xième transition au PQ
    Si il en advient ainsi, Mme. Marois sortira grande gagnante de l'aventure.

  • Archives de Vigile Répondre

    30 mai 2013

    Malheureusement M. Pomerleau, Mme Marois ne va pas préparer sa succession et elle va utiliser les idiots utiles jusqu'au bout. C'est écrit dans le ciel depuis le mois de juin 2011 que comment ça va se terminer avec le PQ.
    Mais rendu au "bout" il sera trop tard pour le PQ.
    Pour faire une comparaison, Marois dirige le PQ comme quelqu'un qui conduit une voiture manuelle sans savoir comment fonctionne une transmission. Après un moment, la transmission est foutue et les pneus son finis. Bref, vous voyez l'image... Déjà que le PQ est un vieux parti plein de carriéristes et d'opportunistes, maintenant la direction est "kapout" et les freins usés au "coton".
    Personne ne va vouloir prendre la relève du PQ. Pensez-y!

  • Jean-Claude Pomerleau Répondre

    30 mai 2013

    Votre constat porte sur les déficiences de Mme Marois à la direction du Parti Québécois, j'en suis.
    Mais de là à couler le bateau pour partir en chaloupe parce que le capitaine ne fait pas la job. J'ai un problème avec cette conclusion. Elle équivaut a redonner le contrôle de notre État aux prédateurs du PLQ. Une fatalité.
    Ce que Mme Marois va devoir faire c'est de préparer sa succession dans le calme et avec célérité.
    JCPomerleau

  • Archives de Vigile Répondre

    30 mai 2013

    Disons le franchement et clairement : l'obstacle no 1 à la cause de l'indépendance de la patrie, c'est Pauline Marois, qui non seulement se comporte de façon erratique - c'est le moins qu'on puisse dire - comme cheffe de gouvernement de la province de Québec, mais qui n'a pas la cote d'amour de la population suffisante pour gagner un référendum ni même pour faire réélire le Parti Québécois comme parti gouvernemental.
    C'est tout simplement désastreux et le mot est faible. Il n'y a que les fafans et les idiots pour ne pas s'en rendre compte.
    Mettez Pierre-Karl Péladeau à la tête du PQ - même avec ses idées de droite - et vous venez de changer toute la dynamique politique du Québec. Pour Duceppe, je suis moins sür, étant donné sa défaite flagrante comme chef du Bloc.
    Non, il me semble que le prochain chef du PQ ne doit pas être choisi parmi les politiciens professionnels, mais à l'extérieur et comme on ne peut pas faire l'indépendance sans la participation et l'adhésion de communauté d'affaires du Québec, le choix de PKP serait stratégiquement intéressant, à la condition, bien sûr, qu'il soit déterminé à mettre le cap sur l'indépendance et à ne pas perdre son temps et nous faire perdre le nôtre dans la "gouvernance" provinciale.
    Pierre Cloutier

  • Christian Archambault Répondre

    30 mai 2013

    Il était déjà minuit moins cinq en 1976....pourrait-on parler d'immobilité? Le PQ lui-même est la cause pricipale du déficit nationaliste actuel. Même chose aujourd'hui, les autres partis inclus. Je crois que beaucoup seront très surpris de voir qui à la fin sera capable de mener la tâche à sa fin.