L'affaire Tomassi - l'auge libérale que JJC veut cacher...

Un pied à la SAQ, l'autre chez BCIA



Perrino (à droite) a tenu une conférence de presse en avril 2009 alors que la controverse su...

Des liens étroits entre Tony Tomassi et le patron de BCIA



Tony Tomassi (ci-dessus) venait régulièrement visiter son ami Luigi Coretti, le patron de BCIA, dans les locaux de l'agence, ont unanimement affirmé les sept anciens cadres de l'entreprise interrogés par La Presse. Tous ont dit que M. Coretti leur avait donné des billets pour participer à des activités de financement du PLQ en 2007 ou en 2008...

La belle-sœur de Pietro Perrino nommée juge par Jacques Dupuis



EXCLUSIF — La belle-sœur de Pietro Perrino nommée juge par Jacques Dupuis par Fabrice de Pierrebourg - Lorsqu’il était ministre de la Justice, Jacques Dupuis a nommé juge à la Cour du Québec la belle-sœur de Pietro Perrino, libéral notoire, ami et ex-conseiller de Jean Charest, et administrateur de deux FIER qui ont investi des millions dans la controversée firme de sécurité...

Les « hauts faits » de Pietro Perrino



(Extrait) En attendant, il faut s’attendre à voir le gouvernement fédéral tenter par tous les moyens de « libérer » le Québec de l’emprise du Bloc Québécois dont la présence le contrecarre directement dans ses visées. Comme la chose n’apparaît pas évidente a priori, il faut s’attendre à l’emploi de moyens « détournés ». Ceux d’entre vous qui seraient sceptiques devant la possibilité que le fédéral emploie ce genre ...

Le maire Tremblay, Luigi Coretti, BCIA et les autres



Difficile de comprendre toutes les ramifications et toutes les implications des déboires actuels de la Ville de Montréal. Voici donc un petit aide-mémoire pour s'y retrouver.

Québec

Option Canada - L'argent du love-in reste un mystère

Un demi-million a été dépensé illégalement, conclut l'ex- juge Grenier


L'ex-juge Bernard Grenier n'a pu déterminer la provenance de l'argent qui a permis d'organiser le grand rassemblement fédéraliste tenu à Montréal trois jours avant le référendum du 30 octobre 1995. Québec -- Après 16 mois d'enquête et deux millions de dollars, l'ex-juge Bernard Grenier est arrivé à la conclusion qu'au référendum de 1995, le camp du NON avait dépensé un demi-million de dollars de façon illégale par...

Tomassi inhabile à siéger ?



(Québec) Tony Tomassi a-t-il encore le droit d'occuper son siège à l'Assemblée nationale? Il suffirait d'une plainte de la part d'un député pour enclencher une discussion formelle sur le sujet. L'article 82 de la Loi sur l'Assemblée nationale stipule qu'un «député peut porter devant l'Assemblée une plainte reprochant à un autre député d'occuper ou d'avoir occupé des fonctions incompatibles ou d'être ou d'avoir é...

Scandales politiques à Québec

Le hasard fait bien les choses...

Drôle aussi de voir toujours le même monde tremper dans la même soupe. Oui, drôle... à en pleurer...


Drôle, tout de même, comme le hasard fait bien les choses.

Noces à l’italienne

Et l’immense majorité de cette communauté, qui n’a pas accès à l’auge libérale, doit se sentir plutôt humiliée que ces scandales se jouent sur la musique du Parrain, de Pietro Mascagni.


La chose m’avait toujours intrigué. Une soupe Campbell’s qui porte ce nom : Noces à l’italienne. Pourquoi ce nom pour une soupe ? On a fini par le savoir. C’est en entendant Jean Charest affirmer le plus sérieusement du monde que de nombreux propriétaires de garderies privées s’intéressent à la politique que s’est faite la lumière. Citation du Devoir : « Le bon sens le dit, on ne va pas se compliquer la vie : il ...

SCANDALES POLITIQUES À QUÉBEC

La descente aux enfers



Et à force de ne pas oser, les partis d’opposition finissent par paraître aussi mal que le gouvernement. Leur stratégie de ne se contenter que de japper aux talons du gouvernement pour l’avoir « à l’usure » est en train de se retourner contre eux.

Option Canada : des dépenses illégales de 539 000$



www.cyberpresse.ca mardi 29 mai 2007 Option Canada et le Conseil pour l’unité canadienne (CUC) ont dépensé illégalement environ 539 000$ durant la période référendaire d’octobre 95, selon ce que révèle l’enquête du DGE dont les résultats ont été révélés par erreur mardi matin. Ce sont des activités très diversifiées qui ont engendré les dépenses illégales, ...